Comme nous le répétons au RPF, avec comme retour, l’appellation fourre-tout et bien pratique de « complotistes », le narratif carbone employé à toutes les sauces et particulièrement quand il s’agit d’extorquer de l’argent aux entreprises et contribuables, a du plomb dans l’aile… et il ne s’agit pas du métal lourd. La mauvaise nouvelle, carrément dérangeante, provient d’études très sérieuses, qui mettent en évidence le fait que la baisse de la pollution à l’échelle de la planète aggrave le réchauffement climatique. Conclusion : l’activité industrielle humaine n’y est pour rien. Cela était déjà confirmé par de nombreuses carottes, prélevées en plusieurs zones terrestres et permettant de retracer les quantités de carbone présentes dans l’atmosphère au cours des âges.
Il s’avère que non seulement le carbone a été bien plus présent dans l’atmosphère terrestre par le passé, avant même l’apparition de l’homme, mais également après son apparition, à des âges pré-industriels, où la planète était globalement plus chaude, ou plus froide. Mais seuls les scientifiques aux pattes bien graissées sont invités à pérorer sur les plateaux de télévision, ressassant sur commande le narratif climat permettant d’instaurer des « taxes carbone », un marché international du carbone, une recherche et développement bas carbone… en bref, d’assujettir la Terre entière à des taxes et des obligations de frugalité énergétique, le tout par des types richissimes qui viennent distiller leurs leçons de sédentarisme écologique, en jet privé.
La pollution de l’air a baissé globalement dans le monde, comme le montrent les contrôles de la qualité de l’air mené depuis les années 1990. La disparition de pas mal d’industries lourdes, ou leurs progrès en matière de traitement des rejets, ont porté leurs fruits et donc l’atmosphère est plus propre qu’au vingtième siècle. Mais cela a un effet retors et aggrave en partie le réchauffement climatique : la baisse de la pollution serait responsable de la moitié de l’accélération actuelle du taux de réchauffement, pourrait représenter 40% de l’augmentation de l’énergie qui a réchauffé la planète entre 2001 et 2019.
Les particules de pollution en suspension dans l’atmosphère, réfléchissent la lumière dans l’espace et provoquent donc un refroidissement. Si on en a moins, il y a réchauffement. Les particules peuvent aussi augmenter le nombre de gouttelettes dans l’air, contribuer à de plus grands nuages, qui durent plus longtemps, lesquels aussi réfléchissent la lumière. La Terre polluée est donc plus réfléchissante et non polluée, elle est plus sombre et capte plus la chaleur du soleil. Non seulement ce phénomène est connu depuis longtemps, mais si complexe qu’il rend toute prédiction très difficile. A ramener donc aux « climatologues » d’opérette qui vous assènent au dixième de degré près, la température qu’il fera en 2100. A rapprocher aussi des « spécialistes » qui nous racontaient dans les années 70, la fin du pétrole pour l’an 2000 et en 1980, la fonte du pôle nord pour 2012.
Bien sûr, au RPF, nous avons un programme écologique et nous ne nions en aucune manière les variations climatiques, mais la problématique ne réside pas dans la taxation permanente orchestrée par des oiseaux de mauvaise augure. La mauvaise qualité de l’air provoque chaque année plus de 4 millions de décès prématurés sur la planète et il faut le prendre en compte. Pour le reste, l’essentiel du programme écologique devrait consister en du nettoyage : le plastique des océans, les pesticides et les métaux lourds dans la terre, les décharges sauvages… Egalement, recycler, utiliser la pyrolyse pour le plastique, mettre au point des processus de recyclage économes en énergie, rendre le produit recyclé moins cher que le produit neuf, ferrouter les camions. Mais encore, trouver des énergies de transport plus propres, l’électrique à batteries n’étant qu’une vaste fumisterie. Laisser les ingénieurs travailler et le meilleur produit imposer ses qualités, plutôt que de décréter politiquement le progrès technique. Et enfin, prendre acte du réchauffement climatique comme un phénomène liés aux variations du système solaire et bâtir de quoi nous y adapter.
Plus globalement, on est en train de s’apercevoir que nous sommes menés en bateau en permanence, avec des narratifs insensés, montés de toutes pièces et destinés à la fois à entretenir un climat de peur et justifier de taxations permanentes ou des transferts massifs d’argent public vers des intérêts privés : vaccins, éoliennes, taxes carbone, voitures électriques, logements bas carbone, pandémies… se traduisent tous par des spoliations systématiques de l’argent ou des biens du contribuables, les narratifs générant à desseins des normes contraignantes et coûteuses et des privations de libertés. Outre le ménage à mener sur l’ensemble de la planète, il y en a un autre, très sévère, a réaliser chez les oracles de malheurs, à cravate, à nattes et à petites lunettes, tous comploteurs, idéologues hors sol, ou idiots utiles.
https://rassemblementdupeuplefrancaiscom.wordpress.com
Pierre Duriot : porte parole du Rassemblement du Peuple Français.
https://rassemblementdupeuplefrancaiscom.wordpress.com/2024/04/16/ces-mensonges-matraques/
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