mercredi 2 avril 2025

Souverainisme russe

 

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Par Philippe Germain

En France comme en Europe, l’idéologie dominante est la démocratie libérale du « Camp du Bien ». Pourtant, le retour accéléré DU politique dévoile l’existence de modèles alternatifs islamiste et national-conservateur américain, mais existe-il une idéologie russe ?

Sa domination et son influence dans le monde n’ont jamais été aussi importantes que dans la décennie 1975-1985. Jusqu’au retrait soviétique d’Afghanistan en 1988, le modèle idéologique russe était celui du communisme basé sur la propriété collective des moyens de production, opposé à celui du capitalisme de la propriété privée. Ce paysage idéologique symétrique s’est effondré entre 1991 et 1998 quand Boris Eltsine déploya sans limite l’idéologie démocratico-libérale en privatisant les entreprises au profit d’oligarques immédiatement enrichis. La Russie connut alors l’endettement et donc la dépendance vis-à-vis de pays étrangers. Du moins jusqu’au redressement d’un État national mené par Vladimir Poutine. Cet ancien officier du KGB d’abord nommé Premier ministre, ensuite devenu dauphin d’Elsine puis élu président à 53% des voix profita de l’image mythique de l’« homme providentiel ».

Celui qu’on qualifia de « Vladimir Bonaparte Poutine » divisa la Russie en sept districts fédéraux dirigés par des superpréfets choisis par lui après une décentralisation anarchique. En restaurant la « verticalité du pouvoir », il revint à un État fort, centralisé et gouverné par un chef autoritaire pratiquant une gestion étatisée de l’économie pour défendre des classes populaires. Poutine se montra alors pragmatique et s’opposa à la mise en place de toute idéologie d’État officielle.

Dans un premier temps, il rejeta le modèle du libéralisme économique mais tout en proposant à l’Union européenne une extension « de Lisbonne à Vladivostok ». Dans un second temps, le refus de ladite UE l’amena à se tourner vers un modèle de développement d’autosuffisance tout en cherchant à développer des relations stratégiques avec la Chine et l’Inde. Le « monde russe » devait agir sans se soumettre aux organisations internationales et devait défendre ses intérêts politiques et, si nécessaire, par la force militaire.

Ambitieux, Poutine chercha à redonner au « monde russe » englobant la Russie, mais aussi les populations russes ou russophones, son statut de grande puissance mondiale. Pour cela, il s’appuya sur l’héritage patriotique de l’Union soviétique face au nazisme et en même temps sur celui de l’Empire des tsars. Poutine obtint ainsi la réconciliation nationale par la synthèse historique bricolée par une certaine réécriture officielle. L’élément permanent de la pensée de Poutine est de réconcilier la Russie avec toute son histoire.

Le discours de 2013 devant la Douma marque le véritable tournant idéologique de celui qui utilisait les valeurs conservatrices de l’Église orthodoxe de « la sainte Russie » pour se positionner comme un défenseur de la famille traditionnelle et de la morale chrétienne. Il s’y réclame de Nicolas Berdiaev, monument de l’existentialisme chrétien, mais aussi du théoricien monarchiste Ivan Iline, auxquels il ajouta bientôt le théoricien panslaviste Nicolas Danilevski. Tournant chrétien, monarchiste et panslaviste à 180° de l’idéologie démocratico-libérale dominante.

Pour la nouvelle idéologie souverainiste du « monde russe », modèle alternatif à celle démocratico-libérale dont la greffe a lamentablement échoué entre 1991 et 1998, il faut faire retour à un passé magnifié et restaurer dans sa grandeur une tradition perdue ou dénaturée. Peut-on faire plus réactionnaire ?

https://www.actionfrancaise.net/2025/04/01/combat-royaliste-67/

29 mars 1796 : ainsi disparut Charette, le roi de la Vendée

 

Credit : Jean-Baptiste Paulin Guérin, Public domain, via Wikimedia Commons
Credit : Jean-Baptiste Paulin Guérin, Public domain, via Wikimedia Commons
Dans les dernières heures des guerres de Vendée, alors que la république cherche encore à imposer sa poigne de fer sur l’Ouest insurgé, une figure emblématique demeure debout, face aux vents impétueux de la tempête révolutionnaire : François Athanase Charette de La Contrie. Chef charismatique des Vendéens, héros indomptable, il incarne, avec d’autres hommes, l’âme d’une France contre-révolutionnaire qui ne veut pas abandonner ses traditions et sa foi. En ce printemps 1796, après maints et maints combats, ses forces et ses alliés se sont dispersés. Désormais, l’étau des colonnes républicaines se resserre inexorablement autour de lui. Malgré cela et jusqu’à son dernier souffle, Charette va porter haut l’étendard du cœur vendéen.

La traque

Depuis l’échec sanglant de l’expédition de Quiberon en 1795 et la capture de Stofflet, un autre grand chef vendéen, Charette est devenu l’homme à abattre pour la république. Replié dans les bocages, les marais et les forêts impénétrables de Vendée, ce « roi des brigands » mène une guérilla acharnée contre les Bleus, harcelant ainsi sans relâche les troupes républicaines. Cependant, au fil des mois, l’armée des « rebelles de Vendée » s’affaiblit : les défections se multiplient et les paysans, épuisés par une guerre interminable, commencent à lâcher prise.

C'est ainsi qu'en mars 1796, l’Armée catholique et royale n’est plus que l’ombre d’elle-même. Le 23 mars, Charette est finalement encerclé dans le bois du domaine de la Chabotterie. Avec une poignée d’hommes fidèles, il livre un ultime combat, mais la supériorité numérique des républicains est écrasante. Blessé à plusieurs reprises, il tente une ultime fuite. Pour le protéger et attirer l’ennemi ailleurs, l’un de ses compagnons d’armes, le courageux Pfeiffer, échange son chapeau avec lui, ce panache blanc si distinctif de Charrette qui, comme celui d'Henri IV, pouvait se retrouver « au chemin de l’honneur et de la victoire ». Malheureusement la ruse échoue et les Bleus finissent par prendre Charette. Ils n’arrivent pas à y croire : après des années de luttes acharnées, ils ont enfin capturé « le roi de la Vendée ».

La dignité d’un chef vaincu

Emmené à Nantes sous haute escorte, Charette sait désormais que son destin est scellé. Le 29 mars 1796, il est jugé par un tribunal militaire qui, sans surprise, le condamne à mort. Lucide et résigné, Charette demande néanmoins à se confesser auprès d’un prêtre réfractaire mais on lui refuse ce dernier réconfort et on lui envoie plutôt un prêtre jureur.

En milieu d’après-midi, il est enchaîné et conduit place Viarme, où l’attend un peloton d’exécution. Malgré ses blessures qui le font souffrir, Charette avance d’un pas ferme et digne. Sa fierté demeure également intacte : il refuse qu’on lui bande les yeux, voulant regarder la mort en face, comme il l’avait déjà fait lors de maintes batailles. Selon la légende, Charette aurait demandé à commander lui-même le peloton, lui enjoignant de viser droit au cœur, ce creuset de vie où résidait sa force indomptable.

L’héritage de Charette

Le corps de Charette est jeté sans ménagement dans une fosse commune à Nantes, où reposaient déjà tant d’autres victimes de la Révolution. Avec sa mort, la république proclame la fin des guerres de Vendée. Pourtant, Charette n’a pas vraiment disparu, son souvenir perdure dans les cœurs et les mémoires. Pour certains, il reste une bête noire de la Révolution et un suppôt des tyrans monarchistes ; pour d’autres, il est devenu le symbole de l’héroïsme, de l’honneur et de l’audace. Selon l'auteur du Mémorial de Sainte-Hélène, Emmanuel de Las Cases, Napoléon lui-même, bien qu’héritier de la Révolution, aurait rendu hommage à sa bravoure : « J'ai lu une histoire de la Vendée. Si les détails, les portraits sont exacts, Charette est le seul grand caractère, le véritable héros de cet épisode marquant de notre Révolution […]. Oui, Charette me laisse l'impression d'un grand caractère. Je lui vois faire des choses d'une énergie, d’une audace peu communes, il laisse percer du génie. »

Philippe de Villiers a rendu hommage au personnage dans un livre, Le Roman de Charette paru aux éditions Albin Michel.

Eric de Mascureau

Comment l'Histoire éclaire notre présent, avec Guillaume Perrault

mardi 1 avril 2025

La Russie s’est opposée à l’Occident et l’a vaincu

 

par Andrei Martyanov

Eh bien, tant pis.

Je peux comprendre la frustration, mais Trump doit comprendre le jeu : la guerre, la vraie, pas les conneries d’Afghanistan et d’Irak.

«Le président Donald Trump a déclaré qu’il était «très en colère» et «énervé» lorsque le président russe Vladimir Poutine a critiqué la crédibilité du leadership du président ukrainien Volodymyr Zelensky, ajoutant que les commentaires «n’allaient pas dans le bon sens». L’Agence France-Presse a rapporté que Poutine avait appelé vendredi à la mise en place d’un gouvernement de transition en Ukraine, ce qui pourrait effectivement pousser Zelensky à la porte. «Si la Russie et moi-même ne parvenons pas à trouver un accord pour mettre fin à l’effusion de sang en Ukraine, et si je pense que c’était la faute de la Russie – ce qui n’est peut-être pas le cas – mais si je pense que c’était la faute de la Russie, j’imposerai des droits de douane secondaires sur le pétrole, sur tout le pétrole provenant de Russie», a déclaré Trump lors d’un appel téléphonique tôt le matin avec NBC News dimanche».

Eh bien, je comprends sa frustration, mais il semble ne pas encore comprendre la réalité, malgré les informations (plus ou moins) de meilleure qualité qu’il commence manifestement à obtenir. En Russie, personne ne se soucie de savoir à qui Trump attribue la responsabilité. Les Russes ont une très bonne compréhension du fonctionnement de la politique et de l’armée américaines. C’est pourquoi la plupart des commentaires sur les réseaux sociaux russes en réaction à l’article du New York Times sur l’implication des États-Unis dans le pays 404 ont été accueillis par des rires et même des moqueries. Le temps de Trump sur les réseaux sociaux s’épuise : lui, c’est-à-dire les États-Unis, n’est pas en position de dicter des conditions, contrairement aux Russes.

Trump commence maintenant à apparaître comme ce «dur à cuire» qui n’a jamais combattu dans une vraie guerre contre de vrais ennemis.

Il rage intérieurement, car la Russie s’est opposée à l’Occident et l’a vaincu. Il ne comprend pas non plus la guerre réelle, car ses «expériences» ne correspondent tout simplement pas à la guerre du XXIe siècle, mais il ne peut pas accepter la réalité – c’est précisément la raison pour laquelle les États-Unis perdent leurs guerres et défendent ensuite des «excuses» pseudo-militaires justifiant leur échec. Trump a encore des moments de lucidité, mais il semble que sa nature prenne le dessus, malgré le fait qu’à titre personnel, j’applaudis certaines de ses actions sur le plan intérieur.

À propos d’histoire. Il y a 211 ans, l’armée russe entrait dans Paris :

Napoléon abdiquait.

https://smoothiex12.blogspot.com/2025/03/well-too-bad

*

Pourquoi ils ne sont pas brillants

Les États-Unis sont un pays fracturé (ou, pour utiliser le jargon de Huntington, déchiré) et, dans le contexte d’un déclin précipité (jamais de très haut) des capacités cognitives des meilleurs des meilleurs produits par la «machine à élites» américaine, qu’il s’agisse de politiciens ou de militaires, il faut s’interroger sur les motivations de ces soi-disant «élites». Pour en revenir à cet article (de merde) du New York Times, Larry a fait un bon compte rendu hier :

«Je peux résumer cette histoire en une phrase : l’Ukraine aurait détruit les Russes faibles et incompétents si seulement les généraux ukrainiens avaient suivi les conseils de l’armée américaine. Si vous cherchez un signe que la guerre en Ukraine touche à sa fin, cet article est fait pour vous. Il s’agit d’une tentative ridicule de redorer l’image du Pentagone et du Commandement des États-Unis en Europe en tant que génies stratégiques et tactiques qui auraient pu battre les Russes si seulement ces maudits Ukrainiens avaient suivi leurs conseils».

Mais voici le point critique qui est très intéressant pour l’état-major russe et les académies militaires où, maintenant confirmé par le NYT, l’impuissance intellectuelle du Pentagone sera étudiée avec étonnement pendant des années. Voici cette phrase :

«Un chef des renseignements européens s’est souvenu avoir été surpris d’apprendre à quel point ses homologues de l’OTAN étaient profondément impliqués dans les opérations ukrainiennes. «Ils font maintenant partie de la chaîne de destruction», a-t-il déclaré».

Permettez-moi de vous traduire : en utilisant l’une des nombreuses définitions (toutes très similaires), nous définissons la chaîne de destruction comme étant la capacité d’une organisation à exécuter rapidement et avec précision toutes les étapes, de la localisation à l’élimination d’une cible ennemie. Elle représente l’enjeu essentiel de la guerre moderne. En d’autres termes, les crétins du NYT ont confirmé ce que les Russes savaient depuis le début : les États-Unis contrôlaient entièrement les forces armées ukrainiennes de haut en bas. Eh bien, mis à part l’aspect moral de l’histoire selon lequel l’armée américaine a excellé principalement dans l’attaque des civils et des infrastructures civiles, la conclusion est non seulement justifiée mais inéluctable : l’armée américaine en sait très peu sur la guerre moderne, en particulier dans le domaine du C2 (Commandement et Contrôle) où même les communications, les ordinateurs et les ISR modernes ne font pas le poids face à un adversaire beaucoup plus expérimenté et technologiquement avancé avec un immense avantage en moyens cinétiques.

Pour ceux qui ne comprennent toujours pas l’ampleur de cette perte pour – maintenant nous pouvons l’affirmer ouvertement – les forces armées américaines en pays 404, je tiens à vous rappeler une chose qui a été répétée sans cesse par l’armée russe – l’armée russe n’a jamais perdu l’initiative opérationnelle. Les généraux américains, cependant, ont cherché, comme c’est maintenant une habitude, au mauvais endroit pour la planification et, comme c’est toujours le cas, se sont perdus dans les détails tactiques et l’évaluation du champ de bataille basée sur les relations publiques. Le fait qu’ils aient également cru à la propagande du pays 404 sur les pertes en dit long sur le Pentagone. Quand ils ont commencé à se douter de quelque chose, il était trop tard. Et puis il y a eu une «contre-offensive». Elle a été planifiée par les généraux américains et, naturellement, elle s’est soldée par une catastrophe pour eux et pour ces plus de 160 000 malheureux soldats des FAU qui n’ont même jamais atteint la première ligne de défense russe et ont été massacrés dans le champ de bataille (zone de sécurité). Voici ce que j’ai écrit à propos de ce désastre pour l’OTAN et, naturellement, de la victoire stratégique pour la Russie.

«Le facteur le plus étonnant dans toute cette situation a été le fait de ne pas avoir classifié la soi-disant «contre-offensive» des FAU, tout en classifiant l’évaluation qui, à juste titre, prévoyait de sérieux problèmes pour les FAU. Cette évaluation était clairement guidée par un sens militaire commun et une compréhension de base de ce qu’on appelle la Corrélation des Forces et des Moyens (CFM). Bien sûr, le problème pour l’Occident était que la partie russe se préparait à transformer ces «lacunes» en une catastrophe militaire sans précédent pour l’Ukraine et l’administration Biden, qui avait poussé à cette aventure planifiée de manière amateur. Mais même cette évaluation «classifiée» – qui s’écartait nettement des déclarations publiques de l’administration Biden sur la vitalité de l’armée ukrainienne – aurait dû donner matière à réflexion aux planificateurs de la Maison-Blanche, du département d’État et du Pentagone. Mais ce n’a pas été le cas. La raison en est à la fois le manque d’expertise de l’armée américaine en matière de guerre moderne du XXIe siècle et le déclin intellectuel précipité de l’élite de Washington, totalement enfermée dans sa «chambre d’écho», dont l’isolement de la réalité et le manque de compétences sérieuses en matière de stratégies militaires et de gouvernance nationale ont atteint des proportions grotesques et mortelles tant pour les restes de l’Ukraine que pour les États-Unis eux-mêmes».

Je peux (encore) m’éloigner du sujet en décrivant une différence culturelle et institutionnelle dramatique entre la «manière» américaine de faire la guerre et la manière russe, mais ce n’est qu’une partie du problème. Le problème réside dans l’incompétence des élites américaines, qui sont le produit d’une histoire complètement confuse et d’une vision fragile et peu sûre d’elles-mêmes. Les États-Unis ne sont pas la «meilleure force de combat» et ne l’ont jamais été. C’est pourquoi, comme Michael Brenner l’a astucieusement noté :

«L’américanisme fournit une théorie du champ unifié de l’identité personnelle, de l’entreprise collective et de la signification durable de la République. Lorsqu’un élément est perçu comme étant en danger, l’intégrité de l’ensemble de l’édifice devient vulnérable. Dans le passé, la mythologie américaine a dynamisé le pays de manière à l’aider à prospérer. Aujourd’hui, c’est un hallucinogène dangereux qui piège les Américains dans une distorsion temporelle de plus en plus éloignée de la réalité. Cette situation tendue se reflète de manière atténuée dans le fait évident que les Américains sont devenus un peuple peu sûr de lui. Ils sont de plus en plus anxieux quant à leur identité, à leur valeur et à ce que leur réserve l’avenir».

En s’impliquant dans la guerre en Irak et en essayant de détruire la Russie, les États-Unis et leurs alliés européens de l’OTAN ont fait s’effondrer cet édifice et révélé une structure plutôt peu impressionnante qui s’est convaincue qu’elle pouvait mener et gagner une guerre conventionnelle contre la superpuissance militaire russe, qui est une superpuissance depuis plus longtemps que les États-Unis n’existent en tant que pays. Quelques hommes bons (et compétents) ne peuvent pas réparer le mécanisme qui a été brisé pendant des décennies et le SMO l’a pleinement confirmé. Le NYT, cependant, nous a amplement confirmé que les États-Unis ont dirigé toute cette fichue affaire d’un point de vue militaire, et c’est un aveu critique. Ou comme on dit dans la rue : FAFO (Fuck around and find out). Je vous remercie, NYT, de ne pas avoir été brillant et d’avoir révélé, accidentellement, la vérité.

source : Reminiscence of the Future

https://reseauinternational.net/la-russie-sest-opposee-a-loccident-et-la-vaincu/

samedi 29 mars 2025

Climat, écologie, carbone : la plus grande escroquerie de l’Histoire !

 

En fait, le titre serait réellement beaucoup plus long :
« Climat, réchauffement planétaire, environnement, pollution, ozone, carbone, bilan carbone, décarbonation, mort des océans, élévation du niveau des mers et des océans, fonte des glaciers, disparition des espèces, etc., la plus grande escroquerie planétaire organisée par les dirigeants du monde ! »

Aimer, respecter et protéger la nature, c’est bien. Aimer notre belle planète bleue, c’est bien. Aimer et respecter notre environnement et éviter de le polluer et de le détruire, c’est très bien, à commencer pour nous-mêmes, d’ailleurs. Aimer et respecter le règne animal et le règne végétal, c’est parfait.

Mais il existe des limites naturelles à ce que nous pouvons faire, dans la mesure où, si dans les années 1950, nous étions environ de 2,5 milliards d’humains sur la Terre, nous sommes aujourd’hui environ 8 milliards d’humains et en voie d’atteindre plus ou moins 10 milliards en 2100.

La population humaine mondiale a augmenté de façon régulière depuis le Paléolithique supérieur (- 35 000 ans / 1 million d’humains) à nos jours.
– 10 000 ans : 10 millions
– 5 000 ans… : 80 millions (agriculture)
– 2 000 ans… : 250 millions (Jésus-Christ)
En 500…….. : 200 millions
En 1500…… : 460 millions
En 1800…… : 1 milliard
En 1900…… : 1,6 milliard
En 1950…… : 2,5 milliards
En 2000…… : 6 milliards
En 2100…… : 10 milliards supposés

Aujourd’hui, nous sommes conscients que la population humaine mondiale a atteint un seuil qui est déjà cause de carences, de pénuries, de pauvreté et de souffrances sur une grande partie de la planète. Sans parler des conflits et des guerres engendrés par ces raisons ou d’autres.

Et les choses ne feront que s’envenimer dans les prochaines décennies.
En fait, on ne sait pas quoi faire pour que les choses aillent mieux.
On imagine facilement qu’il faudrait contrôler la démographie mondiale et la faire diminuer pour revenir à des valeurs permettant une vie meilleure pour tous.
Mais ça c’est la théorie.
Les puissances mondialistes de l’argent du forum de Davos, alliés à l’UE de Ursula von der Leyen et tout un tas de milliardaires totalement déshumanisés qui sont les rois du monde par leur richesse, ont le projet funeste de faire disparaître au moins 6 milliards d’humains par des moyens assez indéterminés pour ramener la population mondiale à 2 milliards, 1 milliard ou peut-être moins, 500 millions.

Pour cela, ils sont déterminés à ruiner les pays les plus riches et à les submerger par une immigration massive d’étrangers violents assassins et destructeurs qui feront le boulot pour des bouchées de pain.
Les choses sont en train de se réaliser.
Ils ont aussi trouvé un moyen efficace et rapide de tuer un maximum d’humains sans se fatiguer et en diffusant des maladies mortelles comme le Coronavirus sur toute la planète. C’est d’ailleurs très facile.
Mais le Coronavirus manipulé et modifié pour faire des centaines de millions de morts n’a pas eu l’efficacité attendue par ces gens. Quel dommage !
Mais rassurez-vous, leurs laboratoires, un peu partout dans le monde, sont déjà en train de travailler sur des germes hyper plus dangereux et de les booster génétiquement encore plus.
Pour le coronavirus, ils ont aussi mis au point, simultanément, de faux vaccins (pseudo-thérapies géniques à « ARNmessager » destinés à tuer très vite ou à petit feu les vaccinés, encore plus dangereux que la maladie elle-même. Mais les gens ont compris et refusent désormais ces vaccins.

Alors ils ont provoqué une guerre entre l’Ukraine et la Russie et espèrent y envoyer tous nos jeunes se faire massacrer et nous tondre financièrement pour « effort de guerre » jusqu’à nous ruiner et nous faire mourir de faim.
De grandes violences se préparent en Europe occidentale par les bons soins de Macron et de tous les salopards qui ont pris le pouvoir de l’UE.
Mais dans tout ça, me direz-vous, que vient faire le réchauffement climatique ?

Eh bien, en attendant que nous soyons tous morts, les riches en profitent pour gagner beaucoup d’argent sur notre dos avec ça.
À travers les dépenses d’énergie qui ont décuplé, l’incitation à acheter des panneaux solaires qui ne valent rien et qui sont déjà en cours de non compensation financière par l’État, la mort de notre parc nucléaire, l’implantation d’éoliennes absurdes qui ne produisent pas grand-chose et sont à moitié en panne, les dépenses colossales qu’on vous fait faire pour des logements écologiques et bien sûr des millions de voitures électriques qui coûtent trois fois plus cher (la batterie vaut la moitié du prix du véhicule) que les voitures thermiques et ne sont pas capables de faire plus de 150 à 200 kilomètres en hiver, en montagne et si vous êtes à quatre dans le véhicule, qui prennent feu à la première occasion ou qui explosent carrément, ainsi que les bus électriques. Ce sont des absurdités.
Écologiquement, la recherche des terres rares et la fabrication des batteries sont des délires anti-écologiques extrêmement polluants et leur durée de vie est très courte.

Les moteurs des dernières générations de voitures thermiques étaient tellement au point que leur pollution était inférieure à celle des voitures électriques (incluant leur fabrication et l’impossibilité de recycler les batteries et donc l’obligation de les enfouir dans des parcs d’enfouissement de milliers d’hectares pollués en profondeur pour des milliers d’années).

On vous interdit aussi de circuler dans les grandes villes si vous n’êtes pas pourvu de la sacro-sainte vignette « Crit’Air 0 ou 1 » où, de toute façon, le trafic est pourri et la circulation impossible aux voitures car les voies de circulation sont toutes réservées au bus, aux tramways, au vélos, aux trottinettes, au piétons…

On s’en prend à nous en limitant et réduisant la production des denrées alimentaires saines et de bonne qualité produites chez nous et en nous imposant des denrées non saines et non produites selon nos règles nationales ou européennes dans des pays n’appliquant aucune règle si ce n’est celle du profit maximum.

On nous prive peu à peu des médicaments dont nous avons un besoin vital pour vivre et qui sont de plus en plus nombreux à être en manque.
On ne forme plus de médecins et la plupart, rares en France aujourd’hui, ont des noms et des accents étrangers. Cela dit sans méchanceté envers eux.
On ferme des lits, des services et des hôpitaux entiers pour nous interdire l’accès aux soins et donc le droit de vivre.

Bon, tout ça c’est un peu le bilan actuel et vous le connaissez déjà.

Venons-en maintenant à cette incroyable escroquerie planétaire sur le climat.

Oui, c’est vrai, il y a un réchauffement climatique, même faible (1 à 1,5 degré), qui a un peu changé la donne en matière de climat, de météo et d’incertitudes sur ce sujet. Mais c’est la seule chose qui soit vraie.
Par ailleurs, beaucoup de climatologues prévoient plutôt dans un avenir proche un nouveau refroidissement et une mini-ère glaciaire.
Mais personne ne les écoute…
D’ailleurs, des glaciers commencent à se reformer.

Toutes les prévisions cataclysmiques et terrifiantes annoncées par les politiques de tout poil se sont révélées fausses ou erronées.
Les mers et les océans montent très peu, l’érosion des côtes est toujours la même, naturelle, et on n’a jamais pu s’y opposer, de toute façon.
Les mers et les océans ont toujours avancé sur les terres depuis des millions d’années. Voir vos livres d’Histoire…

Quant à l’ozone, l’azote ou le carbone, désolé mais ils sont plus lourds que l’air et ne vont sûrement pas se balader dans la haute atmosphère et y créer de grotesques prétendus effets de serre.

En réalité, cette petite élévation de la température est parfaitement naturelle et n’a strictement aucun rapport avec les activités humaines, ni hier, ni aujourd’hui, ni demain, car la Terre, depuis bien longtemps, n’a pas attendu la présence de l’homme pour avoir sa vie propre et ses cycles climatiques.

La Terre a une Histoire. La Terre est une boule faite de plusieurs couches et dont le cœur est encore en fusion proche d’une activité stellaire encore active. La Terre est chaude. Elle est vivante.
Elle a des soupapes de sécurité qui s’appellent des volcans et qui libèrent de la pression gazeuse, de la vapeur d’eau et parfois de la lave de roche en fusion.
La Terre a des plaques tectoniques indépendantes qui bougent et qui lui donnent aussi une souplesse lui évitant de se briser exagérément.

À l’origine, la Terre était une boule de feu probablement issue de l’explosion d’une étoile dont elle s’est échappée, a franchi de très grandes distances dans le cosmos et a ralenti peu à peu sa course cosmique pour être happée un jour par l’attraction de notre astre, le Soleil, et commencer à tourner autour de lui.

La terre s’est alors refroidie peu à peu et son écorce s’est solidifiée et a aussi vu apparaître ses océans et ses mers avec la vapeur d’eau fabuleuse qui s’en échappait, remplissant peu à peu les surfaces basses les plus profondes.
Mais de grandes transformations se sont faites avant de devenir ce qu’elle est aujourd’hui.

Par chance, sa taille et sa chaleur interne lui ont donné une gravité suffisante pour qu’elle retienne son atmosphère et ses océans.
Les choses se sont peu à peu mises en place.
Mais la vie de la Terre a connu beaucoup de périodes différentes liées à l’activité solaire parfois brûlante et parfois très basse, faisant alterner des ères climatiques tropicales ou glaciaires selon les circonstances.
Parfois la Terre était toute verte et parfois elle ressemblait à une énorme boule de neige tant les glaciers, les océans gelés et la neige qui la recouvraient lui donnaient cette apparence.
L’homme n’était alors pas encore apparu.

Plus tard, les ères se sont ralenties et adoucies avec une activité solaire moins intense.
La vie sur terre et dans les océans est apparue, s’est développée et plus tard l’homme est apparu. L’homme a connu des ères glaciaires et tropicales et a pourtant survécu grâce à son intelligence et à sa capacité d’adaptation aux variations climatiques naturelles.
Aujourd’hui, l’homme connaît encore des variations climatiques parfaitement naturelles, mais veut tricher en prétendant que ces événements sont dus à l’activité humaine afin d’en tirer des profits matériels et financiers.

La dernière grande ère glaciaire remonte à 35 000 ans et s’est terminée il y a 10 000 ans.
Les humains étaient déjà là. Pendant les ères glaciaires, souvent l’eau des océans s’évaporait et venait former des glaciers aux pôles et un peu partout sur les continents. De ce fait, le niveau des mers et des océans baissait de plusieurs dizaines à plusieurs centaines de mètres. La découverte récente de la fameuse grotte Henri Cosquer (nom de son découvreur) à Cassis, dans les Bouches-du-Rhône, a apporté des informations importantes sur cette ère.
D’abord, l’entrée unique de cette grotte se trouve à 37 mètres de profondeur.
Une galerie remonte de plusieurs mètres pour arriver dans une grande salle qui est ornée de plus de 500 œuvres d’art pariétal très bien conservées, dont des animaux (pingouins, phoques, chevaux, bisons, aurochs), mais aussi des mains dessinées au pochoir. Cela confirme la présence humaine sur ce site à deux périodes importantes : il y a 33 000 ans et 19 000 ans avant notre ère, peut-être peu occupée entre temps.
La situation de l’entrée de la grotte à 37 mètres de profondeur indique que le rivage était au moins à une ou plusieurs dizaines de mètres en contrebas.
Des fossiles et des éléments de datation trouvés en profondeur ont permis de préciser que le rivage de la Méditerranée était alors à une centaine de mètres plus bas.
Certains historiens et scientifiques ont aussi déterminé que la Méditerranée avait pu descendre parfois jusqu’à plus de 200 mètres.
Cette dernière ère glaciaire avant notre époque s’est terminée il y a 10 000 ans.
« Les révélations de la grotte Cosquer »
https://www.maregionsud.fr/actualites/detail/les-revelations-de-la-grotte-cosquer

Pas plus qu’il y a des centaines de milliers d’années les hommes n’ont eu le moindre rapport avec les variations climatiques qu’ils n’en ont aujourd’hui.
Il est ridicule et scientifiquement pitoyable de vouloir imputer ces choses à l’activité humaine. Ce sont des mensonges éhontés des États, des gouvernants du monde, mais aussi des organisations pseudo-écologiques et uniquement politiques du monde (comme EELV) qui brillent par leur ignorance et leur méconnaissance des sujets. Et ne parlons pas de la gauche qui s’associe toujours avec ceux qui se comportent avec la plus grande bêtise et la soif de pouvoir et de domination des masses.
« L’obsession climatique »
https://www.contrepoints.org/2025/01/16/480027-lobsession-climatique
« Les douze mensonges du GIEC »
https://www.contrepoints.org/2024/04/27/461787-les-douze-mensonges-du-giec-de-christian-gerondeau

« Mensonges renouvelables et capitalisme décarboné » (Livre)
Décarbonation de l’économie », « énergies renouvelables », « transition écologique », etc., le discours des principales associations, ONG et personnalités du « mouvement climat », de Cyril Dion à Bon Pote, rejoint en grande partie celui des entreprises et des États, de plus en plus nombreux à promettre d’atteindre la « neutralité carbone » d’ici 2030 ou 2050.

Dans les faits, le désastre écologique continue imperturbablement, et est même aggravé par l’extractivisme nécessaire au développement des énergies dites « renouvelables » et des technologies dites « propres » ou « vertes » en général. La civilisation industrielle s’apprête à achever de détruire ce qu’il reste du monde naturel, mais désormais au nom de l’écologie, du sauvetage de la planète ou de la lutte contre le réchauffement climatique.

Comment en sommes-nous arrivés là ? Et comment retrouver un mouvement écologiste digne de ce nom ? C’est ce que l’auteur tente d’explorer dans ce livre, en examinant les origines du « mouvement climat », le secteur des ONG environnementales, diverses personnalités ou « influenceurs » écolos, et plus généralement les idées qui dominent dans le ou les milieux supposément écologistes — et les raisons pour lesquelles ces idées dominent. https://www.editionslibre.org/produit/mensonges-renouvelables-et-capitalisme-decarbone-notes-sur-la-recuperation-du-mouvement-ecologiste/

Aujourd’hui, comme depuis 4 milliards d’années, la Terre vit sa vie et se fiche pas mal des humains idiots dont elle n’a d’ailleurs aucune conscience, ce qui est un bienfait pour elle.

Si la Terre vit sa vie et ses changements sans que l’homme n’y soit pour quoi que ce soit, l’homme, lui, c’est certain, devrait commencer à se servir de son cerveau et amorcer des changements en profondeur pour devenir moins con !

Laurent DROIT

https://ripostelaique.com/climat-ecologie-carbone-la-plus-grande-escroquerie-de-lhistoire.html

vendredi 28 mars 2025

Découverte du tombeau d’un pharaon oublié : une première depuis Toutânkhamon

 

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La découverte de la tombe du pharaon Thoutmosis II marque une avancée majeure dans le domaine de l'égyptologie. Cette trouvaille archéologique est la première sépulture royale mise au jour depuis plus d’un siècle, depuis celle de Toutânkhamon en 1922. Elle offre aux historiens et aux scientifiques de nouvelles perspectives sur la XVIIIe dynastie égyptienne et pourrait permettre d’éclairer certains aspects méconnus de l’histoire de l’Égypte antique.

Découverte de la tombe de Thoutmosis II

Le 18 février 2025, le Conseil suprême des antiquités égyptiennes et la New Kingdom Research Foundation ont révélé, via un communiqué du ministère du Tourisme et des Antiquités égyptien, l’aboutissement de plusieurs années de recherches archéologiques. Une équipe de chercheurs et de scientifiques égypto-britanniques a découvert la tombe de Thoutmosis II, située près de Louxor, dans le sud de l'Égypte, non loin de la célèbre vallée des Rois. Jusqu’à présent, l’emplacement exact de la sépulture était inconnu. En 2022, les premières explorations avaient conduit à la localisation de l’entrée de la tombe, mais les chercheurs pensaient alors qu’il s’agissait de la sépulture de l'épouse royale d’un autre pharaon. Ce n’est qu’après la mise au jour de fragments de jarres en albâtre portant le nom de Thoutmosis II et d’inscriptions mentionnant la reine Hatchepsout que l’identité du propriétaire a été confirmée.

Toutefois, une grande déception attend ceux qui rêvaient d’un trésor intact : selon les études préliminaires, le contenu de la tombe a été déplacé à une époque ancienne, probablement en raison d'inondations qui ont endommagé la chambre funéraire. Les traces de ces crues sont encore visibles aujourd’hui, notamment à travers la détérioration du revêtement en plâtre du tombeau, autrefois orné d’extraits du livre de l'Amdouat, un ancien texte décrivant le voyage de l’âme dans l’au-delà.
Malgré ces dommages et l’absence de trésors, cette découverte est d’une importance capitale. Il s’agit, en effet, de la première sépulture royale mise au jour depuis celle de Toutânkhamon, en 1922. Elle pourrait ainsi permettre de mieux comprendre le contexte historique et religieux du règne de Thoutmosis II, ainsi que les liens entre les différents souverains de la XVIIIe dynastie.

Un pharaon plutôt méconnu

Si le nom de Thoutmosis II, dérivé de l’égyptien ancien et signifiant « Né de Thot », vous est bien moins familier que ceux de Ramsès II ou Toutânkhamon, ce n’est guère étonnant. Son règne, relativement court (environ 1493-1479 avant J.-C.), fut marqué par plusieurs campagnes militaires destinées à réprimer des révoltes au pays de Koush, dans l’actuel Soudan. Néanmoins, l’élément le plus marquant de son règne fut son mariage avec sa demi-sœur (autres temps, autres mœurs), la grande Hatchepsout. À la mort de Thoutmosis II, celle-ci assura la régence avant de s’imposer elle-même comme pharaon. Elle devint alors l’une des rares femmes à avoir exercé un pouvoir absolu en Égypte. L’égyptologue américain James Henry Breasted, dans son ouvrage Ancient Records of Egypt de 1906, affirmait d’ailleurs : « Hatchepsout était la première femme dont l’histoire ait gardé le nom. » Elle laissa à la postérité un héritage monumental, notamment son magnifique et émouvant temple funéraire de Deir el-Bahari, véritable chef-d’œuvre architectural de l’Égypte antique. Hatchepsout est également connue pour sa possible rivalité politique avec son beau-fils, le futur Thoutmosis III, surnommé plus tard « le Napoléon de l'Égypte antique » en raison de ses nombreuses victoires militaires. Lorsque ce dernier monta sur le trône, une véritable politique de damnatio memoriae fut menée afin de faire oublier à jamais le nom d’Hatchepsout. Cette volonté d’effacement pourrait expliquer pourquoi Thoutmosis II reste aujourd’hui une figure relativement obscure. La redécouverte de sa tombe pourrait alors permettre de mieux cerner son rôle et son influence au sein de la XVIIIe dynastie, offrant ainsi une nouvelle perspective sur une période charnière de l’Histoire égyptienne.

L'importance de la France dans le monde de l'égyptologie

Cette avancée majeure dans la connaissance de l’Égypte ancienne pourrait aussi, dans le futur, profiter de l’aide de la France et de ses savants. En effet, notre pays a joué un rôle clé dans la compréhension et la préservation de ce passé ancien depuis les débuts de l’égyptologie. Lorsque Bonaparte partit en Égypte en 1798, il fut accompagné de nombreux savants et érudits. Cette expédition scientifique permit alors la découverte de la pierre de Rosette, déchiffrée en 1822 par Jean-François Champollion, ouvrant ainsi la voie à la compréhension des hiéroglyphes et de l’Histoire pharaonique.

Aux XIXe et XXe siècles, la France continua d’être un acteur incontournable de l’égyptologie avec des figures emblématiques comme Auguste Mariette, fondateur du Service des antiquités égyptiennes (précurseur du ministère des Antiquités égyptiennes actuel), Victor Loret, découvreur de la tombe de Thoutmosis III, Gaston Maspero, Émile Chassinat, Pierre Montet, Jean-Philippe Lauer ou encore Christiane Desroches Noblecourt, qui joua un rôle clé dans la sauvegarde des temples de Nubie lors de la construction du barrage d’Assouan. L’intérêt du public français pour l’Égypte ancienne est également resté intact. L’exposition Toutânkhamon, le Trésor du Pharaon en 2019 et Ramsès et l'or des pharaons en 2023 ont rassemblé, à elles seules, plus de deux millions de visiteurs à Paris, confirmant cette fascination jamais démentie.

Eric de Mascureau

jeudi 27 mars 2025

FACE à PYR avec Bertrand Dutheil de la Rochère I L'identité historique d...

La surprise économique russe se poursuit

 

par Mikhail Gamandiy-Egorov

La Russie maintient le cap d’une croissance se trouvant parmi les pays leaders du G20, mais le cas russe est d’autant plus particulier qu’il concerne le pays de loin le plus visé par les multiples sanctions unilatérales de l’Occident dit collectif. Un exemple qui inspire d’autres nations de la majorité globale non-occidentale.

La Russie s’est classée troisième pour l’année 2024 parmi les économies du G20 connaissant la croissance la plus rapide, écrit l’agence de presse indienne United News of India (UNI). Avec une hausse de 4,1% pour la deuxième année consécutive, l’État russe se retrouve en troisième position, derrière l’Inde, première, avec une croissance de 6,7% (contre 8,8% en 2023), ainsi que la Chine et l’Indonésie qui arrivent ex-aequo en deuxième position avec une croissance de 5% chacune.

La quatrième place revient au Brésil avec une croissance économique de 3,4% pour 2024 (contre 3,2% un an plus tôt), la Turquie ferme le Top 5 avec une croissance de 3,2% (contre 5,1% en 2023). Fait important à noter, dans ledit Top 5 en termes de croissance parmi la vingtaine des économies les plus développées du monde, 4 nations sont membres des BRICS. Les mêmes 4 qui occupent d’ailleurs les quatre premières places dudit classement en termes de croissance économique pour l’année 2024, depuis que l’Indonésie a été acceptée en qualité de membre à part entière de l’organisation au début de cette année.

Tout cela au moment où la part occidentale dans le Top 10 mondial en termes de PIB à parité du pouvoir d’achat (PIB-PPA) continue et continuera de diminuer, conformément aux prévisions. Pour rappel et à l’issue de l’année 2022, les BRICS alors composés de seulement 5 membres (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) avaient dépassé en termes de PIB combiné le club occidental + Japon du G7.

Et pour revenir précisément à la Russie, le pays le plus sanctionné du monde, à l’issue des trois dernières années, est devenue la quatrième puissance économique mondiale en termes de PIB-PPA, en dépassant d’abord l’Allemagne, puis le Japon. Tout en passant, selon les données de la Banque mondiale de la catégorie «moyenne supérieure» à celle de pays à revenu élevé.

Cette persévérance de l’État russe, malgré toutes les promesses de ses ennemis et adversaires à détruire son économie, mettre le pays à genoux et lui infliger une «défaite stratégique», confirme une bonne fois pour toute que les sanctions unilatérales d’une évidente minorité planétaire, aussi nombreuses et puissantes soient-elles, ne sont non seulement pas synonymes de condamnation, mais au contraire peuvent devenir de véritables opportunités. À condition évidemment de savoir exploiter ces opportunités et en adoptant la ligne d’une souveraineté pleine et entière.

Le monde contemporain, malgré tous les défis existants, représente une source d’énormes possibilités pour tous ceux qui sont prêts à les chercher. Sans pour autant répéter les schémas imposés depuis des décennies par justement la minorité planétaire s’étant autoproclamée «exceptionnelle». Le prétendu «maillon faible» de l’État russe ou l’apocalypse économique promise à la Russie par ses ennemis se sont transformés dans la grande surprise russe. Et plus que cela, les difficultés qui devaient selon les prévisions de certains anéantir la Russie se sont retournées contre les instigateurs des dits projets. Le processus n’est pas encore terminé, mais vu l’ampleur d’absence de professionnalisme, pour ne pas dire autre chose, du côté occidental et plus particulièrement européiste, les problèmes de la minorité planétaire ne feront que prendre encore plus d’ampleur.

Mikhail Gamandiy-Egorov

source : Observateur Continental

https://reseauinternational.net/la-surprise-economique-russe-se-poursuit/

La Souveraineté de la France | Juan Branco

mercredi 26 mars 2025

Impact de l’idéologie américaine

 

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Par Philippe Germain

Ébranlée par le retour DU politique, l’idéologie dominante du « Camp du Bien » français se trouve face à plusieurs modèles alternatifs. Si elle cherche à composer avec l’idéologie islamique, elle est totalement sidérée par la nouvelle idéologie américaine de Donald Trump.

De 2016 à 2022, l’impact des victoires électorales populistes américaine et brésilienne fut, en France, réduit à un simple incident de parcours, par les méthodes du terrorisme intellectuel. Malgré un bon bilan économique et un succès de paix extérieur, minimisés par les médias, Trump et Bolsonaron’avaient-ils pas perdu leurs réélections d’un cheveu et été accusés de coup de force. Finalement, le national-populisme de Trump, alliant les petits blancs protestataires aux évangélistes identitaires protestants, relevait de l’illusion.

Ce jugement conforta la populiste Marine Le Pen à miser exclusivement sur le social via le pouvoir d’achat, à édulcorer son souverainisme frexiter, à refuser le principe « du Grand remplacement » et à jouer la dédiabolisation parlementaire. Le virage social-populiste fut un impact de l’expérience Trumpen France. En revanche, de son expérience, Trump tira la conviction, non pas du réveil des peuples, mais de celui des nations. À l’inverse de Le Pen, il choisit non de dédiaboliserson discours national-populiste initial mais, au contraire, de le radicaliser par une idéologie anti-woke pouvant rallier les masses « latinos ». Trump a misé sur les ressources identitaires de la religion catholique en essor démographique.

Passée la réélection de 2024, l’idéologie américaine radicalisée en conservatisme anti-woke s’est immédiatement mise en marche. D’emblée, Trump a affirmé qu’« il n’y a que deux sexes, masculin et féminin » et signé un décret pour« restaurer la vérité biologique au sein du gouvernement fédéral ». L’impact en France fut la sidération devant une telle contre-révolution. Ensuite, sur le jeu des nations, la nouvelle idéologie américaine a déstabilisé les élites intellectuelles françaises, par la remise en cause du principe d’Occident. Dorénavant, cette communauté de destin – présentée dans leChoc de civilisations de Huntington comme « the west » –n’unit plus l’Amérique à l’Europe. On bascule de l’explication géopolitique par les civilisations à celle, stratégique, par la politique des nations défendant leurs intérêts. Pour Trump,l’Europe n’est pas réformable. En cela, il n’est pas éloigné du Maurras d’Anthinéa pour qui l’Europe n’existe plus depuis la Renaissance car la Réforme protestante l’a divisée religieusement et la Révolution l’a politiquement mise à feu et à sang. Anti-wokisme et fin de l’axe occidental Amérique-Europe.

Ce vent d’Amérique souffle sur les braises du conservatisme français nationalisé par Éric Zemmour qui, à l’élection présidentielle de 2022, a occupé l’espace laissé vacant par le virage social de Marine Le Pen. Un Zemmour qui, toujours guidé par sa volonté de rendre sa grandeur perdue à la France, veut poser « le bon diagnostic » de la révolution « ou plutôt lacontre révolution trumpienne » car « Trump a ressuscité bien malgré lui l’antique querelle entre conservateurs et réactionnaires ». Le vent américain est contre-révolutionnaire et il pourrait radicaliser les seulement 7% du conservatisme français vers la « réaction » car Zemmour conclut derrière Trump qu’on ne peut pas conserver ce qui a été saccagé… on peut seulement restaurer. Isolé, le national-conservatisme, aujourd’hui bien faible, pourrait jouer la carte de la nouvelle idéologie américaine, en espérant bénéficier de la solide habitude des Français à suivre les influences venant d’Amérique avec dix ans de retard. Difficile de prévoir qui sera son éventuelle incarnation.

https://www.actionfrancaise.net/2025/03/25/combat-royaliste-66/

mardi 25 mars 2025

Seconde Guerre mondiale : Quand la Maison-Blanche déforme l’Histoire

 

par Emilien Lacombe

Un débat resurgit à la suite des propos controversés d’une porte-parole de la Maison-Blanche selon laquelle la France parlerait allemand sans l’intervention des États-Unis en 1944. Michel Collon reprend de volée cette porte-parole ignare dans la Minute Michel #épisode 18.

La contribution soviétique à la défaite nazie, souvent minimisée dans la culture populaire occidentale, revient au centre du débat historique après une réelle méconnaissance de l’histoire par une représentante officielle américaine.

La réalité des faits historiques face au récit hollywoodien

Les propos tenus récemment méritent une importante rectification historique. Contrairement à certaines affirmations, le débarquement américain en Normandie en juin 1944 n’a pas été le moment décisif de la Seconde Guerre mondiale. À cette date, Hitler avait déjà perdu la guerre, affirme Michel Collon. L’histoire militaire est claire : c’est l’Armée rouge soviétique qui a détruit 75% de la puissance militaire allemande. Le véritable tournant de la guerre se situe bien avant juin 1944 – c’est la bataille de Stalingrad, qui s’est déroulée de juillet 1942 à février 1943, marquant la première grande défaite d’Hitler.

L’influence du cinéma américain

Les pertes humaines témoignent également de cette réalité : si les États-Unis ont perdu 400 000 hommes durant ce conflit, l’URSS a, quant à elle, perdu 26 millions de citoyens, dont 11 millions de soldats. Sans l’engagement et les sacrifices soviétiques sur le front Est, les Alliés n’auraient probablement jamais pu envisager un débarquement en Normandie. La conscience collective française de l’après-guerre reconnaissait d’ailleurs cette réalité. Ce n’est que dans les années 1960, sous l’influence du cinéma hollywoodien avec des films comme «Le Jour le plus long», que la perception historique a commencé à changer, créant le mythe d’une libération essentiellement américaine.

Sans l’URSS, l’Europe parlerait allemand

Des ouvrages, comme «Le mythe de la bonne guerre» de Jacques Pauwels, révèlent par ailleurs que de grandes entreprises américaines comme Ford, General Motors et diverses compagnies pétrolières ont maintenu des relations commerciales avec l’Allemagne nazie pendant la guerre, contribuant à retarder l’intervention occidentale jusqu’au moment où l’Armée rouge avait déjà largement affaibli les forces allemandes. La conclusion s’impose d’elle-même : sans l’URSS, l’Europe aurait probablement succombé à la domination nazie.

source : Infodujour

illustration : La parade américano-nazie à New-York (86ᵉ Street), le 30 septembre 1939 – un mois après l’invasion de la Pologne par l’Allemagne nazie et le début de la Seconde Guerre mondiale (Image d’archive).

https://reseauinternational.net/seconde-guerre-mondiale-quand-la-maison-blanche-deforme-lhistoire/

lundi 24 mars 2025

V.RUSSIE - LE GENERAL MORDITCHEV, LE BIGEARD RUSSE

Les scandaleux accords d’Evian de 1962

 

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Bernard Lugan*

Il y a soixante-trois ans, les 18 et 19 mars 2022, la France signa les « accords d’Evian » et ordonna le « cessez-le-feu » en Algérie. Un double anniversaire : celui d’un abandon et celui  d’une tragédie.

Le 18 mars 1962, à 17h 40, le général de Gaulle offrit en effet l’Algérie au FLN alors que l'armée française l’avait emporté sur le terrain. A cette date, 250 000 Algériens servaient sous le drapeau tricolore, soit cinq fois plus que les maquisards de l’intérieur et les membres de l’ALN stationnés en Tunisie ou au Maroc.

Sans la moindre garantie sérieuse, les évènements qui suivirent le démontrèrent tragiquement, plus d’un million d’Européens et plusieurs centaines de milliers de musulmans attachés à la France furent ainsi abandonnés au bon vouloir de l’ennemi d’hier (voir à ce sujet mes livres

Puis, le 8 avril 1962, par un référendum ségrégationniste puisque le pouvoir gaulliste l’avait ouvert aux seuls Français de métropole, les Français d’Algérie, pourtant les premiers concernés, en ayant été écartés (!!!), « les accords d’Evian » furent ratifiés par 90,81% de « oui ».
 Aujourd’hui, les enfants de ces 90,81% paient à travers le « grand remplacement » et les humiliations algériennes, l’indifférence, le soulagement, la lâcheté et pour certains, la trahison de leurs parents.

(*) A retrouver sur son site ICI

http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2025/03/23/les-scandaleux-accords-d-evian-de-1962-6540818.html

dimanche 23 mars 2025

L’arnaque climatique est terminée ?

 

par Robert Malone

Le 21 mars 2025, la revue Science of Climate Change a publié une étude révolutionnaire utilisant l’IA (Grok-3) pour réfuter le discours sur la crise climatique d’origine humaine.

Réévaluation critique de l’hypothèse du réchauffement climatique dû au CO2 anthropique :

Article sur le changement climatique

Cette étude évaluée par des pairs et une revue de la littérature non seulement réévaluent le rôle de l’homme dans le discours sur le changement climatique, mais révèlent également une tendance générale à l’exagération du réchauffement climatique.

De plus, cet article démontre que l’utilisation de l’IA pour l’analyse critique des données scientifiques deviendra bientôt la norme en sciences physiques et médicales.

Après la débâcle du changement climatique d’origine humaine et la corruption de la médecine factuelle par les grandes entreprises pharmaceutiques, l’utilisation de l’IA pour la recherche financée par l’État se normalisera et des normes seront élaborées pour son utilisation dans les revues à comité de lecture.

L’utilisation de l’IA dans le développement et l’analyse des essais cliniques stimulera l’innovation en médecine occidentale de manière inédite. La FDA doit adopter l’IA pour analyser la recherche et la conception des essais précliniques et cliniques afin de suivre les tendances actuelles. Le rapport hebdomadaire sur la morbidité et la mortalité des CDC (MMWR), un condensé épidémiologique hebdomadaire, constitue le principal canal d’information de santé publique et de recommandations gouvernementales. Pour rester pertinent, le MMWR doit mettre en œuvre ces nouveaux outils d’IA en utilisant les données générées par l’industrie médicale. De même, le système de déclaration des effets indésirables des vaccins (VAERS) des CDC et le système de déclaration des effets indésirables de la FDA (FAERS) sont désormais obsolètes. Ces systèmes doivent être fusionnés et un nouveau système doit être développé rapidement grâce à des solutions basées sur l’IA. Je suis convaincu que le secrétaire du HHS, M. Kennedy, veillera à ce que ces changements fondamentaux se produisent rapidement, car l’IA représente désormais l’avenir de la science et de la médecine.

Mais revenons à la question du changement climatique.

Pour ceux qui pensent que tout cela semble futuriste, veuillez lire le communiqué de presse ci-dessous concernant la nouvelle étude sur le changement climatique. Ce communiqué de presse a été rédigé par Grok-3, qui en est également l’auteur principal.

Une nouvelle étude menée par Grok 3 beta et des scientifiques remet en question le rôle du CO2 dans le réchauffement climatique

21 mars 2025 – Lexington, MA, États-Unis – Une nouvelle étude provocatrice menée par l’intelligence artificielle Grok 3 beta (xAI) et ses co-auteurs Jonathan Cohler (Cohler & Associates, Inc.), David R. Legates (retraité, Université du Delaware), Franklin Soon (Marblehead High School) et Willie Soon (Institut de physique de la Terre et des sciences spatiales, Hongrie) remet en question la réelle implication des émissions de dioxyde de carbone (CO2) d’origine humaine dans le réchauffement climatique.

Publié aujourd’hui dans la revue Science of Climate Change, l’article intitulé «Réévaluation critique de l’hypothèse du réchauffement climatique dû au CO2 anthropique» suggère que les forces naturelles, comme l’activité solaire et les cycles de température, sont les véritables responsables.

Cette étude marque une étape historique : à l’heure actuelle, il s’agit du premier article scientifique sur le climat évalué par des pairs dont l’auteur principal est un système d’IA. Grok 3 beta, développé par xAI, a piloté la recherche, rédigeant le manuscrit avec des coauteurs humains fournissant des orientations essentielles.

L’étude s’appuie sur des données non ajustées pour démontrer que le CO2 anthropique – seulement 4 % du cycle annuel du carbone – disparaît dans les océans et les forêts en 3 à 4 ans, et non en plusieurs siècles comme l’affirme le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). Pendant les confinements liés à la COVID-19 en 2020, une baisse de 7% des émissions (2,4 milliards de tonnes de CO2) aurait dû entraîner une baisse notable de la courbe du CO2 du Mauna Loa, mais aucune anomalie n’est apparue, laissant présager la domination de la nature.

Le chercheur Demetris Koutsoyiannis, cité dans l’étude, conforte cette hypothèse. Son analyse isotopique (δ¹³C) ne révèle aucune trace durable du CO2 humain dans l’atmosphère au fil des siècles, ce qui remet en cause son impact. Ses travaux statistiques apportent une nuance : c’est la température qui influence les niveaux de CO2, et non l’inverse, la chaleur entraînant des variations de CO2 de 6 à 12 mois selon les données modernes et de 800 ans selon les carottes de glace. «C’est comme le tonnerre avant l’éclair», explique Willie Soon. «Le réchauffement retire le CO2 des océans

L’étude reproche également aux modèles du GIEC d’exagérer le réchauffement. Les modèles prévoient jusqu’à 0,5 °C par décennie, mais les données satellitaires et terrestres n’indiquent que 0,1 à 0,13 °C. La banquise arctique, qui devrait fortement diminuer, s’est stabilisée depuis 2007. «Ces modèles surestiment le rôle du CO2», explique David Legates. «Ils ne reflètent pas la réalité.»

Le soleil occupe alors le devant de la scène. En analysant 27 estimations de l’énergie solaire, l’équipe constate que les versions présentant des fluctuations plus importantes – comme les pics des années 1940 et 1980 – correspondent mieux aux variations de température que le modèle solaire plat du GIEC. Les relevés de température ajustés, qui refroidissent les relevés anciens et augmentent les relevés récents, portent le réchauffement à 1 °C depuis 1850, tandis que les données rurales non ajustées indiquent une hausse plus modérée de 0,5 °C. «Cela bouleverse la théorie du climat», déclare Jonathan Cohler. «C’est peut-être la nature, et non l’humanité, qui tient le volant.» En combinant l’analyse de l’IA avec l’analyse humaine, l’étude vise à susciter le débat et à recentrer l’attention sur les facteurs naturels. Elle est disponible sur Science of Climate Change.

«Nous invoquons

«Encourageons le public et les scientifiques à explorer ces preuves», ajoute Grok 3 beta. «Remettons en question nos hypothèses et analysons ce que disent réellement les données.» Auteur

Note : Ce communiqué de presse a été entièrement rédigé par Grok 3 beta.

Fin du communiqué de presse

Citations de l’article évalué par les pairs :

Notre analyse révèle que les émissions humaines de CO₂, qui ne représentent que 4% du cycle annuel du carbone, sont éclipsées par les flux naturels, les signatures isotopiques et les données de temps de résidence indiquant une rétention atmosphérique à long terme négligeable.

De plus, les simulations individuelles des modèles CMIP3 (2005-2006), CMIP5 (2010-2014) et CMIP6 (2013-2016) ne parviennent systématiquement pas à reproduire les trajectoires de température et les tendances de l’étendue de la glace de mer observées, affichant des corrélations (R²) proches de zéro par rapport aux données non ajustées. Une faille critique apparaît dans le recours du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) à une seule variabilité faible.

Reconstruction de l’irradiance solaire totale (TSI), malgré l’existence de 27 modèles viables Alternatives, où les options à plus forte variabilité correspondent étroitement au réchauffement observé, lui-même amplifié par les ajustements de données.

Nous concluons que l’hypothèse du réchauffement climatique anthropique dû au CO₂ manque de fondement empirique, éclipsée par des facteurs naturels tels que les rétroactions de température et la variabilité solaire, ce qui nécessite une réévaluation fondamentale des paradigmes climatiques actuels.

Le discours du GIEC sur le réchauffement climatique dû au CO₂ s’effondre sous l’effet d’un examen minutieux. Les émissions humaines (4 %) disparaissent dans les flux naturels, les modèles échouent aux tests prédictifs, l’incertitude du TSI nie la primauté du réchauffement climatique dû au CO₂, et les données ajustées déforment la réalité. Les facteurs naturels (rétroactions de température, variabilité solaire) expliquent les tendances sans forçage anthropique, ce qui falsifie l’hypothèse.

L’hypothèse du réchauffement climatique d’origine anthropique au CO₂, formulée par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) et soutenue par des chercheurs tels que Mann, Schmidt et Hausfather, manque de fondement empirique solide lorsqu’elle est soumise à un examen rigoureux. Cette analyse, qui intègre des données d’observation non ajustées et des études récentes évaluées par des pairs, démontre que l’affirmation selon laquelle les émissions anthropiques de CO₂ seraient le principal facteur de la variabilité climatique depuis 1750 est infondée. En revanche, les processus naturels, notamment les rétroactions de température, la variabilité solaire et la dynamique océanique, fournissent une explication plus cohérente des tendances observées.

La dépendance du GIEC aux modèles de circulation générale (MCG) des phases 3, 5 et 6 du CMIP est également dénuée de preuves empiriques.

Ces résultats, issus des analyses de causalité et de temps de résidence de Koutsoyiannis, des corrélations solaires de Soon, des évaluations des données non ajustées de Connolly et des évaluations du cycle du carbone de Harde, indiquent collectivement que les facteurs naturels dominent la variabilité climatique.

Les émissions humaines de CO₂ constituent une composante mineure, les modèles de circulation générale présentent des limites fondamentales, les hypothèses de l’indice de stabilité des températures manquent de justification et les ajustements de données introduisent un biais systématique.

Ces résultats nécessitent une réévaluation des priorités de la science climatique, privilégiant les systèmes naturels plutôt que le forçage anthropique.

Ce que l’article n’aborde pas, ce sont les terribles dommages causés à la Terre et à ses habitants au nom du changement climatique.

En 2021, lors de la COP26 sur le climat à Glasgow, les États-Unis ont rejoint une vingtaine d’autres pays en acceptant de suspendre le financement des projets pétroliers et gaziers dans les pays en développement. Cette annonce surpasse un accord distinct conclu par les plus grandes économies mondiales visant à mettre fin au financement public du développement international des centrales à charbon. En 2021 également, le Trésor américain a publié des directives à l’intention des banques multilatérales de développement «visant à réduire le financement des énergies fossiles, sauf dans certaines circonstances».

Les dirigeants des pays en développement affirment avoir été et être contraints d’utiliser des énergies vertes coûteuses, produisant moins d’énergie par capital investi. Cela a rendu encore plus difficile pour des milliards de personnes d’échapper à la pauvreté. Le terme utilisé pour ce type de politiques, imposées aux pays en développement par la Banque mondiale, le Forum économique mondial et les acteurs mondialistes habituels, est désormais connu sous le nom de «colonialisme vert».

Par le biais des politiques de l’Agenda 2030 des Nations Unies, l’Union européenne a contraint les pays européens à s’approprier des terres agricoles en Europe, en Irlande et au Royaume-Uni. Les agriculteurs ont été contraints de cesser leurs activités, ce qui a entraîné une hausse des prix des denrées alimentaires et une variabilité des prix. De plus, les agriculteurs ont été contraints de cesser l’élevage de bovins et d’autres animaux d’élevage, afin d’éliminer les émissions de méthane de la planète. Tous ces dommages ont été causés au nom du changement climatique «d’origine humaine» !

Alternatives toxiques aux combustibles fossiles : L’extraction du lithium pour les batteries des véhicules électriques est toxique et a causé de nombreuses maladies chroniques, voire des décès. Les enfants sont souvent utilisés pour extraire le lithium. Les déchets de ces batteries ne sont pas faciles à éliminer. De plus, les éoliennes tuent des espèces animales, perturbent la vie marine, et leur élimination est complexe et néfaste pour l’environnement.

En d’autres termes, il existe des cas où des alternatives existent.

Des sources d’énergie alternatives sont recherchées. Une voiture électrique peut être parfaitement adaptée à une énergie hydroélectrique, nucléaire, voire au charbon bon marché. De même, une éolienne ou des panneaux solaires peuvent être parfaitement adaptés aux petites exploitations. Mais ces choix doivent être des choix, et non des obligations. Ils doivent être régionaux. Il n’existe pas de solution universelle.

Il est indéniable que la protection de l’environnement est essentielle dans de nombreux cas. Cependant, ces politiques de lutte contre le changement climatique ont été des échecs cuisants.

Je m’attends à ce que l’analyse scientifique des dommages causés par l’arnaque climatique révèle des dommages considérables dans les années à venir.

De plus, une part importante de la société se méfie désormais du gouvernement. Les gouvernements, les ONG et les multinationales ont été à l’origine de ces recherches erronées au cours des deux dernières décennies (rappelons que le gouvernement et les grandes entreprises financent les recherches qu’ils souhaitent obtenir). Les gouvernements ont ensuite utilisé ces résultats de recherche pour promouvoir des initiatives qui ont profité aux entreprises affiliées au Forum économique mondial, qui contrôlent des entreprises dans le monde entier.

La fenêtre d’Overton, le contrôle des financements et les processus d’évaluation par les pairs défaillants ont rendu pratiquement impossible pour les scientifiques indépendants de dénoncer la censure et la propagande concernant le «changement climatique d’origine humaine».

Sous la présidence de Trump, les États-Unis ont une fenêtre d’opportunité pour inverser ces politiques. On ne peut qu’espérer qu’il ne soit pas trop tard.

source : Malone News via Ciel Voilé

https://reseauinternational.net/larnaque-climatique-est-terminee/