La supercherie des glaciers himalayens
À l’échelle mondiale, les glaciers de montagne n'exercent qu'une incidence marginale sur les climats. Pourtant en 2010, le GIEC a publié un rapport affirmant que tous les glaciers de l'Himalaya auraient fondu d'ici l'an 2035 avec des conséquences désastreuses sur le niveau des océans. Vérification faite, les astrologues du GIEC avaient interverti les chiffres d'une étude évoquant cette possibilité pour 2350.
Les prétendus « savants » avaient écrit dans leur rapport AR4 que « au rythme actuel, les glaciers de l’Himalaya auront reculé de 500 000 km2 et disparu d'ici l'année 2035 ». Alors que les glaciers de l'Himalaya occupent une surface totale de 35.000 km2. Cela figure dans n'importe quel manuel scolaire !
Après enquête, il est apparu que l'étude menée par des « experts éminents » avait été publiée par le WWF, le fonds pour la préservation de la faune sauvage, qui n'a aucune compétence en matière de glaciologie... Derrière ces incohérences, un nom apparaît de façon récurrente : celui de Rajendra Pachauri (mort début 2020) L'homme était ingénieur ferroviaire ! Comme Jean Jouzel son homologue français est ingénieur atomiste... La climatologie a du être leur violon d'Ingres.
Pachauri patron du GIEC indien était aussi président du TERI (The Energy and Resources Institute) une entité liée au groupe industriel Tata : Aciéries, usines de fabrication de véhicules, centres de télécoms, commerce agroalimentaire, holdings financières... Pour un chiffre d'affaires de l'ordre de 110 milliards de dollars US. La préoccupation réchauffiste de ces capitaines d'industries relève d'une vocation vraiment tardive !
Pachauri aurait embauché comme « distinguished Fellow » le promoteur de l'étude catastrophiste menée par WWF, un certain Syed Hassain, qui a tout nié en 2017 quand une enquête préliminaire a été ouverte.
Là dessus, un troisième comparse Sri Murai Lal a affirmé dans une interview au "Daily Mail" que les rédacteurs du GIEC savaient parfaitement que les prévisions concernant les glaciers de l'Himalaya étaient infondées, mais considéraient que le discours sur la fonte des glaciers servait à encourager les décideurs politiques à passer à l'action. Et à la caisse.
En d'autres termes, Sri Rajendra Pachauri a délibérément publié un rapport qu'il savait erroné sinon falsifié. Puis il s'en est servi, avec le concours de Syed Hassain pour récolter l'équivalent de plusieurs millions d'euros au profit de l'institut qu'il dirigeait. Peut-on encore parler de science ?
Des « modèles de réchauffement» complètement farfelus
Les réchauffards ont annexé des phénomènes naturels connus depuis toujours, tels que les tempêtes, les tornades, les cyclones et les avalanches pour les intégrer dans leurs modèles. Or un réchauffement global significatif, s'il était avéré, aboutirait à une réduction de ces événements extrêmes ! L'inverse de leurs prédictions.
Selon Richard Lindzen, physicien au MIT, démissionnaire avec fracas du GIEC comme tant d'autres muselés par les médias, la réduction du différentiel de température entre l’hémisphère nord et la partie équatoriale de notre planète rendrait l’énergie cyclonique beaucoup moins dévastatrice. Et contrairement à ce qu'ânonnent les diffuseurs de prêt-à-penser, si l'on fait une statistique depuis le temps de la flibuste dans les Caraïbes (grâce aux ecclésiastiques qui notaient tout) l’importance et la fréquence des tempêtes tropicales et des cyclones tendent à diminuer sur une période longue. Un caillou de plus dans le marigot du GIEC.
Par ailleurs, les récents pics de température mesurés par les satellites et les ballons météo à l'Ouest de l'Amérique du Sud relèvent d'un phénomène naturel bien connu depuis le temps des conquistadors appelé * ElNiño.* Cette variation de pression atmosphérique résulte de brassages des eaux très chaudes à la surface de l’océan Pacifique. La chaleur ainsi libérée dans l’atmosphère fait augmenter la température locale, nourrissant des cumulonimbus par une évaporation trop rapide induisant des risques de cyclones, mais le CO2 ne joue aucun rôle dans ce processus.
La planète sauvée par les éoliennes ?
Le milliardaire Warren Buffet qui exploite un immense parc d'éoliennes dans l’Iowa avoue sans complexes : « Nous bénéficions d'un crédit d’impôt proportionnel au nombre d'éoliennes qu'on met en service. C’est la seule raison d'en construire.»
En effet, ces moulinettes ont des rendements imprévisibles et même dans des conditions météo optimales, le vent ne produit pas assez d’électricité pour les rendre rentables... Sans parler d'une étonnante cécité des écolos : les éoliennes tuent des centaines de milliers d'oiseaux. Et celles en mer tuent de plus en plus de mammifères marins.
Évidemment les baleines et les dauphins ne sautent pas assez haut pour se faire décapiter par les pales des éoliennes... Par contre, les vibrations de ces moulins à vent perturbent leur système d'écholocalisation ainsi que leurs moyens de communication, provoquant de dramatiques échouages.
On peut aussi noter un article révélateur du green business. Le « Telegraph » du 25 août 2012 révélait que le CCC (Committee for Climate Change), chargé de conseiller le gouvernement britannique sur les dangers des émissions de gaz à effet de serre, était présidé par un certain Lord Deben directeur d'un consortium de firmes largement subventionnées par l'Etat, installant des parcs d'éoliennes.
D'après un autre article du « Daily Mail » la moitié des membres du CCC avaient encore en décembre 2013 des intérêts financiers dans des sociétés vendeuses d'énergie verte qui profitaient des mesures que le Comité faisait adopter.
Vers un gouvernement mondial écolo-tyrannique
Machiavel n'avait pas manqué d'observer qu'un prince avisé devrait obtenir de ses sujets qu'ils le servent avec ferveur en leur faisant croire qu'il les protégeait de périls imaginaires. Une guerre. La disette. Des bandits de grands chemins. Une nouvelle peste noire... Tiens, tiens...
Le Florentin avait compris, bien avant toutes les études de psychologie sociale qu'on obtient davantage de ses serviteurs par la persuasion que par la contrainte. Convaincus que leur intérêt est d'être des loufiats aussi loyaux que serviles, ils voueront une reconnaissance sans borne à leur maître. L’U.E par ses directives nous offre un échantillon d'une future gouvernance totalitaire « consentie » sous la tutelle sourcilleuse du GIEC. Pour nous sauver tous. En attendant l’ONU qui, pour le moment, essaie de canaliser les luttes d’influences entre rétivité et complaisance.
Diverses personnes qui ont fait leurs premières armes au sein de mouvements « révolutionnaires » imbibés de marxisme, se sont laissées convaincre qu'après l'échec de la lutte des classes, la lutte des places (dans leur intérêt évidemment !) passerait par une gouvernance mondiale chargée de résoudre les problèmes planétaires par la matraque et le racket fiscal « librement consentis ». Les médias stipendiés sont là pour créer *l'illusion d'unanimisme.*
Le *decodex* et ses petites mains du soi-disant fact checking disent comment bien penser aux gens trop bêtes ou trop fatigués pour se forger une opinion par eux mêmes. Et comme deux précautions valent mieux qu'une, ces censeurs insidieux, particulièrement pugnaces contre les climato-sceptiques, ont instauré un clivage net et sans bavures : D’un côté en vert, donc fiables, tous les médias main stream et leurs satellites avec subventions d’État et journalistes encartés. Réchauffistes bien évidemment. Et de l’autre, en rouge, donc douteux, ceux qui s’autofinancent et n’ont pas la carte de presse.
Sans ce sésame, ils sont réputés écrire n’importe quoi, même lorsque leurs pigistes sont des pointures dans le domaine dont ils dissertent. Surtout quand ils osent douter de la doxa… Toutes les armes du terrorisme intellectuel sont réunies au service de l'idéologie mondialiste.
Sous divers aspects, le réchauffisme est une sorte de religion laïque comme était le communisme au siècle précédent. Avec son dogme, ses rites, ses grand'messes, son haut et bas clergé, ses ouailles crédules, sa bureaucratie lourde, sa sainte gourde, sa propagande omniprésente, ses interdits alimentaires (« devenez végétariens pour sauver le monde ») et son inquisition médiatique prompte à punir de la mort sociale les blasphémateurs et les hérétiques...
Enfin, ajoutant l'odieux de la culpabilisation aux mensonges de la propagande, les réchauffards tentent de manipuler les foules en leur martelant comme un leitmotiv : « vos enfants vous reprocheront le monde que vous allez leur laisser » La lutte des âges dans les familles. Le summum de l'abjection quand on est à court d'arguments.
Les objectifs cachés du réchauffisme :
Les gens du GIEC, leurs émules et leurs thuriféraires ne compromettent pas leur réputation de scientifiques sérieux (et accessoirement intègres) en racontant n'importe quoi pour complaire à leurs maîtres. Ils en attendent des dividendes sous forme d'honneurs, de postes convoités, de crédits de recherche enviés, de publications favorisées et bien sûr de rémunérations confortables. À ce tarif là, ils justifieront par tous les moyens ces 3 objectifs principaux :
D'abord l'assujettissement des États-nations à une plate forme de décision mondiale, en commençant par des traités contraignants d'abandons de souveraineté, anticipant un gouvernement global aux ordres des conglomérats industriels et financiers. Avec au moins au début, des simulacres d'élections, mais sans que des responsables devant le peuple soient clairement désignés. Le tout enrobé de vérités irréfragables auxquelles chacun serait tenu de croire s'il tient à éviter l'exil intérieur.
Ensuite le détournement du regard des Occidentaux vers la menace fantôme du réchauffement cataclysmique, en occultant la menace réelle d'une déferlante migratoire susceptible de modifier définitivement leurs équilibres géopolitiques et sociétaux ainsi que leurs modes de vie... Tout en fournissant aux banksters et associés un volant de manœuvre riche en serviteurs sous-payés, hors syndicats et aisément remplaçables, pour peu qu'on satisfasse leurs *lubies religieuses.*
Enfin le parachèvement de ce qui est déjà bien entamé : une paupérisation généralisée compensée par un assistanat réduit au minimum vital destiné à rendre les gens encore plus dépendants et à enrayer toute velléité de contestation. Et la mise en œuvre de mesures de décroissance « provisoires » (pour « sauver la planète ! » © et combattre les virus maintenant ) avec à la clé une restructuration économique destinée à parachever la transition de l’économie réelle vers le monde de la finance pure.
Pour le plus grand bonheur des ânes qui gardent les moutons...
https://climatorealist.blogspot.com/2020/04/giec-des-predicateurs-au-service-de-la.html
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