On peut pardonner à sainte Greta la simplette son ignorance. Mais que dire de ces pseudo-savants qui soutiennent des énormités anti-scientifiques ? Auraient-ils trouvé leurs diplômes dans des pochettes-surprises ? Entre lyssenkisme et homme de Piltdown ? Ou sont-ils stipendiés pour colporter une grande peur irraisonnée sur laquelle s'engraissent toutes sortes de personnages troubles ? (Voir * Réchauffards le casse du siècle *)
Le dioxyde carbone n'est pas un poison
Bien au contraire, il est indispensable à la vie ! C'est l'aliment de base des plantes. Avec l'eau et le rayonnement solaire. Sans CO2 il n'y aurait pas de plantes et une grande partie de l'atmosphère que nous respirons ne se renouvellerait plus. D'ailleurs, si la concentration de CO2 dans l'atmosphère a légèrement augmenté ces 30 dernières années, dans le même temps la surface couverte par la végétation sur la terre s'est accrue de 20%.
Au temps des dinosaures, le niveau de CO2 a atteint des valeurs proches de 10.000 ppm (partie par million ou 106 ) soit 25 fois la concentration actuelle. Ce fut pourtant l'époque d'une flore et d'une faune géantes d'une extraordinaire diversité.
D'ailleurs est-ce un hasard si les agriculteurs en serres y injectent trois fois plus de CO2 qu'il n'y en a dans l’atmosphère ? Résultat observable : Les plantes poussent plus vite, elles résistent mieux aux maladies et aux insectes, leurs fruits sont plus gros, et grâce à une photosynthèse plus efficace, elles consomment moins d’eau.
Perdre la moitié de la concentration actuelle, de l'ordre de 400 ppm, conduirait inexorablement à l’extinction d'une grande partie de la végétation et donc des animaux qui s'en nourrissent. Avec à l'horizon la famine pour la plupart des humains. Malgré le véganisme prôné par les réchauffards.
En outre, rappelons que près des trois quarts de l'oxygène que nous respirons provient du phytoplancton (et pas des forêts !) C'est le vrai poumon de la planète, lequel se nourrit de CO2. Réduire de façon drastique le CO2 mènerait à une catastrophe planétaire.
Oui, mais « Et le réchauffement ? »
Difficile de discuter avec les adeptes d'une nouvelle religion cramponnés à leur dogme. Pour les autres, je recommande la *lecture des graphes* établis par des scientifiques résumant les phases de chaud, froid, sec, humide au cours de 15.000 dernières années.
Caniculi Canicula
Les réchauffistes sont les premiers à dire d'un ton docte et inspiré qu'il ne faut pas confondre météo contingente et climat rémanent. Mais dès qu'il s'agit de canicule, changement de discours : le casuel et le provisoire, liés à des phénomènes locaux, deviennent l'expression du réchauffement planétaire global.
Alors pour leur rafraîchir un peu la mémoire, rien qu'en France :En 994, Hugues Capet régnant, l'absence prolongée de pluies assécha les fleuves et les lacs, asphyxiant presque tous les poissons. La chaleur enflamma des forêts entières avec leur gibier et anéantit les prairies et les moissons.
Des canicules de plusieurs mois, tarissant puits et fontaines, faisant des fleuves de simples ruisseaux, détruisant les récoltes tandis que hommes et bétail mouraient littéralement de soif, on en connut 8 majeures jusqu'en 1682. Et plusieurs dizaines de moindre durée pouvant se suivre, entrecoupées de stases.
En 1684, l'Académie Royale des Sciences releva 25 jours d’une température d'au moins 31° et 16 jours de pas moins 35° à l'ombre à Paris où le thermomètre marqua plusieurs fois 40° en 1701 selon l'échelle de Torricelli.
Le climat se dérégla à nouveau en 1694, en 1718 et 1719 avec 700.000 morts, puis 1767, 1778, 1803, 1817, 1825, 1842, 1858, 1875, 1893. Avec des pics de mortalité et de chaleur en 1846 et 1859.
Et ça continua ainsi jusqu'au XXème siècle. Avant le train, l'automobile et l'avion. Et surtout avant les astrologues du GIEC.
C'est dans leurs têtes que ça chauffe !
Pour les pseudo-experts du GIEC constitués en 1990 en grands chamanes de la religion réchauffiste, universelle et obligatoire, vers 2040 la température moyenne de la terre dépasserait de 1,5 °C celle du début de l’ère industrielle, deux siècles plus tôt, si les émissions de gaz à effet de serre dont leur obsessionnel CO2 devaient se poursuivre au rythme actuel... Et ce serait alors la fin du monde !
La belle affaire quand on sait que lors de l'optimum médiéval, il faisait selon les endroits entre 4°C et 8°C de plus qu'aujourd'hui, en fonction des reliefs et des courants marins et aériens, en un temps où le Groenland était la terre verte des Vikings. Et si l'on remonte plus loin dans le temps, Hannibal a pu franchir les Alpes avec ses éléphants parce qu'il n'y avait pas de glaciers sur sa route il y a 22 siècles. La faute aux usines, aux automobiles et aux avions des Romains ?
La prédiction catastrophiste actuelle qui prétend sans complexe « guider les actions des gouvernements du monde entier » s'appuie sur l'ignorance des foules dans le domaine de l'histoire et la cécité de tous ces gens pour qui le JT tient lieu d'évangile. Elle a été rédigée par une centaine de chercheurs internationaux soigneusement cooptés, pillant sans vergogne les travaux de leurs collègues quand ils y trouvaient matière à étayer leurs démonstrations. Quitte à "ajuster" un peu les données.
Leur travail s'est limité à compiler des conclusions hétéroclites en provenance d'un peu tous les continents. En oubliant l'optimum médiéval pour obtenir la fameuse courbe truquée en crosse de hockey de Mann (Cop 25 : La débâcle des imposteurs climatiques) Et au besoin en « arrangeant » les chiffres lorsqu'ils ne correspondaient pas aux prédictions (climate gates in Profession : Escrolo réchauffard )
Le texte final a été peaufiné avec le concours de représentants des gouvernements et de l’Union européenne, et plus on montait dans la hiérarchie des décideurs, moins on trouvait des scientifiques. Par contre, on ne manquait pas aux plus hauts postes de politiciens à la ramasse, d'administrateurs ambitieux, de banquiers cupides et de journalistes serviles.
Pour ces experts autoproclamés, l'augmentation générale de 1,5 °C, provoquerait l'engloutissement des atolls, à commencer par ceux du Pacifique avant l'an 2020. Des millions de réfugiés climatiques erreraient comme dans Waterworld en quête de terres habitables... Fort heureusement, la réalité fut toute autre (Voir * Atolls une gifle pour le GIEC *)
L’effet de serre... Imposture ou canular ?
Au début, on pouvait se poser la question. Car il n'y a aucun lien démontré entre un léger réchauffement de la planète et les émissions de CO2. Ce gaz a un effet de serre négligeable. Le CO2 ne représente que 0,04% de la composition de l’air. Une légère variation de son ppm n'aurait aucune incidence sur les températures.
Le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau aux effets 10 fois plus significatifs que le CO2. D'autant que la vapeur d’eau représente 2% de l’atmosphère soit 50 fois plus que le CO2.
Ainsi l'antienne « Sauvons la planète » © sans préciser en asservissant les hommes est un mantra de propagande dépourvu de toute base scientifique.
Le problème à la base est que la population théoriquement éduquée dans les pays avancés (alors que dire des gens du tiers monde?) est de moins en moins instruite scientifiquement. Très peu de gens essaient d’obtenir des informations sur l’empreinte CO2 réelle. Et encore moins de personnes s’intéressent à la science expérimentale. Trop compliqué ou trop fatiguant pour elles. Les médias et les gouvernements en profitent pour propager leur idéologie fumeuse du réchauffement anthropique, et pour instaurer toutes sortes de mesures coercitives et punitives pour « sauver le monde » © et vider les porte-monnaie.
La montée des océans et la fonte des calottes glaciaires
Au cours des 20.000 dernières années, un court instant à l'échelle géologique, la terre a connu des périodes chaudes et froides, avec des montées et des baisses du niveau des mers. Il y a 20.000 ans, nos lointains ancêtres accédaient à pied sec à la grotte Cosquer. Ensuite les niveau des mers et des océans a augmenté d'environ 100 mètres à la fin de la dernière glaciation du pléistocène, noyant la Manche et les Pays Bas (la transgression flandrienne) Un réchauffement sans doute provoqué par les camions, les trains et les avions des Cro Magnon.
Ce phénomène naturel de réchauffement-refroidissement est très bien expliqué par les *cycles de Milankovitch*. Les mouvements de la terre sur son axe, son inclinaison, les variations de son ellipse et les éruptions solaires en sont la cause. L'homme n'a rien à y voir. Chaque fois, quand la température augmente, l’eau des océans se dilate et certains glaciers fondent. Quand la température diminue, les glaciers se reforment, découvrant d'anciens rivages. C’est une constante astronomique et non une spécificité de notre temps, propre à terroriser les ignares.
Les alternances de chaud et froid se sont reproduites maintes fois, la dernière à la fin du petit âge glaciaire qui survînt du début du XIVème siècle à la fin du XIXème. À l'issue de cette période, les températures mondiales ont recommencé à augmenter. Très lentement. La révolution industrielle survenue au cours de cette phase n'a pu avoir qu'une incidence mineure. Mais elle a servi de point de départ à des climatologues en quête de notoriété, dont les chefs de file n'avaient qu'une expertise limitée dans ce domaine. La plupart des suiveurs ont pris ensuite le train en marche parce qu'ils ont pensé que cela pourrait favoriser leur carrière.
Si le niveau de la mer est actuellement à la hausse, de l'ordre de 1,5 millimètre par an, cela n'implique en aucune façon une inondation inexorable des îles basses et des rivages. Car les alluvions des deltas (Bengale, Mississippi) compensent les pertes tout en se déplaçant, créant de nouvelles terres là où il n'y avait rien.
De même observe-t-on un exhaussement de la plupart des atolls et une augmentation de leur surface, du fait de la sédimentation corallienne associée à des phénomènes locaux de volcanisme ou de mouvements de la lithosphère. A défaut, les motus restent stables.
Si le niveau de la mer est actuellement à la hausse, de l'ordre de 1,5 millimètre par an, cela n'implique en aucune façon une inondation inexorable des îles basses et des rivages. Car les alluvions des deltas (Bengale, Mississippi) compensent les pertes tout en se déplaçant, créant de nouvelles terres là où il n'y avait rien.
De même observe-t-on un exhaussement de la plupart des atolls et une augmentation de leur surface, du fait de la sédimentation corallienne associée à des phénomènes locaux de volcanisme ou de mouvements de la lithosphère. A défaut, les motus restent stables.
Quant à l'engloutissement de Venise, c'est une des plus belles escroqueries intellectuelles des réchauffards. La « Cité des Doges» s'enfonce lentement dans son substrat vaseux sous son propre poids, ce n'est pas son lagon en partie isolé de l'Adriatique, bras de mer isolé dans une mer fermée, qui déborde !
Si on évoque la fonte des calottes polaires, il faut étudier les observations faites depuis l'espace. Une partie de la glace fond. Mais les chutes de la neige qui se tasse forment de nouvelles couches de glace, compensant et même dépassant cette déperdition.
Dans l’Arctique le volume des glaces varie depuis plus de 10 ans. Et si l'on observe des retraits permettant d'espérer ouvrir le mythique passage du Nord-Ouest, ailleurs la densité et la surface de l’inlandsis augmentent. En partie sur terre au Groenland. Et en partie maritime dans des proportions similaires. Vers l'Est et le Sud.
Quant à l'Antarctique, les données des satellites des 30 dernières années sont formelles : Les glaciers du « continent blanc » sont de plus en plus épais, et ils augmentent en surface et en volume. Débordant loin dans l'océan, les courants marins et les vents froids qu'ils produisent entraînent une baisse sensible des températures dans l'hémisphère Sud.
Ainsi en 2019 a-t-on relevé des températures inédites de 16°C à Tahiti au bord de l'eau. Et on commence à trouver des otaries sur les plages de Polynésie !
Quant à l'Antarctique, les données des satellites des 30 dernières années sont formelles : Les glaciers du « continent blanc » sont de plus en plus épais, et ils augmentent en surface et en volume. Débordant loin dans l'océan, les courants marins et les vents froids qu'ils produisent entraînent une baisse sensible des températures dans l'hémisphère Sud.
Ainsi en 2019 a-t-on relevé des températures inédites de 16°C à Tahiti au bord de l'eau. Et on commence à trouver des otaries sur les plages de Polynésie !
À suivre
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire