Nous ne reprendrons pas ici les commentaires multiples qui honorent chaque année le souvenir de la mort tragique du roi et qui rappellent la première grande imposture historique dite “nationale” : l’inique “procès” et l’assassinat déguisé en forme d’exécution du roi par les “représentants” de la monstrueuse mutation de notre pays en “nation” dite française, en devenir.
Si on y réfléchit bien, il s’agit de la première manifestation publique et politique des suppôts de la Grande Loge d’Angleterre recrutés en France, derrière et avec les Encyclopédistes, le prince d’Orléans, etc.
La mort du roi, toute symbolique qu’elle était, allait apparaître d’abord comme la caution de tous les massacres révolutionnaires, des 18 000 guillotinés, des noyés de Nantes, etc., etc.
Voire même du génocide vendéen.
Et bien sûr, au nombre des assassinés allaient figurer la reine Marie Antoinette et madame Elisabeth.
Les tueurs de la nation s’enfoncèrent dans une folie sanglante, dans un vertige de meurtres “légitimes” et légalisés, qui ne s’achèvera – justice immanente – que par la liquidation, toute aussi officielle et légale, de ses instigateurs avec l’exécution des Robespierre, Danton et leurs complices.
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