Tous les grands média du monde, dont on sait parfaitement qu'ils sont de gauche ou d'extrême gauche, peuplés de journalistes éduqués dans des instituts qui fonctionnent avec un personnel et selon des programmes imposés par le marxisme le plus orthodoxe, s'efforcent de faire croire que le terrorisme est une arme d'extrême droite. Alors que depuis plus d'un siècle il précède, accompagne et conclut toutes les révolutions déchaînées par des idéologues formés dans des écoles de cadres où l'on enseigne d'abord la prise violente du pouvoir et le renversement par la force des sociétés traditionnelles. La puissance de ce pouvoir de l'ombre est d'être en mesure de faire passer cette imposture pour une réalité. Orwell, pas mort. De faire croire au pacifisme des nervis d'extrême gauche. D'appeler tolérance leur fanatisme, compassion leur sectarisme, humanisme la haine de qui ne leur ressemble pas.
En sorte qu'on peut être assuré, lorsqu'un acte de terrorisme commis dans une société pacifiée est imputé à une organisation d'extrême droite, qu'il s'agit d'une provocation ou d'un coup monté par quelque police parallèle. Tel fut le cas de l'attentat de la gare de Bologne le 2 août 1980 ou celui de l'immeuble Murrah à Oklahoma City le 19 avril 1995. Dans les deux cas attribués à l'extrême droite et dans les deux cas réalisés par des « services spéciaux ». Tel fut le cas de la fusillade de Tucson, dans l'Arizona, où le Media mondial parvint à accuser l'extrême droite d'un crime commis par un détraqué que tous ses amis décrivent comme profondément inféodé à l'extrême gauche.
Dire que le terrorisme lui est intrinsèque n'est qu'un lieu commun. Ce qui est nouveau, en revanche, et s'apparente assez à l'opération d'agit'prop anti-extrême droite d'Arizona, ce sont les pressions et manipulations opérées par le lobby du Réchauffement Climatique qui, à mesure que sa crédibilité faiblit, se raidit et recourt pour renforcer sa propagande à des techniques qui relèvent du pur et simple terrorisme.
Terroriste duréchauffement
Quand, par exemple, les catastrophistes du climat n'hésitent pas à se servir, pour illustrer la fonte des icebergs, d'une photo représentant une fille morte, pendue. Initiative récompensée par la chaîne Discovery Channel pour sa haute qualité commerciale.
Toute une série de petits films de propagande, réalisés par une organisation écologiste britannique, 10-10 Global, prétendant réduire "par l'art" (sic) de 10 % les gaz à effet de serre en 2010, ont dû être retirés de la circulation tant la cruauté des images était insupportable. Appuyés par l'ONU ils étaient diffusés par la chaîne australienne ABC. Le thème était le même nous consommons trop de dioxide de carbone. Le « Professeur Schpinkee » armé de sa calculatrice à effet de serre évaluait l'empreinte carbone de chaque participant dans une classe, dans une entreprise, sur un terrain de football. Lorsqu'elle dépassait chez un de ses interlocuteurs le niveau admis, il appuyait sur un détonateur qui se volatilisait dans un nuage de sang d'un réalisme obscène.
En avril 2010, après le fiasco de Copenhague, Greenpeace tentant de reprendre une main qui avait totalement échappé aux "chauffagistes'' ne trouva pas mieux que de faire intervenir sur son site l'Indien "Gène", parlant au nom des soi-disant victimes des gaz à effet de serre propagés par l'Occident. « Les politiciens, hurlait-il, ont échoué. C'est à nous d'agir. Nous devons briser les lois pour faire celles dont nous avons besoin… Nous avons besoin d'une armée de hors-la-loi climatiques… ». Et de proférer des menaces non déguisées contre ceux qui répugnent à se soumettre : « Nous savons qui vous êtes. Nous savons où vous habitez. Nous savons où vous travaillez. Nous beaucoup. Vous pas beaucoup. »
Le 2 juin 2009 sur le site gauchiste américain Talking Points Mémo, un blogger envoyait une longue diatribe à l'adresse de ceux qui contestent le réchauffement climatique, traités de « bâtards corrompus » qui « utilisent une science bidon et les scientifiques génétiquement les plus débiles » pour « truquer leurs statistiques ». Interrogeant : « À partir de quand doit-on emprisonner ou abattre les négationnistes du Réchauffement Climatique ? » Qu'on ne prenne pas à la légère ce type d'éructation quand James Hansen, directeur de l'Institut Goddard de la NASA, grand prêtre de l'effet de serre, dès 2008 demandait que les sceptiques du climat soient « jugés pour hauts crimes contre l'humanité ». Ou quand Joe Room, ancien apparatchik climatique de Clinton, directeur d'un blog éco-terroriste, Climate Progress, fulmine : « Une génération entière sera bientôt prête à vous étrangler dans votre lit ainsi que les vôtres... Ce n'est pas une menace mais une prédiction ». Ou quand Robert F Kennedy, résidu de la sinistre famille, braille : « Ce sont des traîtres et il est temps que nous commencions à les traiter comme des traîtres ».
Tandis qu'apparaissent des formules nouvelles, "terracide", « blasphème climatique », un peu partout l'hystérie gagne. Le magazine Grist réclame que les climato-sceptiques « soient jugés devant des Tribunaux de Nuremberg ». L'écologiste canadien David Suzuki veut qu'on les emprisonne. Un "expert" de l’US Weather Channel suggère que les météorologues sceptiques se voient retirer leurs diplômes. Le 12 novembre 2007 déjà un haut fonctionnaire onusien mettait en garde : ignorer le réchauffement serait se montrer criminellement irresponsable. Depuis dix ans l'Anglais David Bellamy, botaniste de renommée mondiale, auteur de 35 ouvrages et de centaines de programmes télévisés, a été écarté de la BBC. Son crime : avoir parmi les premiers contesté le Réchauffement anthropique.
Ils falsifient les statistiques
Tout au long de ces dernières années, ceux qui contestent les élucubrations imposées par l'ONU, ses innombrables appendices genre GIECC, l'armée des ONG environnementales mercenaires de la tyrannie mondiale en marche, la puissance militaro-industrielle habile à se saisir du pactole représenté par l'économie du C02 et des prétendues énergies renouvelables, ont subi un sévère ostracisme de la part du Media Systémique. Après les avoir ignorés, nié même leur existence au nom du consensus, raillé leur nombre infime, affirmé que les sociétés pétrolières les stipendiaient, enfin qu'ils n'étaient que les cancres de la Science et leurs propos sans intérêt, voici que, la vérité éclatant de toutes parts, c'est la menace qui prend la place de l'ironie et l'insulte celle du mépris.
Pourtant les parias d'hier se rebiffent. Un peu partout dans le monde les sceptiques s'unissent et, interdits de Media par les totalitarismes qui le réservent à leur usage exclusif, ils investissent Internet et contre-attaquent.
Une récente étude publiée par l'Institut de Science et de Politique Publique (SPPI) et reprise sur son site, ICECAP, par le météorologiste Joseph D'Aléo accuse la NASA et le NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration, qui contrôle entre autres la Météorologie Nationale) d'avoir systématiquement truqué pendant des années les annales de températures mondiales afin que le Réchauffement Climatique paraisse angoissant.
À suivre
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