dimanche 2 février 2020

LE « RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE » DANS LA CONSTITUTION ? (2) (L’Imprécateur)

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Cet article de l’Imprécateur est lié à celui de Jean Goychman et le complète. 
Ils traitent tous les deux du « Grand Mensonge » concernant le réchauffement climatique d’origine anthropique, largement contesté aujourd’hui par un grand nombre de climatologues sérieux, pourtant obligés de se taire…
Ces deux articles évoquent également le projet pervers du Président de la République de tenter d’organiser un référendum visant à inscrire dans le marbre ce mensonge, cette « fake news » de telle sorte qu’il ne sera même plus possible ensuite de tenter d’en débattre et de le contredire. 
Décidément, il est de plus en plus clair que nous entrons d’un pas décidé dans le monde de George Orwell, un nouveau monde d’obscurantisme moderne…
Marc Le Stahler

Ayant raté beaucoup de choses pendant son mandat, étant en phase terminale du ratage de la Réforme des retraites qu’il présentait comme le Grand-œuvre de son mandat, le président use une fois de plus d’un artifice d’évitement qui lui est cher : déplacer l’attention des  Français sur un autre sujet.
Il a choisi celui – consensuel – du sort climatique de la Planète.
Il veut en faire un objet constitutionnel en obtenant par un référendum national l’accord des Français pour l’inscrire dans la Constitution.
Cela pose deux questions :
  • La Constitution est-elle faite pour héberger ce sujet très spécifique ?
  • Et, la France représentant par sa population moins de 1 % des humains de la planète, sa pollution étant inférieure à 1 % de la pollution mondiale, est-elle réellement en mesure d’améliorer le climat ?
Car en supposant une baisse française des émissions de CO2 de 10 %, cela n’améliorerait que de 1 °/°° (pour mille) le réchauffement mondial impacté dans le même temps par quelques % d’émissions de CO2 supplémentaires à cause de la Chine et de l’Inde.
Si tant est que le climat soit déréglé exclusivement par les activités humaines, ce que rien ne prouve malgré les affirmations péremptoires du président et des écolos radicalisés retranchés derrière les fonctionnaires internationaux du GIEC.
Ceux-ci ne sont pas indépendants : ils obéissent aux directives qui leur sont données dans l’exploitation de divers documents scientifiques dont ils ne retiennent que ce qui va dans le sens exigé par les payeurs-donneurs-d’ordres.

Cela ne fait pas d’eux des « experts » en climatologie.
Car, si l’on regarde plus loin dans le temps, il y a eu plusieurs fortes périodes de réchauffement avant la dernière actuellement en phase terminale, qui fut tout aussi rapide mais reste plutôt modeste.

Les périodes de réchauffement sont courtes : environ 10 000 ans.
Celles de – 400 000 et – 300 000 ans et surtout l’avant-dernière de – 100 000 ont été plus chaudes que l’actuelle !
Le reste du temps il fait froid et nous y allons.

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