Cet article de Jean Goychman est complété par celui de L’Imprécateur.
Ils traitent tous les deux du « Grand Mensonge » concernant le réchauffement climatique d’origine anthropique, largement contesté aujourd’hui par un grand nombre de climatologues sérieux, pourtant obligés de se taire…
Ces deux articles évoquent également le projet pervers du Président de la République de tenter d’organiser un référendum visant à inscrire dans le marbre ce mensonge, cette « fake news » de telle sorte qu’il ne sera même plus possible ensuite de tenter d’en débattre et de le contredire.
Décidément, il est de plus en plus clair que nous entrons d’un pas décidé dans le monde de George Orwell, un nouveau monde d’obscurantisme moderne…
Ils traitent tous les deux du « Grand Mensonge » concernant le réchauffement climatique d’origine anthropique, largement contesté aujourd’hui par un grand nombre de climatologues sérieux, pourtant obligés de se taire…
Ces deux articles évoquent également le projet pervers du Président de la République de tenter d’organiser un référendum visant à inscrire dans le marbre ce mensonge, cette « fake news » de telle sorte qu’il ne sera même plus possible ensuite de tenter d’en débattre et de le contredire.
Décidément, il est de plus en plus clair que nous entrons d’un pas décidé dans le monde de George Orwell, un nouveau monde d’obscurantisme moderne…
Marc Le Stahler
Le réchauffement climatique sera-t-il prochainement gravé dans le marbre de la constitution de 1958 pour permettre à Macron de gagner un référendum – peu en importe le contenu -, ce qui constituerait la clé de sa réélection en 2022 ?
Ce que Donald Trump dénonce depuis des années comme un « canular » prend des proportions hors de toute limite.
Ce qui aurait dû rester une simple hypothèse d’investigation – à savoir le rôle du dioxyde de carbone émis par l’activité humaine dans la température de surface de la planète – est devenu une sorte de cause mondiale par laquelle passerait la survie de l’humanité…
Ce que Donald Trump dénonce depuis des années comme un « canular » prend des proportions hors de toute limite.
Ce qui aurait dû rester une simple hypothèse d’investigation – à savoir le rôle du dioxyde de carbone émis par l’activité humaine dans la température de surface de la planète – est devenu une sorte de cause mondiale par laquelle passerait la survie de l’humanité…
Pourquoi le carbone ?
La question mérite d’être posée. La propagande, aujourd’hui connue sous le nom de « communication » a réussi à implanter dans l’esprit des gens que seul le dioxyde de carbone pouvait avoir une influence sur la température de surface de la planète.
Un tel rapprochement était pourtant loin d’être évident et il a fallu des années avant d’arriver à cette croyance de masse qui tient plus du dogme religieux que de la vérité scientifique.
Une longue histoire…
C’est vraisemblablement avant la naissance du GIEC en 1988 qu’il faut chercher le point de départ.
Un article publié par Antonin Campana sur le site « terre autochtone » avance une hypothèse qui, compte tenu de la chronologie des événements, semble tout à fait digne d’intérêt.
Un article publié par Antonin Campana sur le site « terre autochtone » avance une hypothèse qui, compte tenu de la chronologie des événements, semble tout à fait digne d’intérêt.
Il apparaîtrait ainsi que la création du GIEC (dénommé IPCC en anglais pour Intergovernmental Panel for Climate Change et est devenu sans aucune raison « Groupe International des Experts en Climatologie », ce qui est une mystification) est due à l’action concertée de Margaret Thacher et Ronald Reagan lors de la réunion du G7 de novembre 1988 (*)
« (Le GIEC) a pour mission d’évaluer, sans parti pris et de façon méthodique, claire et objective, les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique qui nous sont nécessaires pour mieux comprendre les risques liés au réchauffement climatique d’origine humaine, cerner plus précisément les conséquences possibles de ce changement et envisager d’éventuelles stratégies d’adaptation et d’atténuation. Il n’a pas pour mandat d’entreprendre des travaux de recherche ni de suivre l’évolution des variables climatologiques ou d’autres paramètres pertinents. »
On notera que la mission du GIEC ne concerne que les causes dues à l’activité humaine, à l’exclusion de toutes les autres. C’est ainsi qu’ont été posées les bases de ce qui est l’une des plus grandes tromperies des dernières décennies. Sous une apparence destinée à faire croire que ce fameux GIEC était un groupe de scientifiques spécialisés dans l’étude du climat de la planète, il est en réalité composé de personnalités nommées par leurs gouvernements respectifs sans aucun critère de connaissance des mécanismes du climat.
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