[première partie ici]
Mao Tsé-toung, le pédo-criminel, maître à penser de Soros
Soros aurait une ruse hors du commun, obsédé non seulement par l’appât du gain, mais aussi par le profond désir de pouvoir modeler le monde à son gré. Le directeur du très louche Carnegie Endowment for International Peace, Morton Abramowitz, expose : « Soros est, aux États-Unis, le seul à pouvoir mettre en pratique sa politique étrangère. »
Dans son livre paru en 2005, On Globalisation (Sur la mondialisation), le « messie » milliardaire indique qu’il veut « devenir la conscience du monde ». Soros se passionne pour le pédophile et sanguinaire Mao Tsé-toung, premier président de la République populaire de Chine de 1954 à 1959.
Juif et adolescent dans la Hongrie des lois raciales, il réussit à se cacher, grâce aux contacts du riche père Tivadar, dans la famille d’un cadre du ministère de l’Agriculture, sous le pseudonyme de Sandor Kiss. Quand les communistes arrivent à Budapest, Soros se réfugie à Londres chez des parents. Il étudie à la London School of Economics, institut avec lequel il maintient encore aujourd’hui d’excellents rapports. Dans la biographieSoros, the Life and Time of a Messianic Billionnaire (Soros, la vie et l’époque d’un milliardaire messianique), l’auteur Michael T. Kaufman soutient que l’étudiant György fut fortement attiré par le communisme. Harold Laski, un enseignant charismatique, affirme qu’il opéra une réconciliation entre marxisme et démocratie.
En 1956, Soros débuta son travail de trader à la City. Il travaille alors à la F.M. Mayer, une agence de change de troisième ordre qui, néanmoins, lui permet d’accumuler les moyens financiers nécessaires à son débarquement à Wall Street, où, selon la version officielle, il amasse une fortune colossale. Soros doit surtout sa fortune au fait qu’il appartient au rang des familles Illuminati, au Comité des 300 (dynasties dirigeant le monde), comme le confirme le Dr John Coleman, ancien officier du MI-6, auteur de plusieurs ouvrages démasquant la réalité d’un complot sataniste. En effet, la fortune de Soros ne devrait rien à une supposée réussite ou à quelques placements judicieux.
Poème pédocriminel de Mao
« Snow (1930)
Softly over the fields, and in deep drifts
The fine, clean snow buries the bosom of china
In a coat of fine and uniform whiteness
Just as I, when I retire to my room at night,
Do to a tranny peasant hooker from Tudong Province
I look upon the snow on a chilly winter’s night
From my lonely room in the Forbidden City
Each snowflake fits with its brothers and sisters
Coating the streets of wondrous Beijing
Softly over the fields, and in deep drifts
The fine, clean snow buries the bosom of china
In a coat of fine and uniform whiteness
Just as I, when I retire to my room at night,
Do to a tranny peasant hooker from Tudong Province
I look upon the snow on a chilly winter’s night
From my lonely room in the Forbidden City
Each snowflake fits with its brothers and sisters
Coating the streets of wondrous Beijing
While I jack off to bestiality
I knew a girl once, with skin like this snow
Her eyes shone like a December moon
But I, in the heat of my boyish desires
And condemned her to die for not blowing me
I knew a girl once, with skin like this snow
Her eyes shone like a December moon
But I, in the heat of my boyish desires
And condemned her to die for not blowing me
[Pendant que je devenais bestial, je connus une fille avec la peau comme la neige, ses yeux brillaient comme une lune de décembre. Mais dans la chaleur de mes désirs de garçon, je la condamnais à mort parce qu’elle refusa me faire une fellation.] »
(source : Encyclopedia)
[A SUIVRE...]
Laurent Glauzy
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire