Pendant longtemps, historiens et archéologues ont estimé que les échanges entre la Chine ancienne et l’Occident n’avaient pas eu lieu avant la fin du IIe siècle avant J.-C., en raison des barrières naturelles que constituent l’Himalaya et le désert de Taklamakan. Cette théorie est aujourd’hui remise en question par l’étude minutieuse de certains vestiges remarquables. Ainsi, la découverte des momies du bassin de Tarim, excavées dans un cimetière du désert de Taklamakan, dont les plus anciennes remontent à 4000 ans, attestent d’une présence européenne en Asie.
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