Il y a cinquante ans, était fusillé le colonel Jean Bastien-Thiry,
pour l’attentat du Petit-Clamart fomenté contre De Gaulle, qui venait de
sacrifier l’Algérie française.
Voici que paraît, sous la plume de l’abbé Rioult, une excellente étude historique et morale, appuyée sur la doctrine de Saint Thomas d’Aquin concernant le « tyrannicide », à propos de l’action de ce militaire chrétien.
Était-elle morale ? Bien sûr…
Voici que paraît, sous la plume de l’abbé Rioult, une excellente étude historique et morale, appuyée sur la doctrine de Saint Thomas d’Aquin concernant le « tyrannicide », à propos de l’action de ce militaire chrétien.
Était-elle morale ? Bien sûr…
Jean Bastien-Thiry, De Gaulle et le tyrannicide, aspect moral d’un acte politique. 62 pages, 8 €. Editions des Cimes. DISPONIBLE ICI.
4e de couverture :
« Le 22 août 1962, à Clamart, un attentat visait le chef de l’État et manquait de peu son objectif.
Ce fut la plus fameuse tentative de meurtre à l’encontre du général De Gaulle.
Ce fut la plus fameuse tentative de meurtre à l’encontre du général De Gaulle.
Le
11 mars 1963, son instigateur, le colonel Jean Bastien-Thiry, était
fusillé. Il est le dernier en France à avoir été victime de ce procédé.
« Comment un homme, doté de profondes convictions catholiques et d’un
bagage culturel supérieur, a-t-il pu en arriver là ? » se demanda la
presse de l’époque.
Quant au motif de « tyrannicide » que Jean Bastien-Thiry a avancé
pour justifier moralement « l’opération Charlotte Corday », était-il
acceptable ?
L’auteur répond ici à ces questions. En s’appuyant sur les réflexions
de Saint Thomas d’Aquin – le « Docteur commun » de l’Église –, il étaye
solidement son analyse par d’utiles et implacables rappels historiques.
Nous sommes invités ici à réouvrir un douloureux procès, qui souleva
des interrogations morales et politiques de la plus haute importance. »
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