[En exclusivité pour Contre-info. Première partie ici.] Par Laurent Glauzy.
Au XVIIe siècle, les troupes de Cromwell ont conquis
l’Irlande et pris Drogheda le 11 septembre 1649. Dix mille habitants ont
été massacrés. Plus de cent mille hommes, femmes et enfants ont été
déportés. Leur crime : être de confession catholique. Une infime
minorité survivra aux douze semaines que nécessite la traversée de
l’Atlantique. En septembre 1655, Cromwell exige que mille cinq cent
jeunes Irlandais de douze à quatorze ans soient envoyés en Jamaïque et
dans les Antilles anglaises pour compenser la mortalité des esclaves
blancs. Ce plan est adopté par le Conseil d’Etat. Malheureusement, les
enfants ne sont pas les seules victimes de ces déportations. Selon The Curse of Cromwell : A History of the Ironside Conquest of Ireland, les
prêtres irlandais sont systématiquement déportés en Amérique avec des
vieillards de plus de quatre-vingts ans. Le 25 mars 1659, la mise en
esclavage de prisonniers politiques blancs est débattue au parlement
anglais. Sa pratique s’intensifie après le 16 avril 1746, quand les
fantassins du Scottish Highland, Français et Irlandais combattant
de l’armée jacobite, perdent la bataille de Culloden. Ils sont déportés
à la Barbade à partir des ports de Londres, Plymouth, Southampton,
Douvres, Aberdeen. En Angleterre, les protestants les plus démunis sont
également victimes de Cromwell qui en février 1656 a ordonné de déporter
mille deux cent Anglaises. Deux mille autres les rejoindront le mois
suivant. La même année Cromwell fait déporter en Jamaïque tous les
Ecossais sans habitation.
Le rôle actif et déterminant de Cromwell dans l’esclavage va de pair
avec son appartenance à la franc-maçonnerie primitive, celle qui
commence avant Anderson et Desaguliers. Niée par les historiens
officiels, cette origine de la franc-maçonnerie n’est jamais relatée. A
juste titre, nous pouvons soupçonner la franc-maçonnerie d’être une
organisation criminelle, instigatrice de l’esclavage du XVIIe siècle
qui fut un véritable holocauste. Et comment ne pas voir en Cromwell un
ennemi acharné du catholicisme quand on sait qu’à sa seule exception, il
décréta la liberté de tous les cultes. La tolérance maçonnique pour
toutes les religions va toujours de pair avec la haine de la seule
véritable ! Est-ce un hasard si Cromwell, financé par les juifs, permet
leur retour en Angleterre, d’où ils furent chassés en 1290 par Edouard Ier ?
Demandons-nous alors si la franc-maçonnerie fut la seule à maîtriser les tenants et les aboutissants de ce commerce ?
Le Ku Klux Klan, groupe particulièrement raciste, anticatholique et violent envers les esclaves noirs, est fondé par Albert Pike, général de l’armée confédérée, ainsi que par les dirigeants maçons de haut grade du Sud. Jean Kotska (ancien maçon converti au catholicisme) le présente de manière approfondie au XIXe siècle dans Lucifer démasqué comme un franc-maçon du 33e degré, le grand commandeur du rite écossais ancien et accepté, l’auteur de Morals and Dogma (la bible maçonnique), le rénovateur du culte luciférien des temps modernes (Palladisme). Parmi ses dirigeants, le KKK recense beaucoup de juifs. Dans Jewish Participants in the Civil War, Harry Simonhoff cite notamment le Dr Simon Baruch, chirurgien et capitaine dans l’armée confédérée, qui en secret fréquente le KKK. Tous ces points démontrent que l’esclavage ou sa soi-disant abolition a toujours suivi la logique d’intérêts plus pragmatiques et plus convaincants que la fable opportuniste des droits de l’homme, véritable machine à abrutir les peuples. Sont-ce les raisons pour lesquelles, comme l’écrit Emmanuel Ratier dans Mystères et secrets du B’naï B’rith, le KKK ne fait pas l’objet dans les années 1920 des critiques de l’Anti-Defamation League ou du B’naï B’rith ?
Le Ku Klux Klan, groupe particulièrement raciste, anticatholique et violent envers les esclaves noirs, est fondé par Albert Pike, général de l’armée confédérée, ainsi que par les dirigeants maçons de haut grade du Sud. Jean Kotska (ancien maçon converti au catholicisme) le présente de manière approfondie au XIXe siècle dans Lucifer démasqué comme un franc-maçon du 33e degré, le grand commandeur du rite écossais ancien et accepté, l’auteur de Morals and Dogma (la bible maçonnique), le rénovateur du culte luciférien des temps modernes (Palladisme). Parmi ses dirigeants, le KKK recense beaucoup de juifs. Dans Jewish Participants in the Civil War, Harry Simonhoff cite notamment le Dr Simon Baruch, chirurgien et capitaine dans l’armée confédérée, qui en secret fréquente le KKK. Tous ces points démontrent que l’esclavage ou sa soi-disant abolition a toujours suivi la logique d’intérêts plus pragmatiques et plus convaincants que la fable opportuniste des droits de l’homme, véritable machine à abrutir les peuples. Sont-ce les raisons pour lesquelles, comme l’écrit Emmanuel Ratier dans Mystères et secrets du B’naï B’rith, le KKK ne fait pas l’objet dans les années 1920 des critiques de l’Anti-Defamation League ou du B’naï B’rith ?
L’excellente brochure Le peuple juif tout entier est-il coupable de traite d’esclaves ? éditée par VHO (Vision Historique Objective)
mentionne qu’en 1492, l’arrivée de Christophe Colomb en Amérique marque
le début de l’esclavage sur le Nouveau Continent. Sur la Santamaria, cinq
juifs baptisés l’accompagnent. Ce sont Luis de Torres, Marco Bernai,
Alonso de la Calle et Gabriel Sanchez. Ce dernier, soutenu par les
autres juifs, convainc Christophe Colomb de capturer cinq cents Indiens
et de les vendre comme esclaves à Séville. Isabelle la Catholique punit
ces agissements. Chassé d’Espagne et du Portugal en 1492 et 1497, le
peuple juif s’établit aux Pays-Bas, où est fondée la Compagnie
hollandaise des Indes occidentales. En 1654, Jacob Barimson est le
premier juif à émigrer de Hollande vers la New Amsterdam (plus tard New
York). Il sera bientôt rejoint par ses semblables. Le commerce des
esclaves avec les autochtones commence ainsi. Newport devient un des
centres principaux du trafic d’esclaves. On l’appelle le Newport juif. Jusqu’alors,
l’esclavage était strictement interdit dans le Nord des Etats-Unis. Les
juifs interviennent pour changer cet Etat de fait. A Philadelphie, ce
rôle incombera à Sandiford Lay, Woolman, Solomon et Benezet. Il n’est
donc pas étonnant que derrière la version officielle de l’esclavage se
trouve une grande majorité de juifs. C’est ce que démontre Farrakhan.
L’île de La Barbade, découverte par un Anglais en 1605, est habitée
vingt ans après par des Juifs devenus propriétaires des plantations de
canne à sucre. Le rabbin Haham Lopez possède aussi deux esclaves. Un
autre passage explique qu’en 1830, parmi les 36 % des 625 000 familles
des Etats du Sud (des Etats-Unis) ayant des esclaves, 75 % sont juives.
Dans la région des Caraïbes, les Juifs sont les plus grands commerçants
maritimes. Ils possèdent les entrepôts avec du matériel d’équipement et
de réparation. A cette époque, les commerçants de Curaçao disent qu’une
très grande part de la navigation est détenue par les juifs. Le chapitre
Jewish Owned Slave Ships (Bateaux de transport d’esclaves appartenant à des juifs) en fournit une liste exhaustive.
Les plus importants noms liés à cet holocauste sont Moses Cohen
Mordecai et Abraham Qradis. La famille Qradis possède vingt-six bateaux
servant à la déportation d’esclaves africains vers les Caraïbes. En
1800, la famille Jessurin détient une centaine de bateaux sillonnant à
cet effet toutes les mers et tous les océans. Les esclaves capturés et
transportés par la compagnie de David et Jacob Senior ont l’immense
plaisir de voyager à bord du De Vrijheid (La Liberté, en néerlandais). Quant aux bénéfices, signalons que le voilier La Fortuna
atteint l’Amérique avec 217 Noirs. Achetés 4 300 dollars, ils sont
vendus 41 438 dollars. Ceci n’est pas sans rappeler l’origine de la
fortune de Mendès-France, président du Conseil en 1945-1955. Un des plus
gros marchands d’esclaves avec les Antilles est un certain Mendès, qui
se fait appeler Mendès-France pour se différencier de la branche
portugaise de sa tribu. Cet ancêtre du calamiteux salopard qui trahit la
France au profit des communistes du Viet-Minh en 1954, est au centre
d’un procès retentissant sous Louis XVI. Séfarade de Bordeaux (où les
Juifs portugais sont établis de longue date), Isaac Mendès-France
s’était installé aux Antilles. Il revient en France en 1775 avec, dans
ses bagages, deux esclaves congolais : le nègre Gabriel Pampy, 24 ans,
et la négresse Amynte Julienne, 18 ans. A peine a-t-il mis pied à terre
que des braves gens emmènent ses deux nègres et leur apprennent que le
Code Noir qui régit l’esclavage à la Colonie n’a pas cours sur la terre
de France et que, par édit royal, tout esclave posant un pied sur le sol
du royaume est ipso facto affranchi. Mendès, frustré de
ces beaux sujets sur lesquels il compte pour son élevage, intente à la
Couronne un procès - par lequel il entend récupérer sa « propriété » -
qui durera des années. Finalement Mendès perd la cause et une partie de
sa fortune.
En outre, certains propriétaires tombent amoureux de leurs esclaves.
C’est le cas de Jacob Monsanto, le fils d’Isaac Rodrigues Monsanto,
établi à La Nouvelle-Orléans et qui épouse Maimi William. De cette union
naît une fille, Sophia (aujourd’hui, Monsanto est l’une des quatre
principales multinationales de l’’agrochimie génétique travaillant sur
la recherche des OGM). La réalité n’est pas toujours aussi idyllique.
Les viols sont si fréquents qu’un historien juif, A. Hilfman, dans Further Notes on the Jews in Surinam, écrit qu’en 1791 le Surinam compte 834 Juifs portugais, 477 Juifs allemands et une centaine de Juifs mulâtres. Dans Jews and Negro Slavery, Korn
mentionne pour la même période à La Nouvelle-Orléans, que Daniel
Warburg, ancêtre du banquier de Staline et Hitler, a deux enfants
mulâtres, Eugène et Daniel, nés du viol d’une Cubaine noire, Marie-Rosé.
C’est la raison pour laquelle le pirate Jean Laffite, écumeur de mer
aux Caraïbes, transporte des Sénégalaises, particulièrement appréciées
pour la prostitution. Leur prix est très élevé.
Aujourd’hui, l’enseignement de l’esclavage est totalement détourné de
sa réalité. Le responsable communiste anglais Israël Cohen semble en
donner la raison. Dans un fascicule intitulé Un programme racial pour le XXe siècle, il déclare : « Nous devons réaliser que l’arme la plus dévastatrice que possède notre Parti (communiste) est la
tension raciale. En matraquant l’inconscient collectif des races de
couleur avec l’affirmation que pendant des siècles elles ont été
opprimées par les Blancs… Les termes colonialisme et impérialisme
doivent figurer en bonne place dans notre propagande… Tandis que nous
enflammerons la minorité noire en la dressant contre les Blancs, nous
nous efforçons d’opposer les races entre elles. Nous voulons instiller
dans chaque Blanc un complexe de culpabilité lié à cette exploitation
des Noirs… Ce qui mettra en marche un processus par lequel l’Amérique
sera gagnée à notre cause ».
Le système de l’esclavage n’est toujours pas aboli, ni dans les
faits, ni dans ses origines, ni dans son organisation secrète. La
prostitution, par exemple, constitue plus que jamais un fléau qui ronge
nos sociétés.
Laurent Glauzy http://www.contre-info.com
Article tiré de Atlas de géopolitique révisée, tome I
Article tiré de Atlas de géopolitique révisée, tome I
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