Le gouvernement ukrainien vient de faire une œuvre utile de mémoire : une exposition sur le génocide de 1932-33 vient d’être inaugurée le 24. Nous avions déjà évoqué ce génocide dans le n°46 du Libre Arverne mais désormais le bilan est à revoir à la hausse. Ce n’est pas 6 millions mais 10 millions d’Ukrainiens qui sont morts de faim dans ce qui a été le génocide le plus terrible du 20e siècle. Les preuves sont accablantes : rapports secrets des autorités, témoignages, photos d’enfants squelettiques et de rues jonchées de cadavres… Nous ne reviendrons pas sur les éléments donnés dans le numéro précédemment cité, ni sur le génocide de 1937-38 qui sera abordé dans le numéro 242. Nous avions vu dans le n°46 le rôle de Kaganovitch et l’une des raisons de ce génocide : obtenir un maximum de devises pour le financement de l’Opération Orage, le plan de conquête de l’Europe dont la date de déclenchement sera fixée finalement au 6 juillet 1941… Le financement de l’Opération Orage n’était pas la seule raison du génocide ukrainien : il y avait également celui de « l’industrialisation » du pays et bien évidemment la haine atavique qu’éprouvent les Juifs pour les peuples chrétiens et paysans comme les Ukrainiens, voués par le Talmud à l’extermination.
Les instances juives internationales ont collaboré avec le communisme, et ce en plein génocide ukrainien, de manière systématique et totale. Les B’naï B’rith, la plus puissante organisation juive internationale, se sont faits les apologistes et les principaux soutiens de l’URSS, spécialement dans sa politique ukrainienne. Alors que le génocide bat son plein, les B’naï B’rith ne trouvèrent comme reproche à l’URSS que la baisse de la pratique religieuse juive (article Les Juifs en Crimée, février 1932) mais signale avec ravissement la sur-représentation des Juifs dans les instances dirigeantes du communisme ukrainien… Par le biais du Joint Distribution Committee, la communauté juive américaine finança à hauteur de 17,3 millions de dollars la création de 180 villages juifs en Ukraine et en Crimée sur des terres volées aux paysans chrétiens. On comprend mieux quand on sait que Lazare Kaganovitch était très lié à Etienne Mercier (de la banque Rothschild), l’un des meneurs du Mouvement Synarchique d’Empire (financé par les aciéries Lambert-Ribot), la banque Lazard et la banque Worms. Nous avons vu également que c’est le 5 janvier 1930 que le génocide ukrainien fut voté par le Politburo. C’est Kaganovitch qui s’en charge personnellement. Le 22 octobre 1932, il est mandaté par le Politburo avec son coreligionnaire Molotov pour piller la région. Il s’installe le 2 novembre à Rostov et donne ses directives : « l’extermination des saboteurs ». Les « saboteurs » en question sont le peuple ukrainien dans son intégralité. Molotov envoie un rapport à Moscou : les Ukrainiens vont mourir de faim, mais le plan de collecte sera appliqué impitoyablement. N’ayant plus rien à manger, les paysans essayent de partir vers les villes. Ils seront impitoyablement refoulés et exterminés. L’exposition regorge de témoignages de ce genre. Katerina Martchenko, née dans le village de Klichyntsi, dans la région de Tcherkassy, au bord du Dniepr, qui a fait une glorieuse Seconde Guerre Mondiale dans les rangs de l’Armée Rouge, déclare : « Ce qui nous a sauvé, ma mère, mon frère et moi, mais aussi d’autres habitants du village, c’était la rivière. Nous allions pêcher en cachette. Ils n’avaient pas pu réquisitionner les poissons ! ». Plus loin : « Mon village comptait 1.200 maisons, soit environ 7.000 âmes, et 2.000 personnes ont péri lors de la famine qui a duré environ un an ». L’horreur de cette famine planifiée ressort dans ce témoignage : « Nous empruntions un raccourci pour aller à l’école. Un matin, ma mère nous a dit : « Vous passerez désormais par la rue principale. Il y a des cannibales, des ogres ». Un grand-père, rendu fou par la faim, avait tué et mangé son petit-fils. C’est son fils, et père de l’enfant, qui en rentrant de la ferme l’avait surpris en train de manger et il l’avait tué de rage ».
Pour receler le blé volé, Kaganovitch s’adressa à ses frères de sang : les banques internationales américaines, qui – grâce à ces stocks achetés à des prix dérisoires – purent torpiller les cours agricoles et ainsi maintenir dans la ruine les paysans américains et canadiens, déjà très pénalisés par la Crise de 1929 (provoquée par les mêmes banques). En France, c’est Louis Louis-Dreyfus, le grand-père de l’actuel patron de l’Olympique de Marseille, qui vendit le grain volé de la bouche des enfants d’Ukraine. Normal quand on sait que le Louis-Dreyfus en question était l’un des bailleurs de fonds de l’Humanité, enrichi dans la boucherie de la guerre 14-18 (fourniture des armées, grâce à Clemenceau, dont la famille avait des juifs à tous les niveaux comme les immeubles avaient le gaz à tous les étages, la guerre se prolongea un an pour plus de profits… et plus de morts goïm, double bonus). Cargill eut également sa part du gâteau, le trust américain ayant fait « cadeau » à la France du sieur Mendès-France, l’homme qui livra l’Indochine au génocide. Regarde qui m’embauche et je te dirais qui je suis…
Nous avons vu dans le n°46 que la politique allemande en Ukraine avait été sabotée par le communiste infiltré Koch, nommé par le « rouge-brun » Bormann, adversaire juré de la croisade anti-bolchevik. Il était notoire que Alfred Rosenberg, dont l’influence au sein du parti nazi était des plus marginales, défendait l’idée d’une Ukraine libre. Par contre, il est moins connu que Heydrich défendait également cette idée (tout comme il défendait l’idée d’un état juif, étant personnellement sensible à cette question en tant que vierteljude) : il créa ainsi à Prague une université ukrainienne selon les vœux du patriote ukrainien Wolodymir Kubijovytsch, président de l’UCC (Comité National Ukrainien). Les génocides ukrainiens auront une incidence sur la Seconde Guerre Mondiale. 80 % des Juifs d’Ukraine furent évacués par l’Armée Rouge, mais 20 % ne purent ou ne voulurent partir. Le peuple ukrainien se vengea sur eux, les massacrant massivement avant même que le premier allemand n’arrive dans les villes. Ceux qui échappèrent aux Ukrainiens furent souvent liquidés en représailles par les Einseitzkommandos qui appliquèrent le « un pour un » : pour chaque cadavre découvert dans les charniers du NKVD, un juif sera tué. Privés de justice, les Ukrainiens n’eurent pour seul recours que la vengeance et celle-ci prit, comme nombre de vengeances, un tour sinistre. Dans les camps nazis, les Ukrainiens se portèrent volontaires pour les postes de « kapos » et malheur au Juif qui tombait entre leurs mains : il allait payer pour ses frères d’URSS… Combien d’Ukrainiens en accablant de coups un pauvre hère en tenue rayée qui, 9 fois sur 10, n’avait jamais entendu parler de l’Ukraine, pensaient ainsi venger une sœur, un père, un cousin, un fils mort de faim… Vengeance inutile, car ayant eu pour résultat l’exact contraire de ce que recherchaient les Ukrainiens : leurs bourreaux devenaient aux yeux du monde des victimes.
Le gouvernement se trompe sur un point. Le peuple russe est totalement innocent de cette affaire (puisqu’il n’a jamais dirigé l’URSS) et le ponctionner sous prétexte qu’il serait l’héritier de l’URSS serait injuste. Il faut ponctionner l’état qui se rapproche le plus de la composition ethnique des bourreaux du peuple ukrainien. Cet état existe : c’est Israël. Israël doit payer pour ce qui est sans doute le crime le plus abominable du 20e siècle, l’Holocauste par haine anti-chrétienne et ce à au moins 3 reprises de tout un peuple, sans distinction d’âge, de classe sociale ou de sexe. Le montant des réparations est facile à calculer : pour 6 millions de Juifs, Israël a touché 120 milliards de dollars de l’Allemagne. Donc, pour les Ukrainiens exterminés lors des trois génocides, à savoir 10 millions de morts en 1933, 3 millions en 1937 et 3 millions en 1945, Israël doit verser 320 milliards de dollars au gouvernement ukrainien, mais également donner l’équivalent de 8/3 de tout ce qu’elle a reçu de l’Allemagne en usines, brevets, navires et autre… Il faut également, et c’est la moindre des choses, expulser de l’université et de l’éducation nationale les négationnistes du génocide ukrainien, à commencer par « l’historienne » Lacroix-Riz et ses complices, confisquer les journaux, maisons d’édition et tout autre support culturel ayant édité ses « travaux », confisquer également les entreprises s’étant enrichies directement ou indirectement avec le génocide ukrainien et interdire les organisations qui y ont collaboré, ne serait-ce que par apologie du régime qui l’a provoqué…
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