Créationnisme
La formation des planètes et la fantasmagorie du "Big Bang"
La science contemporaine explique que notre système solaire est né de la matière des étoiles mortes. Ce schéma correspond à l’hypothétique processus de l’évolution dont le point de départ est le Big Bang il y a plusieurs milliards d’années. Dans ce cas précis, il ne s’agit pas d'une évolution des espèces mais d’une évolution des étoiles, des planètes. Les évolutionnistes pensent que ces dernières seraient apparues d’un nuage de poussières, d’une nébuleuse "décomposée".
Ils présument que la matière proviendrait d’étoiles mortes, bien que les molécules de gaz seraient insuffisantes à ce procédé de formation. On croit alors que la matière a évolué à partir de l’explosion d’une étoile après sa transformation en supernova. Notre système solaire serait par conséquent le résultat d’un nuage d’une étoile morte. Ce sont là les simples processus dont l’évolution est le seul mécanisme.
Ce processus semble d’autant plus incohérent que les évolutionnistes reconnaissent que les planètes et la matière se sont formées très rapidement (1). Aucun raisonnement scientifique ne permet d’expliquer cette rapidité qui est contraire à la formation de la matière. Cette phase de la théorie évolutionniste, comme beaucoup d’autres relatives au scénario du Big Bang, comporte bien des incohérences. La formation des étoiles se heurte aux mêmes difficultés, bien que celles-ci prennent davantage de matière du nuage.
Un article récent de New Scientist affirme que le processus de formation d’une planète est très compliqué. On y reconnaît quatre stades : « Un modèle de nébuleuse doit tenir compte de quatre stades importants de l’évolution conduisant au système solaire : la formation de la nébuleuse à partir de laquelle les planètes et le soleil apparaissent, la formation de corps élémentaires planétaires, l’évolution de la planète, la dispersion des gaz restants et des particules. Ces stades d’évolution devraient encore être complétés par d’autres détails élémentaires. » (2). Il est très hypothétique d’avancer que de la matière reste après l’explosion d’une supernova. En 1796, Laplace pense que la seconde phase de formation des planètes commence avec l’action d’un nuage gazeux. Selon lui, il y a trois étapes dans cette action :
1) l’assemblage de la matière à partir de petites particules sous l’effet de la gravitation ou de la pesanteur ;
2) la formation de ces particules en de plus gras éléments ;
3) l’augmentation de la masse par l’enchevêtrement des atomes et des molécules. (3)
L’étape la plus compliquée est la première. Les particules assemblées doivent atteindre un diamètre de dix mètres, dimension à laquelle on estime que la pesanteur est suffisamment importante pour capter et condenser davantage et plus rapidement la matière. Ainsi les planétissimaux deviennent des planètes.
Cependant, une question reste en suspens. Quel est le mécanisme qui permet les tout premiers assemblages de la matière, alors que nous sommes au stade précédent, celui qui fait naître l’effet de la pesanteur ? Les astrophysiciens considèrent que ce procédé s’est déroulé trop lentement, car nous présumons que la température de l’univers est de - 270 °C. Nous remarquons donc que la formation d’un système solaire reste bien inexplicable. Nos réponses se trouvent dans une recherche en profondeur des causes premières et des effets mécaniques. Les explications évolutionnistes semblent par conséquent très injustifiables et contradictoires.
Pour des raisons semblables, Stein Sigurdsson, astronome de l’Etat de Pennsylvanie et chercheur à la NASA, pense qu’« il existe une autre dimension dans un lieu inconnu de l’univers où la pesanteur est active. Si cela est le cas, alors la pesanteur, qui est très petite sur une grande échelle, s’accentue sur une courte échelle conditionnée par une autre dimension... » (4)
Stein Sigurdsson suppose que la pesanteur se serait étendue sur cinq dimensions spatiales au lieu de trois, et aurait été très forte sur une très courte distance, pouvant ainsi compacter la matière en compensant la force gravitationnelle centripète. A contrario, nous pouvons argumenter que la force gravitationnelle aurait accéléré très nettement le processus de formation des planètes. Or, ce n’est pas le cas. Il existe un autre problème. Un processus trop rapide dû à la force gravitationnelle aurait entraîné la perte de certains morceaux de planètes en constitution, manquant alors de temps pour se fixer, s’amalgamer : « La turbulence dans le nuage ne pouvait pas être forte et l’accélération due à l’attraction, expliquée par Sigurdsson, ne devait pas être trop forte. » (5)
Cette idée est vérifiable par la Loi de Newton relative à la gravité des particules de 218 microns, dimension au-dessus de laquelle Steinn Sigurdsson pense que le mécanisme de consolidation des particules devient hypothétique. Selon lui, cette expérience peut également être réussie sur des particules inférieures à 80 microns (6).
La plupart des scientifiques pensent que les théories de Sigurdsson sont infondées, sans doute parce qu’elles remettent en question l’acceptation évolutionniste de la formation des planètes, dont il est impossible de trouver la raison naturelle. En considérant que l’univers aurait entre 6.000 et 10.000 ans au lieu de plusieurs milliards d’années, l’explication du Big Bang apparaît encore une fois fantasmagorique et purement dogmatique. A cela, nous pourrions argumenter sur la précision de la position des astres et d’un ordre de l’univers dont le hasard ne peut être l’origine et plus sérieusement une origine surnaturelle, divine de la Création.
Laurent-Blancy
Le Libre Journal de la France Courtoise - n° 402 du 12 mars 2007 - p. 22
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(1) Bernitt, R., "Stellar evolution and the problem of the first stars" ; TJ 16 (1) : pp. 12-14 ; 2002.
(2) Ibid. pp. 32-34.
(3) Zeilik, "M., Astronomy - The Evolving Universe", 8e éd. John Wiley and Sons, New York ; pp. 260 (1997).
(4) Ibid, p. 33.
(5) Ibid. p. 34.
(6) "Leviathan, op het spoor van de oorsprong" n° 26, janvier 2003.
La formation des planètes et la fantasmagorie du "Big Bang"
La science contemporaine explique que notre système solaire est né de la matière des étoiles mortes. Ce schéma correspond à l’hypothétique processus de l’évolution dont le point de départ est le Big Bang il y a plusieurs milliards d’années. Dans ce cas précis, il ne s’agit pas d'une évolution des espèces mais d’une évolution des étoiles, des planètes. Les évolutionnistes pensent que ces dernières seraient apparues d’un nuage de poussières, d’une nébuleuse "décomposée".
Ils présument que la matière proviendrait d’étoiles mortes, bien que les molécules de gaz seraient insuffisantes à ce procédé de formation. On croit alors que la matière a évolué à partir de l’explosion d’une étoile après sa transformation en supernova. Notre système solaire serait par conséquent le résultat d’un nuage d’une étoile morte. Ce sont là les simples processus dont l’évolution est le seul mécanisme.
Ce processus semble d’autant plus incohérent que les évolutionnistes reconnaissent que les planètes et la matière se sont formées très rapidement (1). Aucun raisonnement scientifique ne permet d’expliquer cette rapidité qui est contraire à la formation de la matière. Cette phase de la théorie évolutionniste, comme beaucoup d’autres relatives au scénario du Big Bang, comporte bien des incohérences. La formation des étoiles se heurte aux mêmes difficultés, bien que celles-ci prennent davantage de matière du nuage.
Un article récent de New Scientist affirme que le processus de formation d’une planète est très compliqué. On y reconnaît quatre stades : « Un modèle de nébuleuse doit tenir compte de quatre stades importants de l’évolution conduisant au système solaire : la formation de la nébuleuse à partir de laquelle les planètes et le soleil apparaissent, la formation de corps élémentaires planétaires, l’évolution de la planète, la dispersion des gaz restants et des particules. Ces stades d’évolution devraient encore être complétés par d’autres détails élémentaires. » (2). Il est très hypothétique d’avancer que de la matière reste après l’explosion d’une supernova. En 1796, Laplace pense que la seconde phase de formation des planètes commence avec l’action d’un nuage gazeux. Selon lui, il y a trois étapes dans cette action :
1) l’assemblage de la matière à partir de petites particules sous l’effet de la gravitation ou de la pesanteur ;
2) la formation de ces particules en de plus gras éléments ;
3) l’augmentation de la masse par l’enchevêtrement des atomes et des molécules. (3)
L’étape la plus compliquée est la première. Les particules assemblées doivent atteindre un diamètre de dix mètres, dimension à laquelle on estime que la pesanteur est suffisamment importante pour capter et condenser davantage et plus rapidement la matière. Ainsi les planétissimaux deviennent des planètes.
Cependant, une question reste en suspens. Quel est le mécanisme qui permet les tout premiers assemblages de la matière, alors que nous sommes au stade précédent, celui qui fait naître l’effet de la pesanteur ? Les astrophysiciens considèrent que ce procédé s’est déroulé trop lentement, car nous présumons que la température de l’univers est de - 270 °C. Nous remarquons donc que la formation d’un système solaire reste bien inexplicable. Nos réponses se trouvent dans une recherche en profondeur des causes premières et des effets mécaniques. Les explications évolutionnistes semblent par conséquent très injustifiables et contradictoires.
Pour des raisons semblables, Stein Sigurdsson, astronome de l’Etat de Pennsylvanie et chercheur à la NASA, pense qu’« il existe une autre dimension dans un lieu inconnu de l’univers où la pesanteur est active. Si cela est le cas, alors la pesanteur, qui est très petite sur une grande échelle, s’accentue sur une courte échelle conditionnée par une autre dimension... » (4)
Stein Sigurdsson suppose que la pesanteur se serait étendue sur cinq dimensions spatiales au lieu de trois, et aurait été très forte sur une très courte distance, pouvant ainsi compacter la matière en compensant la force gravitationnelle centripète. A contrario, nous pouvons argumenter que la force gravitationnelle aurait accéléré très nettement le processus de formation des planètes. Or, ce n’est pas le cas. Il existe un autre problème. Un processus trop rapide dû à la force gravitationnelle aurait entraîné la perte de certains morceaux de planètes en constitution, manquant alors de temps pour se fixer, s’amalgamer : « La turbulence dans le nuage ne pouvait pas être forte et l’accélération due à l’attraction, expliquée par Sigurdsson, ne devait pas être trop forte. » (5)
Cette idée est vérifiable par la Loi de Newton relative à la gravité des particules de 218 microns, dimension au-dessus de laquelle Steinn Sigurdsson pense que le mécanisme de consolidation des particules devient hypothétique. Selon lui, cette expérience peut également être réussie sur des particules inférieures à 80 microns (6).
La plupart des scientifiques pensent que les théories de Sigurdsson sont infondées, sans doute parce qu’elles remettent en question l’acceptation évolutionniste de la formation des planètes, dont il est impossible de trouver la raison naturelle. En considérant que l’univers aurait entre 6.000 et 10.000 ans au lieu de plusieurs milliards d’années, l’explication du Big Bang apparaît encore une fois fantasmagorique et purement dogmatique. A cela, nous pourrions argumenter sur la précision de la position des astres et d’un ordre de l’univers dont le hasard ne peut être l’origine et plus sérieusement une origine surnaturelle, divine de la Création.
Laurent-Blancy
Le Libre Journal de la France Courtoise - n° 402 du 12 mars 2007 - p. 22
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(1) Bernitt, R., "Stellar evolution and the problem of the first stars" ; TJ 16 (1) : pp. 12-14 ; 2002.
(2) Ibid. pp. 32-34.
(3) Zeilik, "M., Astronomy - The Evolving Universe", 8e éd. John Wiley and Sons, New York ; pp. 260 (1997).
(4) Ibid, p. 33.
(5) Ibid. p. 34.
(6) "Leviathan, op het spoor van de oorsprong" n° 26, janvier 2003.
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