mercredi 21 août 2024

L’écologie et le réchauffisme ou les sermons édifiants de la dictature mondialiste

 

Il existe trois sortes de prédicateurs écolos : les imbéciles instruits, les crétins ignares et les profiteurs cyniques qui manipulent les deux autres.

Ils ont la gueule de l’emploi

La physiognomonie n’est certes pas une science exacte. Mais elle le devient avec les écolos et les réchauffards. On y trouve tant de grands dadais attardés, de minus complexés et de matrones laissées pour compte, qu’on les identifie au premier coup d’œil. Quand une nouvelle tête verdâtre apparaît à la télé, on la cadre immédiatement. Avant même qu’elle ait dégoisé ses inepties habituelles. Et on se trompe rarement.

Déjà qu’ils ne sont pas beaux, quand ils défilent sous leurs drapeaux verts, on croirait voir passer un ramassis de Hamas à la ramasse. Confusion pardonnable puisque les écolos approuvent et soutiennent les assassins djihadistes.

Ils portent sur leurs tronches, dans leurs rictus et leurs ricanements, leur vêture et leur gestuelle, l’agressivité à fleur de peau des primates mal dégrossis. Autant de stigmates d’un abrutissement congénital interdisant toute réflexion personnelle. Un phénotype accentué chez les herbivores. La carence en protéines animales, en fer, zinc, calcium vitamines D et B12 produit des états de débilité profonde, physique et mentale.

Leur teint bilieux de papier mâché constellé de pustules, leurs yeux éteints, leur posture affaissée, leurs propos catatoniques, autant de symptômes révélateurs. Même un observateur peu perspicace les remarque.

Du fait de graves dysfonctionnements organiques les rendant inaptes à toute activité dynamique ou créatrice, et parce qu’il faut bien manger même si on ne rumine que de l’herbe et des glands, on les retrouve en politique et dans les associations de malfaisance subventionnées. Leur force de travail se résume à des acclamations et des votes téléguidés en faveur de ceux qui entretiennent leur parasitisme.

Mais ces tarés se croient appelés à gouverner le monde

La complaisance des médias stipendiés pour détruire nos sociétés développées et la lâche complicité d’élus corrompus qui font feu de tout bois, du moment qu’il y a du pognon à ramasser, entretiennent l’illusion que les écolos-réchauffards seraient indispensables. Les coraniques se délectent. Allah est trop bon de leur fournir de tels alliés.

La jobardise des téléphages lobotomisés est telle qu’ils ne s’étonnent plus de voir des « figures médiatiques » au QI à 2 chiffres, issues de la télé-réalité, faire la leçon à des nobélisables, encouragés par des journaleux décérébrés. Jusqu’à ce chef d’œuvre de perfection dans l’abrutissement généralisé qu’a été la promotion d’une mongolienne déscolarisée, reçue partout comme un chef d’État et à qui on avait promis la lune, après lui avoir offert un doctorat de complaisance.

La religion n’est plus l’opium du peuple, sauf pour les mahométans. Chez les chrétiens et les agnostiquess, la drogue dure de l’écologie politique en tient lieu. La dictature verte et le réchauffisme sont les piliers d’une religion laïque comme était le communisme au siècle précédent. Avec leurs dogmes, leurs rites, leurs messes, leur clergé, leurs adeptes sidérés adorateurs de sainte Bécasse, leur bureaucratie pesante, leur propagande omniprésente, leurs interdits alimentaires « devenez herbivores pour sauver la planète ! » et leur inquisition médiatique prompte à punir de la mort sociale les blasphémateurs et les hérétiques.

Pour les chamanes de cette nouvelle religion, ceux qui ne prient pas avec eux sont des suppôts de Satan qui menacent la survie de l’humanité. Ils ont donc le devoir de les réduire au silence. En les bannissant de la société. Avant de les enfermer dans des camps de rééducation. Façon commode de masquer la pauvreté de leurs arguments et d’esquiver tout débat scientifique.

Jean Cul Merluchon dans le rôle de Merlin le désenchanteur

Le merlin est un marteau dont se servent les bouchers pour assommer les bœufs. La coïncidence sémantique est frappante.

Ce gus, qui n’a jamais vraiment travaillé de sa vie, a apporté à la civilisation l’inestimable concept de « planification écologique ». Des politichiens ont essayé de le plagier, mais aucun n’y est parvenu. L’individu est inimitable.

Selon l’apprenti dictateur en formation, la planification consiste à orienter la société de façon autoritaire, à la fois « inclusive et convergente » (les deux mots magiques !) en canalisant tous les acteurs économiques de façon contraignante vers le but à atteindre.

Pour le néo-stalinien Merluchon, la planification est la solution pour attirer des écologistes usés par des décennies de logomachie impuissante. Comme il a récupéré les mahométans solidaires de leurs coreligionnaires assassins du Hamas, il prétend fédérer les écologistes qui se sentent désarmés contre les industriels et les multinationales. S’opposer aux trains, aux avions, aux centrales nucléaires, agresser les agriculteurs et les chasseurs, saloper les œuvres d’art, ne permettent que des victoire à la Pyrrhus, sans rien changer réellement à la société.

Le Merluchon entend faire partager ses envies de « grand soir » aux frustrés, fatigués par des années de vaines luttes et épuisés par des échecs déprimants, en leur proposant un régime totalitaire pour imposer des mesures écologiques. Au nom de la démocratie qui a le dos large pour couvrir toutes les forfaitures commises au nom des idéologies.

L’État et ses métastases au service de ces hurluberlus

Issus des comités Théodule, des plans sont régulièrement mitonnés pour changer le monde. Ils ne tiennent compte ni des clameurs de la majorité des électeurs, ni des contraintes naturelles ou économiques, ni des usages immémoriaux. On ne se demande même pas si c’est réalisable. L’important est d’avoir une bonne visibilité médiatique pour coiffer au poteau ses petits camarades.

Le Borne, du temps de sa splendeur, avait annoncé le lancement d’un plan de transformation de l’économie française piloté par un nébuleux Secrétariat général à la planification écologique. Ridiculement appelé « France nation verte », ce plan prétendait piloter 22 chantiers prioritaires dont l’isolation des logements, la décarbonation des industries, des éoliennes à gogo, les bagnoles électriques obligatoires, encore plus de subventions aux assoces. Avec en guise d’alibi démocratique, un « Conseil National de la Refondation » coopté parmi les bien-pensants en quête de sinécures.

Bien évidemment, ça n’a abouti à rien. Pas plus que les plans quinquennaux de l’ex-URSS et les plans keynésiens européistes depuis 1945. La rigidité de ces projections irréalistes portait les germes de leur autodestruction. Parce que l’économie fluctue au gré des multiples aléas de la conjoncture, et qu’il faut sans cesse l’adapter. Et que les humains qui la font fonctionner ne sont pas les rouages d’une machine en pilotage automatique.

Les élucubrations écologiques de la bornée n’ont quand même pas été tout à fait vaines. Elles lui ont permis de copiner avec l’extrême gauche pour se faire réélire.

L’éco-tyrannie « de gauche » associée à l’ultra-capitalisme sauvage du NWO

L’Eurocrature, par ses directives, nous offre un échantillon d’une future gouvernance totalitaire sous la tutelle sourcilleuse du GIEC. Des gens qui proviennent de mouvements extrémistes imbibés de trotskisme, se sont laissé convaincre qu’après l’échec de la lutte des classes, la lutte des places passerait par une gouvernance mondiale chargée de résoudre les problèmes planétaires par la propagande, les injonctions, la matraque et le racket fiscal des peuples.

Les multinationales ripolinées en vert profitent de la nullité des gouvernements et de la stupidité des écolos. Étrange tout de même que des gens qui se disent anticapitalistes ne voient pas que, par la pression sociale qu’ils exercent et les normes qu’ils imposent, ils favorisent le racket de milliards de dollars chaque année au profit des banksters du NWO, investisseurs dans l’économie  dite verte, aussi polluante que l’autre et pas plus motivée à réduire-détruire ses déchets.

Les médias stipendiés créent une illusion d’unanimisme, tandis que la webstapo bâillonne les voix discordantes et que des fact checkers autoproclamés dispensent leurs « vérités ». Ce n’est pas un hasard si les plate formes inféodées aux banksters effacent puis bannissent des scientifiques de haut niveau qui contestent la doxa, avec des arguments raisonnés et démontrables. Sans injures, ni menaces, ni racisme, prétextes habituels des maîtres cenSSeurs pour motiver leurs infamies.

Christian Navis

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