Alors que les médias et certains scientifiques persistent à dépeindre une catastrophe imminente, les faits racontent une toute autre histoire :
La Grande Barrière de corail a enregistré sa troisième année consécutive de croissance corallienne record en 2023-2024.
Le corail atteint désormais son niveau le plus élevé depuis le début des observations détaillées : une réalité soigneusement passée sous silence par les grands médias.
Pourquoi cette réalité est-elle ignorée ?
Parce qu'elle ne cadre pas avec le narratif du "changement climatique" comme "menace existentielle".
Pourtant, les chiffres sont là : la couverture corallienne dure a augmenté dans presque toutes les régions du récif.
Les médias traditionnels, qui préfèrent diffuser des études alarmistes basées sur des modèles et des estimations, refusent de donner à ces données le poids qu'elles méritent.
Le blanchissement du corail, souvent brandi comme preuve de l'agonie du récif, est un phénomène naturel et temporaire.
Les coraux, qui prospèrent entre 24°C et 32°C, se rétablissent rapidement après ces épisodes.
Pourtant, certains continuent de marteler l'idée d'un effondrement écologique inévitable et ignorer la croissance record du corail.
Dr. Peter Ridd, un scientifique reconnu, souligne d'ailleurs que le récif est "en excellente santé", et que l'impact du blanchissement est systématiquement exagéré par les médias et fake-checkeurs et certaines organisations scientifiques pour maintenir les financements.
La Grande Barrière de corail a enregistré sa troisième année consécutive de croissance corallienne record en 2023-2024.
Le corail atteint désormais son niveau le plus élevé depuis le début des observations détaillées : une réalité soigneusement passée sous silence par les grands médias.
Pourquoi cette réalité est-elle ignorée ?
Parce qu'elle ne cadre pas avec le narratif du "changement climatique" comme "menace existentielle".
Pourtant, les chiffres sont là : la couverture corallienne dure a augmenté dans presque toutes les régions du récif.
Les médias traditionnels, qui préfèrent diffuser des études alarmistes basées sur des modèles et des estimations, refusent de donner à ces données le poids qu'elles méritent.
Le blanchissement du corail, souvent brandi comme preuve de l'agonie du récif, est un phénomène naturel et temporaire.
Les coraux, qui prospèrent entre 24°C et 32°C, se rétablissent rapidement après ces épisodes.
Pourtant, certains continuent de marteler l'idée d'un effondrement écologique inévitable et ignorer la croissance record du corail.
Dr. Peter Ridd, un scientifique reconnu, souligne d'ailleurs que le récif est "en excellente santé", et que l'impact du blanchissement est systématiquement exagéré par les médias et fake-checkeurs et certaines organisations scientifiques pour maintenir les financements.
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