Au début du XXe siècle, la corruption de la classe politique de la IIIe République était régulièrement dénoncée par la presse d’opposition au régime, qu’elle fut royaliste ou anarchiste.
Si elle est moins présente et moins visible aujourd’hui, il est néanmoins marquant de constater que le « pays légal » défend toujours ses intérêts en négligeant le bien commun et en appauvrissant, concrètement, le « pays réel », et quand les dettes publiques augmentent, ce ne sont pas les politiciens qui les creusent qui auront à les payer…
Les Royalistes sociaux se refusent à toute démagogie facile : non, ce n’est pas d’un coup de baguette, ou de sceptre, magique que les appétits des puissants disparaîtront. Mais les Royalistes sociaux en appellent à la décence sociale et au sens de l’intérêt national, et ils savent qu’une Monarchie royale préférera toujours les Colbert aux Fouquet et successeurs…
Illustration : caricature du début du XXe siècle dénonçant la République et ses hommes profitant de « l’assiette au beurre » et spéculant sur les dettes pour s’enrichir.
Sources : http://www.actionroyaliste.fr/
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