mercredi 18 décembre 2019

COP 25 : La débâcle des imposteurs climatiques

Nounours-3-5ddfb.jpgLa piètre COP 25 a fait hurler de rage Sainte Greta, le GIEC et leurs suiveurs. Savent-ils que la défiance des États résulte des procédures judiciaires conduites un peu partout dans le monde contre les imposteurs ? Les États hésitent encore à les bannir et à leur couper les vivres... Mais leurs chancelleries saisies de ces dossiers brûlants leur recommandent de se désengager au plus vite.
Entre chaud et froid, Sahara gate, Malaria gate, Himalaya gate, Banquise gate et Macron gates au pluriel, on retrouve les mêmes méthodes : chiffres truqués, rapports tronqués, tricheries éhontées... Pour soutirer de l'argent au gogos. Or les grands marabouts du climat ne sont pas dispensés de respecter la Loi.
Climato et les plaideurs
COP 25 ! Kézako ? Cop = flic en anglais. Bel exemple d'inconscient linguistique lacanien. Volonté de fliquer la planète... Mais faute avouée à demi-pardonnée ?
Les réchauffards, ivres de leurs succès médiatiques, ont déclaré la guerre aux États, en vue de les faire condamner pour leur faible contrôle sur les émissions de CO2. Dans le cas des Pays Bas, ils ont trouvé des juges complaisants. Mais comment comptent-ils actionner les voies d'exécution inhérentes à toute décision judiciaire ? Je ne connais que 2 façons de contraindre un État qui refuse de se plier à une injonction extérieure : le blocus ou la guerre. Les réchauffards combien de divisions ?
Les climato-fanatiques qui, jusqu'alors, avaient manœuvré assez habilement ont commis 3 erreurs fatales pour eux. D'abord ils se sont attaqués à des poids lourds : États Unis, Chine, Brésil, Australie, Inde, Arabie Saoudite. Des États qui n'ont pas apprécié de se faire importuner par une gamine et l'ont fait savoir à la COP 25.
Ensuite, anesthésiés par les flatteries des journaleux, les climatos ont oublié que les services spéciaux des États montaient des dossiers contre eux, pour les sortir au moment opportun. On peut éviter ce genre de désagrément en étant irréprochable. Mais pour beaucoup, c'est loin d'être le cas.
Enfin les réchauffards quand ils visent des personnes, ont ignoré l’existence sous des appellations différentes, dans les procédures de tous les grands pays, d'une riposte dévastatrice : l'action en demande reconventionnelle. En clair : tu m'attaques. Je me défends. Et en même temps je contre attaque. Sur le fond de ta requête, expertises à l'appui, et en suggérant que la forme adoptée révèle une intention de nuire, d'intimider ou de discréditer.
Tout juriste, même débutant, sait que lorsque l'attaqué devient attaquant, cette forme de demande incidente permet très souvent d'inverser le rapport de force au procès.
Michael E. Mann, Prix Nobel, condamné pour fraude !
Ce golden boy du climat fut l'idole des téléphages Nord Américains friands de talk shows, avant d'être détrôné par une gosse capricieuse... Michael Mann (rien à voir avec son homonyme cinéaste) est un vrai scientifique. Géophysicien, expert en cristaux liquides et en matériaux supraconducteurs. Mais c'est aussi un caractériel souffrant d'un ego hypertrophié, ne supportant pas d'être contredit.
Or l'hypothèse du réchauffement de la planète repose essentiellement sur le graphique dit « bâton de hockey » élaboré par cet individu. Ce graphique a servi au GIEC, aux médias et à divers gouvernements pour appuyer le discours sur le réchauffement.
Mais le graphique du bâton de hockey (900 ans de plat puis une montée en flèche sur les 80 dernières années) est une énorme fraude. Une tricherie sophistiquée. Reposant sur un algorithme conçu pour produire cette forme particulière, quelles que soient les données saisies. Comme l'a démontré le docteur Tim Ball dans son ouvrage « La corruption délibérée de la science du climat »
Michael Mann n’a pas apprécié d'être traité de fraudeur. Il a poursuivi son accusateur en justice pour diffamation. Et fin août 2019, la Cour suprême de Colombie-Britannique (Canada) a rejeté l’action de Mann contre le Docteur Tim Ball à l'issue d'une procédure de 9 ans... Et par voie reconventionnelle, Ball a obtenu que la fraude de Mann soit reconnue par la Cour et qu'il soit condamné à indemnisation et aux dépens. Les motifs de la cour sont intéressants :
« Michael Mann a refusé de remettre aux experts mandatés par la justice les chiffres de l'augmentation des températures qui révèlent selon le défendeur des manipulations de données ayant conduit à la modification du graphique dit du bâton de hockey. Cette réticence à divulguer l’algorithme du graphique et les points de données, révèle le manque total de transparence et d’intégrité scientifique qui entache le travail prétendument scientifique de Mann. »
Au-delà du refus de Mann de communiquer ses calculs, la cour a probablement été influencée par des rédacteurs de la « Revue du M.I.T » (une sacrée référence !) lesquels ont affirmé que « la courbe de Mann est un artéfact mathématique médiocre dont on ne peut tirer aucune conclusion. »
Un autre procès se poursuit devant la Cour de Pennsylvanie pour les mêmes motifs, cette fois aggravés des incriminations pénales de falsifications et de parjure. Bientôt un réchauffard en pyjama orange ?
Et bravo au Docteur Tim Ball, qui en a comme son nom l'indique. Ce docteur en géographie et en climatologie évolutive ne s'est pas laissé intimider par la hiérarchie universitaire et par la meute médiatique lâchée à ses trousses par un adversaire ne reculant devant rien pour lui pourrir la vie. On doit à Tim Ball une étude pluridisciplinaire écrit avec 7 co-auteurs concluant que « les températures de l'air printanier autour du bassin de la baie d'Hudson au cours des 70 dernières années ne montrent aucune tendance significative au réchauffement, et qu'en conséquence, la disparition annoncée de l'ours polaire est infondée. »
Les graphes :
Glaciers de l'himalaya
En 2010, le GIEC a utilisé une étude affirmant que tous les glaciers de l'Himalaya auraient fondu d'ici à 2350. La plupart des glaciologues de montagne tiennent cette évaluation pour hautement improbable. Les astrologues du GIEC ont alors délibérément interverti les chiffres pour annoncer la fin du dernier glacier himalayen en 2035 !
Ainsi le GIEC dyslexique a écrit dans son rapport AR4 que « au rythme actuel, les glaciers de l’Himalaya auront reculé de 500 000 km2 et disparu d'ici l'année 2035 ». Ces savants devraient retourner à l'école. Car les glaciers de l'Himalaya occupent une surface totale de 35.000 km2, cela figure dans n'importe quel manuel scolaire.
Après enquête, il est apparu que l'étude menée par des « experts éminents » avait été publiée par le WWF, le fonds pour la préservation de la faune sauvage, ami des tourterelles, des lémuriens et des pandas, qui n'a aucune compétence en matière de glaciologie et dont le siège social se trouve en Suisse à Gland (ça ne s'invente pas !)
Derrière ces incohérences, un nom apparaît de façon récurrente : celui de Rajendra Pachauri. L'homme est ingénieur ferroviaire ! Comme Jouzel est ingénieur atomiste... La climatologie doit être leur violon d'Ingres.
Pachauri patron du GIEC indien est aussi président du TERI (The Energy and Resources Institute) une entité liée au groupe industriel Tata : Aciéries, usines de fabrication de véhicules, centres de télécoms, commerce agroalimentaire, holdings financières... Pour un chiffre d'affaires de l'ordre de 110 milliards de dollars US. La préoccupation réchauffiste de ces gens-là relève d'une vocation vraiment tardive !
Pachauri aurait embauché comme « distinguished Fellow » le promoteur de l'étude catastrophiste menée par WWF, un certain Syed Hassain, qui a tout nié en 2017 quand une enquête préliminaire a été ouverte.
Là dessus, un troisième comparse Sri Murai Lal a affirmé dans une interview au Daily Mail que les rédacteurs du GIEC savaient parfaitement que les prévisions concernant les glaciers de l'Himalaya étaient erronées mais considéraient que le discours sur la fonte des glaciers servait à encourager les décideurs politiques à passer à l'action. Et à la caisse.
En d'autres termes, Sri Rajendra Pachauri a délibérément publié dans le rapport du GIEC qui est tenu pour vérité révélée par les médias suivistes, une information falsifiée. Puis il s'en est servi, avec le concours de Syed Hassain pour récolter l'équivalent de plusieurs millions d'euros au profit de l'institut qu'il dirigeait. Assortis d'une rémunération personnelle confortable pour les mandats d'administrateur qu'il y exerçait. Des procédures sont en cours. En outre, Pachauri 78 ans est poursuivi pour harcèlement sur une collaboratrice de 29. Y'a pas à dire, l'écologie ça maintient vert !
2 milliards et demi de dollars ont été versés en 2015 aux réchauffards bénévoles et désintéressés, et ça n'a pas diminué depuis, bien au contraire :
Al Gore’s Alliance for Climate Protection $19.150.215
Seulement 19 millions de US$ pour Bébert, c'est la honte ! Les autres font mieux :
The Wilderness Society $ 24.862.909
National Parks Conservation Association $ 25.782.975
Greenpeace USA $ 32.791.149
The Sierra Club Foundation $ 47.163.599
National Wildlife Federation $ 84.726.518
National Audubon Society $ 96.206.883
The Sierra Club  $ 97.757.678
Natural Resources Defense Council $98.701.707
The Environmental Defense Fund $111.915.138
World Wildlife Fund $208.495.555 pour l'associé de Rajendra Pachauri.
Wildlife Conservation Society $ 230.042.654
Greenpeace International $ 406.000.000
The Nature Conservancy $ 949.132.306
La plupart des bénéficiaires de ces largesses sont incapables de présenter une comptabilité justifiant leurs dépenses pour sauver la planète. En 2018 et 2019, le FBI a perquisitionné quelques antennes des officines sises aux USA, et les inculpés ont préféré passer des deals avec la justice. Trump a suivi de près ces procédures et il est probable que cela l'ait conforté dans sa méfiance envers les réchauffards.
Australia gate
Peter Ridd était un enseignant et un chercheur respecté attaché à la James Cook University (Queensland) Son domaine d'expertise était la grande barrière de corail. En étudiant les causes du dépérissement des polypes, il a identifié plusieurs raisons dont la pollution marine liée aux rejets industriels et domestiques, et à la prolifération d'algues et d'animalcules qui colonisent le corail. Dès lors le soi-disant réchauffement climatique apparaît comme un phénomène marginal surévalué.
Honnête, le docteur Ridd informe ses collègues de ses découvertes et essaye en vain de les publier dans le bulletin de l'université. Comme personne ne s'intéresse à ses travaux, et que ses collègues le mettent en quarantaine, il signe sa condamnation à la mort sociale en brisant l'omerta. Il vulgarise et publie les preuves de la supercherie dans un quotidien local puis un magazine national et sur le web.
Aussitôt, il est sommé de revenir sur ses propos, et comme il n’obtempère pas, on le vire purement et simplement. Après des années de procédure, il a réussi à faire condamner le 6 septembre 2019 son ancien employeur par la Cour d’Appel Fédérale qui lui a alloué 1,2 million AUDollars d'indemnités.
L’arrêt est particulièrement intéressant dans ses motifs puisqu’il prend en considération comme préjudices « la persécution, les brimades, et le harcèlement hystérique dont Ridd a été victime, jusque dans sa vie privée, alimentées par une vindicte systémique sans autre reproche que d'avoir exprimé une théorie non conforme à ce que professaient ses collègues. »
Africa Gate
Dans la locomotive destinée aux décideurs, pilotée en personne par l'ingénieur ferroviaire Pachauri, le GIEC a annoncé que le réchauffement allait diviser par deux les rendements agricoles des pays d'Afrique du fait de sécheresses accrues. D'ici à 2020. On y est. Mais comme pour les atolls disparus avant 2020 mais toujours là, les astrologues se sont trompés et ont trompé ceux qui ont gobé leurs calembredaines.
Il est vrai qu'une simple extrapolation des courbes depuis 1950 ne portait pas à l'optimisme. Mais aucune suite de données récentes ne venait étayer les affirmations du GIEC, sinon des citations partielles et partiales cueillies dans une obscure étude publiée par un « Institut du Développement Durable » que personne ne connaissait. Une entité canadienne en quête de subventions, dont la communauté scientifique ignore les travaux... Avec à sa tête un Marocain autoproclamé climatologue, auquel la justice de son pays s'intéresse.
Cet individu qui n'a aucune qualification scientifique prétend étudier les risques de sécheresses au Maghreb. Il ne s'agit en aucun cas de recherches documentées sur toute l'Afrique, mais d'études de scénarios locaux, destinés à être vendus sous forme de conseils climatiques aux entreprises...
En outre, les observations satellitaires montrent que si le Sahel ne verdit pas comme la Normandie, la désertification s'est arrêtée et les cultures regagnent un peu de terrain du fait d'une augmentation des précipitations et des progrès dans les techniques agricoles pilotées par la FAO. Mais ces informations sont superbement ignorées par le GIEC de même que les photos de National Geographic montrant qu'en Tunisie on regagne des zones de culture sur la désertification. En irriguant et en amendant la terre.
Macron gate N°1
Le 21 septembre 2017, le parti politique du conducator publie sur son site une page bourrée de chiffres effrayants sur les risques du réchauffement climatique.
Les experts du président affirment que 7,8 millions de litres de glace fondent chaque seconde (?) en Antarctique. Présenté de la sorte, ça fout la trouille © (c'est d'ailleurs le but recherché) Mais 7800 m3 par an (!) multipliés par 31.536.000 secondes/an, cela fait 246 Milliards de m3 fondant chaque année. Or le volume total de glace des pôles est de 24 millions de milliards de m3 de glace selon l' Ifremer. Donc le chiffre annoncé par le professeur Philippulus représente 0,001% du total des glaces polaires.
En outre la NASA en 2015 (avant qu'on l'accuse d'être manipulée par Trump), affirmait que « les gains de masse de l’antarctique sont supérieurs aux pertes ». Les chiffres présentés par « En Marche » correspondent uniquement à la fonte en oubliant les gains.
Si on rétablit la balance pour la planète, la perte annuelle représente dans l'hypothèse la plus défavorable 246 km3 de glace. C'est du même ordre de grandeur que les calculs d'une autre étude de la NASA chiffrant en 2016 à 232 km3 la fonte de la banquise. Compensée par un gain moyen de 45 Milliards de tonnes de glace annuels.
Or la surface totale des océans est de 360 Milliards de km2. Le volume brut de glace fondue serait de 0,68mm par an, soit 7 cm par siècle... Mais pour la NASA la fonte polaire actuelle produit une hausse observée du niveau des mers de 0,4 mm, soit 4 cm par siècle.
Les chiffre des marcheurs étaient délibérément présentés pour capter de nouveaux flux financiers en vue de sauver le monde. Conséquence : des groupes anti-corruption attirent en ce moment l'attention de juges d'instruction sur l'affectation réelle des sommes récoltées.
Amazone Gate
Le rapport du GIEC prétendait que 40% de la forêt amazonienne souffrait gravement d'une baisse des précipitations causée par le prétendu réchauffement global. Or, il apparaît que la source émane là encore du WWF et de l'IUCN, une organisation politique intergouvernementale comme le GIEC et dont le siège social se trouve aussi à Gland (décidément ils le font exprès !) Tandis que l'article alarmiste mis en avant par le GIEC a été écrit par un éditorialiste politique et un journaliste free lance, écologiste activiste, selon le Daily Telegraph.
L'article de ces deux propagandistes donne pour unique source une étude de « Nature », revue scientifique sérieuse mais qui n'est pas hermétique aux pressions des réchauffards. Or le GIEC a choisi de ne pas mentionner cette revue qui lui est plutôt favorable. Pourquoi ?
Jean Martin, décédé il y a un an, ancien directeur de recherches au CNRS et patron de l'école supérieure de physique de Paris, auteur de « Pensée scientifique unique », expliquait que l'article de « Nature » évoquait une perte de biomasse provoquée par la déforestation et les feux de forêts, mais en aucun cas liée à une diminution du niveau des précipitations. Nulle part il n'y est fait mention dans l'article, pas plus que des 40% de forêt amazonienne en train de disparaître à cause du prétendu réchauffement cataclysmique.
Encore un trucage décelé ou comment détourner une info authentique en la modifiant, et en passant sous silence sa substance intrinsèque, pour la faire coller pile poil aux obsessions des climato-fanatiques. On comprend pourquoi Bolsonaro a expulsé les truqueurs étrangers et fait coffrer quelques uns de leurs complices brésiliens, auteurs d'actes de violence et de sabotage de l'économie.
Malaria Gate
Paul Reiter est professeur d'entomologie médicale à l'institut Pasteur, spécialiste des maladies transmises par les insectes, dont la malaria. Reiter stigmatise les affirmations péremptoires du GIEC sur la propagation de la malaria, reposant sur des approximations qui d'après lui relèvent de la manipulation systématique des données.
Cette sommité mondialement reconnue, peine à se faire entendre en France. Mais la chambre des Lords britannique l'a auditionné à propos des erreurs diffusées par le GIEC. Son argumentation débute sur le fait qu'un grand nombre d'études médicales abondent sur ce sujet... Toutes ignorées par le GIEC qui se réfère systématiquement à des articles écrits par des sociologues, des économistes et des journalistes, arguant tous d'une augmentation inquiétante de la maladie. À cause du réchauffement.
Reiter écrit : « le public entend encore et encore qu’il y a un consensus scientifique, sur le réchauffement, et que nous sommes au bord du désastre. C’est un mensonge et un non-sens (...) Pendant des années, le public a été nourri avec des catastrophes et de la misère, servies par des alarmistes qui utilisent le langage de la science pour soutenir un agenda.
Et il demande combien de millions de comprimés de nivaquine ® tant préventifs que curatifs ont été vendus à Nairobi et environs, après les mensonges de Al Gore. Expliquant : « Nairobi était déjà dangereusement infesté quand la ville a été fondée, non pour des raisons de climat favorable, mais pour servir une ligne de chemin de fer. La ville est maintenant plutôt épargnée par la malaria et l’endroit ne s’est pas réchauffé d'un degré (…) En fait, les épidémies de malaria ont été fréquentes jusqu’aux années 1950, quand le DDT a fait son apparition. Actuellement, la lutte contre la malaria a régressé de 20 ans à cause de l’interdiction du DDT. (NDLR : un grand merci aux zékolos !)
Reiter a dénoncé au passage la mainmise d'activistes du WWF (qui vit de la charité publique et a tout intérêt à affoler le public et à mettre sous pression les gouvernants pour récolter des fonds) sur la rédaction des rapports prédisant une extension de la malaria... Avant de claquer la porte du GIEC dont il était consultant externe. Mais comme dans les sectes, on ne vous laisse pas partir comme ça ! Le name dropping a trop de valeur pour crédibiliser les gurus qui feignent de s'entourer d'experts, tous approbateurs dociles de leurs carabistouilles.
Cet éminent spécialiste de classe internationale a dû leur faire un procès pour que son nom soit retiré de la « liste des scientifiques soutenant le consensus climatique » !
Cet épisode de captation de réputation est à rapprocher du cas de Richard Lindzen, professeur au MIT, membre de l’Académie américaine des sciences, qui après avoir été consultant pour le GIEC, fut ulcéré de voir le détournement qu'on faisait de ses travaux et eut lui aussi le plus grand mal à se faire rayer de la liste.
Reiter a profité de la tribune qui s'offrait à lui pour rappeler que la malaria n'est pas une maladie uniquement tropicale. On l'a connue en France autour des zones marécageuses de Sologne ou du Languedoc jusqu'à la fin du XIXème siècle, mais aussi en Sibérie dans les années 1920 et en Finlande qui compte de très nombreux lacs. La maladie fut contenue par l'assèchement des marais, une hygiène préventive et l'éradication des moustiques. Cependant, pour le GIEC, le paludisme est une maladie spécifiquement tropicale ! C'est dire le niveau scientifique de leurs « experts ».
Macron gate N° 2
Toujours en 2017, repris en 2018, le site « En Marche », affichait un chiffre apocalyptique sur un image stressante : 1 km2 de forêt disparaît à chaque seconde !
Sachant qu'il y a 31.536.000 secondes/an, hors années bissextiles, une telle cadence anéantirait 31 millions de km2, soit 25% de la surface des terres émergées chaque année. En mai 2021 la terre ressemblera donc à la planète Mars.
Quant à « l'inéluctable accélération du processus de destruction » selon les macroniens, cette prédiction est démentie par le professeur émérite David South de l'université d'Auburn Alabama qui, auditionné en 2018 par le sénat US rappela que si 2017 avait vu brûler environ 6 millions d’hectares... En 1930 on en avait dénombré 21 millions partis en fumée !
Dans le même ordre d'idée, la Banque Mondiale qui finance des filières bois, affirme dans une étude documentée qu'entre 1990 et 2015 la part des forêts sur l'ensemble des continents est passée de 31.8% à 30.8%. Une diminution réversible qui n'a rien à voir avec les élucubrations des professeurs Tournesol.
En effet les forêts représentent environ 45 millions de Km2 sur des 150 millions des terres émergées. Les marcheurs se sont encore mélangés les pinceaux ! Une diminution de 1% en 25 ans correspond à une perte de 0,45 Millions de km2. Soit 18.000 km2/an. On est loin du chiffre mis en avant par les marcheurs qui vous font marcher. L'hypothèse d'une telle erreur, supervisée par leur soi-disant comité scientifique est peu vraisemblable. On pense plutôt à une tentative d'enfumage pour récolter du pognon. Vous pouvez donner 500 € et plus en ligne.
Piqures de rappel :
Atolls du Pacifique : la grande supercherie des écolos
GIEC : Pas besoin que ça chauffe pour enfumer !
Réchauffistes : Le casse du siècle
L'avis du géophysicien Vincent Courtillot qui enseigne à la prestigieuse université de Stanford :

1 commentaire:

Fachaud des Isles a dit…

Bonjour,
Ces articles ont disparu d'Agoravox, le grand défenseur de la liberté d'expression.
Toutefois, si vous leur accordez quelque intérêt, vous pouvez les retrouver sur mon blog :
https://climatorealist.blogspot.com/
Cordialement,