mardi 1 juillet 2014

George Soros et la drogue : les secrets de Judapest – par Laurent Glauzy (1/5)


« La guerre à la drogue s’est concrétisée par une perte de mille milliards de dollars » (Soros). Le milliardaire de l’Open Society Foundations (OSF) – qui est un réseau de fondations ayant pour but de promouvoir en théorie les droits de l’homme et des réformes économiques, sociales et juridiques – exposait ses arguments fallacieux dans un article du Financial Times intitulé : A futile War on drugs that wastes money (Une guerre futile contre la drogue qui fait perdre de l’argent).
George Soros, né György Schwartz, réitère depuis plusieurs années ce genre de propos subversifs. Dans le Washington Post, il déclarait : « Ma seule crainte est que la guerre contre la drogue nuise à la structure sociale. » Et, « depuis quarante ans, les gouvernements du monde entier ont dépensé des sommes gigantesques pour conduire une politique répressive, au détriment d’autres programmes. » Le milliardaire, qui fait allusion à la politique de légalisation de la drogue dont il est le soutien généreux, argumente sans vergogne : « La lutte contre la drogue n’est pas seulement un gaspillage d’argent, elle est contre-productive. La prohibition et la lutte contre la drogue ont fait plus de mal que de bien. »
« Pendant des années, mon Open Society Foundations a soutenu des programmes de réduction de propagation des dommages en mettant fin à l’échange des seringues – une manière prouvée et économique de prévenir la transmission du HIV. Un pays qui investit un dollar dans l’échange des seringues, économise au final 27 cts. » Ce modèle de propagande est bien entendu fantasmagorique.
De l’ONU à une légalisation mondiale de la drogue
En fait, Soros prône, en termes déguisés, la drogue comme instrument de contrôle de la population et d’annulation de la vie humaine. L’homme doit devenir un instrument des élites satanistes qui dirigent ce monde, comme l’explique si bien Bill Schnoebelen, ponte repenti de l’Église de Satan, ou encore le père Regimbal, assassiné en 1988.
Le requin judéo-hongrois, d’un air lucide et avec une audace propres aux plus grands criminels, expose : « Prenons le cas de la Colombie. Quand les forces de l’ordre colombiennes ont opéré un tour de vis au trafic national de la cocaïne, la violence s’est déplacée au Mexique. Le rapport de la London School of Economics (LES) estime qu’après 2007, les politiques d’interdiction du gouvernement colombien ont causé une augmentation de plus de 20 % du taux des homicides au Mexique. »
Il va sans dire que Soros essaie, par cette rhétorique, de rendre toutes les populations dépendantes de la drogue, plutôt que de munir l’ensemble des nations de moyens prohibitifs pour éviter que le mal ne s’étende.
Le magnat est un expert de la Colombie : « Bogota exporte vraiment une grande menace. L’explosion du marché illégal de la drogue, entre 1994 et 2008, a entraîné une augmentation de 25 % des homicides en Colombie, soit 3 800 morts par an. (…) Ce type de violence mène au départ des multinationales, à l’assèchement des investissements étrangers, au déclin des industries et à la fuite de la population, en quête d’une vie meilleure. Ceci est particulièrement vrai aux États-Unis qui, avec moins de 5 % de la population mondiale, représentent environ 25 % de la population carcérale de la planète. »
Soros affirme qu’« à l’assemblée générale de l’ONU de 2016, il y aura une révision du système de contrôle des drogues. La politique prohibitionniste ne peut répondre seule au problème global de la drogue.
La drogue, avec un bénéfice de 500 milliards de dollars par an – qui est la troisième source de revenu dans le monde, après le commerce du pétrole et de l’armement, détenu par les Rockefeller et les Du Pont de Nemours depuis la guerre de Sécession – est une marchandise parfaite : elle se produit économiquement, se consomme rapidement, crée la dépendance et est donc un marché éternel. C’est ce marché juteux que lorgne Soros. De plus, le capitalisme global, qui se dirige vers la phase terminale d’une gouvernance mondiale pour une dictature satanique et planétaire, a compris que la drogue est un instrument de contrôle des populations par excellence.
Ce procédé imparable avait été compris par le trésorier d’Ahmet Pacha, gouverneur de Bagdad, le communautariste David Sassoon à l’origine de la diffusion de l’opium en Extrême-Orient et de toutes les guerres qui y sont liées. Son fils, surnommé « le Rothschild des Indes » sera même anobli par la reine Victoria !
[A SUIVRE...]
Laurent Glauzy

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