Le
11 février 1998, un ouvrier restaurant la maison londonienne du Père de
la Constitution américaine trouva les restes de six enfants et de
quatre adultes, cachés sous sa maison, au 36 Craven Street, à côté de
Trafalgar Square. La nouvelle fut même annoncée par la grande presse
britannique comme The Sunday Times. Les cadavres datent de l’époque où Benjamin Franklin occupait les lieux de 1757 à 1762 et de 1764 à 1775.
Cela vous étonne-t-il ?
Pourtant, le Time du 7 juillet 2003, sur sa couverture,
demande si Benjamin Franklin, figurant sur les billets de cent dollars,
appartenait à la secte satanique du The Hell Fire Club.
Dans un ouvrage publié en 1989, The Occult Conspiracy, Secret Societies, Their Influence and Power in World History
(La conspiration occulte, les sociétés secrètes, leur influence et leur
pouvoir dans l’histoire du monde), l’écrivain anglais Michael Howard
relate le passé sataniste de Benjamin Franklin, qui fut une des
personnes les plus influentes de la Révolution américaine, et devint
Franc-maçon en 1731.
Il entra dans la loge St John de Philadelphie, reconnue comme première loge maçonnique en Amérique. Il fut également nommé au grade de Grand-Maître de la loge St John. Journaliste, il écrivit plusieurs articles défendant les loges qui furent publiés dans The Pennsylvania Gazette. En 1732, il contribua à la rédaction des statuts de sa loge et en 1734, il publia Constitutions, le premier livre maçonnique édité en Amérique.
Il entra dans la loge St John de Philadelphie, reconnue comme première loge maçonnique en Amérique. Il fut également nommé au grade de Grand-Maître de la loge St John. Journaliste, il écrivit plusieurs articles défendant les loges qui furent publiés dans The Pennsylvania Gazette. En 1732, il contribua à la rédaction des statuts de sa loge et en 1734, il publia Constitutions, le premier livre maçonnique édité en Amérique.
Dans les années 1770, en tant que diplomate des colonies américaines,
Franklin devint Grand Maître de la loge des neuf sœurs, à Paris. Le
marquis de Lafayette et l’officier de marine écossais John Paul Jones,
qui adhéraient à cette même loge, combattirent dans la Guerre
d’indépendance américaine. À Paris, Franklin utilisait ses contacts
maçonniques pour collecter des fonds et acheter des armes pour les
rebelles américains.
Franklin était un Grand Maître Rosicrucien et œuvrait au cœur des
opérations Illuminati pour étendre le contrôle invisible de l’empire
britannique en Amérique. Les Illuminati, via les Francs-maçons,
contrôlaient et manipulaient les deux côtés (britannique et américain)
de la Guerre d’Indépendance tout en contrôlant la Révolution française.
Benjamin Franklin était l’« agent 72 » du bureau de renseignement
britannique fondé par le mathématicien et alchimiste anglais Dr John Dee
(alias 007). Pendant cette période, Benjamin Franklin était en
contact avec les sphères du pouvoir londonien. Il partageait leurs
intérêts maçonniques et occultes. Sir Francis Dashwood, était le
chancelier de l’Exchequer (Echiquier), la Chambre des comptes
britannique, et le fondateur d’une société secrète appelée Frères de St Francis de Wycombe, plus connue sous le nom de The Hell Fire Club.
Michael Howard expose que The Hell Fire Club n’était pas un club
ordinaire. Situé dans les souterrains d’un bâtiment ayant l’apparence
d’une église anglaise, les membres de ce cercle y descendaient à
plusieurs dizaines de mètres de profondeur dans une série de tunnels, de
pièces et de cavernes, où ils forniquaient avec des prostituées et
offraient des sacrifices occultes à Satan. Dieu seul sait ce que les
démons faisaient en ces lieux !
Benjamin Franklin était un occultiste dévoué à Satan, comme tant de
politiciens. Le premier-ministre britannique Winston Churchill était par
exemple un druide sorcier. Le terme de The Hell Fire Club
(Club des flammes de l’enfer) montre qu’il s’agit d’une défiance et
d’un blasphème. Les labyrinthes de la secte de Franklin étaient disposés
de telle manière que l’on avait l’impression de descendre en enfer.
Lors de la première réunion du club sataniste, en mai 1746,
ils se rencontrèrent à la George and Vulture public House, au Lombard
Street, London. L’adhésion initiale était limitée à douze membres mais
ce chiffre augmenta rapidement. Bien qu’il n’en fût pas membre officiel,
Benjamin Franklin assistait occasionnellement aux rencontres du club.
Les membres s’appelaient entre eux « frères ». Francis Dashwood était
l’« abbé ». Les femmes, quant à elles, étaient des « nonnes ». Ils
étaient passionnés par les dévotions à Bacchus et à Venus. Leur devise
« Fay ce que vouldras », empruntée à François Rabelais, sera reprise par
Aleister Crowley. Franc-maçon du 33e degré, ce mage sataniste du XXe siècle, avoue qu’il sacrifia, de 1912 à 1928, cent cinquante enfants par an, dans son livre : Magick in theory and practice (La magie en théorie et en pratique), ch. XII : Of the bloody sacrifice and matters cognate (À propos des sacrifices sanglants et des sujets apparentés).
Le George and Vulture public House disparut dans un incendie en
1749 ! Cependant, il fut rapidement reconstruit. Les rencontres
s’effectuèrent aussi chez les membres. Francis Dashwood construisit un
temple dans le village londonien de West Wycombe à côté duquel furent
trouvées des catacombes : un endroit idéal pour certainement y cacher
les dépouilles après les avoir désossées et décharnées ! La première
rencontre à West Wycombe fut tenue en 1752 pendant la nuit de Walpurgis.
En 1762, des tensions internes et des rivalités politiques
transformèrent le club en champ d’affrontements publics. Il fut
finalement dissous.
Evangeline Hunter-Jones, député et présidente des Amis de la maison de Benjamin Franklin expose
que « les os brûlés étaient enterrés profondément, probablement pour
les cacher et il y a tout lieu de penser qu’il y en a encore ». Mais
pour disculper Benjamin Franklin, elle rétorque que durant ses longues
absences, son ami le Dr Hewson, aurait pu effectuer des dissections de
cadavres pour ses recherches. Car, en effet, la plupart des ossements
montrent des marques de dissection et des traits de scie. Un crâne a été
percé de plusieurs trous. Brefs, voilà des cadavres bien dérangeants
chez un sataniste ayant appartenu aux plus hautes sphères d’influences
européennes et américaines !
La vie du Père de la Constitution de la plus grande démocratie
renvoie bien aux déclaration du représentant des Illumianti américain,
Albert Pike, Franc-maçon du 33e degré, qui dans Morals and Dogmas
(1871) affirmait que le Dieu caché de la Franc-maçonnerie était
Lucifer. L’essence luciférienne de la secte est dénoncée entre autres
dans La guerre occulte (1925) par l’ancien Franc-maçon du 29e degré, Paul Copin-Albancelli.
Vous comprendrez ainsi pourquoi en démocratie il est toujours délicat de dénoncer le pédo-satanisme.
Laurent Glauzy
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