Nous
apprenons la parution du nouveau livre d’Alain Pascal, ancien
collaborateur de Serge de Beketch, après sept années de « silence ».
Il s’agit du quatrième et dernier tome de sa fameuse série sur la Guerre des gnoses.
Il s’agit du quatrième et dernier tome de sa fameuse série sur la Guerre des gnoses.
Chercheur spécialisé en philosophie et en histoire occulte, Alain Pascal était déjà l’auteur de La Trahison des Initiés, en 1996, réédité en 2013, La pré-Kabbale, 1999 (épuisé), Islam et Kabbale contre l’Occident chrétien, 2001 (épuisé), La Renaissance, cette imposture, 2006.
Il s’agit là d’un ouvrage volumineux (624 pages), magistral,
documenté et très attendu, qui étudie les ressorts secrets de
l’avènement du protestantisme, cette révolution qui déchira la
Chrétienté et signa son déclin.
Il comporte un index des noms, un index des mots-clefs, une solide bibliographie et une table des matières détaillée (sur 10 pages).
Il coûte le prix (modéré pour cette taille) de 28 euros et est disponible ici.
Il comporte un index des noms, un index des mots-clefs, une solide bibliographie et une table des matières détaillée (sur 10 pages).
Il coûte le prix (modéré pour cette taille) de 28 euros et est disponible ici.
Nous espérons revenir bientôt sur ce livre-événement, qui va
probablement faire parler de lui, mais voici déjà ci-dessous sa
quatrième de couverture :
« La Réforme de Luther, une vraie réforme ? Non, une révolution qui
est la conséquence de la Renaissance et donc un produit de la gnose et
de la Kabbale.
La Renaissance étant une imposture, sa fille, la Réforme, est une régression religieuse, mais aussi une révolution politique. Car, au-delà d’un bouleversement du dogme de l’Église et des Sacrements, Luther est responsable du premier nationalisme révolutionnaire, le nationalisme allemand qui s’attaque à l’Empire de Charles Quint.
En inscrivant la Réforme dans la suite de la Kabbale, Alain Pascal ouvre une brèche sur le politiquement correct concernant le nationalisme allemand, mais aussi sur le religieusement correct car il décrit le protestantisme dans la suite de l’islam comme un nouvel instrument des initiés orientaux contre l’Occident chrétien.
C’est évidemment l’histoire secrète du XVIe siècle qui est contée, l’initiation des principaux Humanistes et « réformateurs » à l’« illumination » kabbalistique, véritable raison de leur complicité dans la Guerre des gnoses contre la tradition chrétienne.
L’auteur dénonce leur attaque commune contre l’Église et énumère les crimes commis par les protestants sur les catholiques pendant tout le siècle, en procédant à une véritable révision de l’histoire des guerres de Religion, qu’il ne limite pas à la France puisqu’elles commencent en Allemagne avec la Réforme de 1520.
La Renaissance étant une imposture, sa fille, la Réforme, est une régression religieuse, mais aussi une révolution politique. Car, au-delà d’un bouleversement du dogme de l’Église et des Sacrements, Luther est responsable du premier nationalisme révolutionnaire, le nationalisme allemand qui s’attaque à l’Empire de Charles Quint.
En inscrivant la Réforme dans la suite de la Kabbale, Alain Pascal ouvre une brèche sur le politiquement correct concernant le nationalisme allemand, mais aussi sur le religieusement correct car il décrit le protestantisme dans la suite de l’islam comme un nouvel instrument des initiés orientaux contre l’Occident chrétien.
C’est évidemment l’histoire secrète du XVIe siècle qui est contée, l’initiation des principaux Humanistes et « réformateurs » à l’« illumination » kabbalistique, véritable raison de leur complicité dans la Guerre des gnoses contre la tradition chrétienne.
L’auteur dénonce leur attaque commune contre l’Église et énumère les crimes commis par les protestants sur les catholiques pendant tout le siècle, en procédant à une véritable révision de l’histoire des guerres de Religion, qu’il ne limite pas à la France puisqu’elles commencent en Allemagne avec la Réforme de 1520.
Ce volume est le quatrième et dernier tome de la Guerre des gnoses.
Pour Alain Pascal, le XVIe siècle est le Siècle de la Folie parce que les Humanistes et les protestants sont les héritiers d’Érasme, dont L’Éloge de la Folie provoque le déchaînement de l’irrationnel au XVIe siècle, ce qui prélude l’imposture rationaliste de la philosophie moderne que l’auteur dénonce depuis La Trahison des Initiés.
Le Siècle de la Folie est un trait d’union entre les temps anciens et aujourd’hui, un relais essentiel entre le gnosticisme, la Kabbale et la “Révolution des Illuminés”, et donc in fine la dictature mondialiste contemporaine. »
http://www.contre-info.com/sortie-du-nouveau-livre-dalain-pascal-la-reforme-cette-revolution#more-30681
Pour Alain Pascal, le XVIe siècle est le Siècle de la Folie parce que les Humanistes et les protestants sont les héritiers d’Érasme, dont L’Éloge de la Folie provoque le déchaînement de l’irrationnel au XVIe siècle, ce qui prélude l’imposture rationaliste de la philosophie moderne que l’auteur dénonce depuis La Trahison des Initiés.
Le Siècle de la Folie est un trait d’union entre les temps anciens et aujourd’hui, un relais essentiel entre le gnosticisme, la Kabbale et la “Révolution des Illuminés”, et donc in fine la dictature mondialiste contemporaine. »
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