samedi 31 mars 2012

LES DINOSAURES D’ACAMBARO

De la Chine à Babylone ou à Tarascon, les hommes de l’Antiquité ont vécu au contact d’énormes animaux courts sur pattes nommés « dragons » : petite tête, long cou, écailles résistant aux flèches, queue imposante… bref ceux que nous appelons aujourd’hui dinosaures, et que la Bible, au livre de Job, décrit avec précision sous le nom de « béhémot » (Jb XL 15). Or qui admet la chronologie des géologues doit croire que 200 millions d’années séparent les dinosaures de l’homme !.. Les figurines de céramiques découvertes à Acambaro, au Mexique, viennent apporter, s’il était nécessaire, le coup mortel à cette chronologie.
En juillet 1944 un archéologue amateur allemand, Waldemar Julsrud, aperçut des pierres taillées et un objet de céramique à demi-enterrés. A peine descendu de cheval, il creusa, dégagea d’autres céramiques et comprit aussitôt que ces figurines ne provenaient d’aucune civilisation précolombienne connue.
Vu la richesse du site, Julsrud engagea un paysan, Odilon Tinajero, pour fouiller la montagne El Toro. Tinajero recevait un peso mexicain (environ 12 centimes) pour chaque pièce complète. Il rapporta bientôt une brouette pleine de figurines et ce fut le début d’une collaboration qui, en 10 ans, mit au jour plus de 20 000 objets.
Au total la collection Julsrud a compté jusqu’à 33 500 figurines, toutes uniques, représentant des masques, des outils, des visages, des idoles, des animaux, des instruments de musique, etc… Parmi ces pièces, plus de 300 représentent des dinosaures appartenant à des dizaines d’espèces différentes ; notamment l’iguanodon, le brachiosaure (presque inconnu à l’époque et jamais représenté), l’ankylosaure, des brontosaures à épines dorsales (découverts par les paléontologistes en 1992), le trachodon à pattes palmées, le gorgosaure, le tricératops, le titanosaure, le stégosaure, le diplodocus, le tyrannosaure, d’autres espèces inconnues de dinosaures et même le ptéranodon et l’ichtyornis.
Comme le déclara Lower Harmer, un journaliste américain qui vint inspecter la collection en 1950 : « Tout un chacun comprend que ces grands sauriens n’ont pu être créés que par des artistes disparus depuis longtemps et qui les connaissaient bien » (Los Angeles Times du 25 mars 1951). Harmer avait photographié Julsrud au milieu de ses excavations, alors que les figurines de dinosaures étaient ôtées d’un enchevêtrement de racines de Maguey à 5 ou 6 pieds sous terre.
Une autre raison prouve l’indiscutable ancienneté de ces pièces : il s’agit de céramiques cuites à feu ouvert, exigeant donc plusieurs charges de bois par cuisson. Or la région d’Acambaro est aujourd’hui aride ; les arbres y sont rares et le bois très coûteux. On peut donc exclure une fraude par Tinajero, lequel ne recevait qu’un peso par pièce. Et la qualité artistique des figurines démontre un grand talent chez leurs auteurs.
Une controverse était inévitable entre Julsrud et les archéologues mesurant l’enjeu de cette découverte. Une enquête officielle eut donc lieu en 1954. Eduardo Noquera, directeur à l’Institut National d’Anthropologie et d’Histoire, dirigea l’enquête. Il sélectionna lui-même des sites à fouiller et après quelques heures de travail, on dégagea des céramiques en présence de nombreux témoins. Les archéologues félicitèrent Julsrud et lui promirent d’informer les revues savantes. De retour à Mexico, Noquera s’aperçut que les figurines de dinosaures allaient mettre en péril sa carrière professionnelle ; il remit un rapport dans lequel lui et ses collaborateurs déclaraient que la collection devait être fausse en raison des formes de vie représentées : les dinosaures.
Il fallut qu’un célèbre professeur américain, Charles Hapgood, vienne durant plusieurs mois à l’été 1955 pour relancer les fouilles et le débat. Pour écarter l’idée d’une forgerie, ayant découvert une maison construite en 1930 sur le site et appartenant au chef de la police, il obtint de creuser sous le plancher de béton du salon et à 6 pieds sous terre, dégagea une douzaine d’objets semblables aux autres. Il fit aussi tester des échantillons par le carbone 14, obtenant des dates comprises entre 1100 et 4500 ans avant Jésus-Christ, et conclut à l’authenticité.

En 1972 un américain, Arthur Young, soumit deux figurines au laboratoire de l’université de Pennsylvanie, pour une datation par thermoluminescence. Le laboratoire affirma que la date extraordinairement ancienne (2700 ans avant Jésus-Christ) était certaine à 10 % près, la mesure ayant été refaite 18 fois… Mais lorsque l’Université sut que la collection comportait des dinosaures, le laboratoire se rétracta et déclara qu’elle ne pouvait dater de plus de 30 ans !..
Il faut ajouter que la collection comporte aussi des objets en pierre taillée, qui manifestent tous les signes habituels d’érosion. Or la patine due à l’érosion est presque impossible à imiter.
Aujourd’hui le manoir de Julsrud est devenu un musée fermé au public, et une chape de silence continue de recouvrir ce qui est peut-être le plus grand site archéologique antédiluvien. Mais il faudra bien un jour que la science officielle accepte tous les faits, y compris ceux qui pulvérisent le mythe évolutionniste.
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NDRL: Cette information est due au Centre d’Etudes et de Prospective sur la Science 
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