De
la Chine à Babylone ou à Tarascon, les hommes de l’Antiquité ont vécu
au contact d’énormes animaux courts sur pattes nommés « dragons » :
petite tête, long cou, écailles résistant aux flèches, queue imposante…
bref ceux que nous appelons aujourd’hui dinosaures, et que la Bible, au
livre de Job, décrit avec précision sous le nom de « béhémot » (Jb XL
15). Or qui admet la chronologie des géologues doit croire que 200
millions d’années séparent les dinosaures de l’homme !.. Les figurines
de céramiques découvertes à Acambaro, au Mexique, viennent apporter,
s’il était nécessaire, le coup mortel à cette chronologie.
En
juillet 1944 un archéologue amateur allemand, Waldemar Julsrud, aperçut
des pierres taillées et un objet de céramique à demi-enterrés. A peine
descendu de cheval, il creusa, dégagea d’autres céramiques et comprit
aussitôt que ces figurines ne provenaient d’aucune civilisation
précolombienne connue.
Vu la richesse du site, Julsrud engagea un paysan, Odilon Tinajero, pour fouiller la montagne El Toro. Tinajero recevait un peso mexicain (environ 12 centimes) pour chaque pièce complète. Il rapporta bientôt une brouette pleine de figurines et ce fut le début d’une collaboration qui, en 10 ans, mit au jour plus de 20 000 objets.
Vu la richesse du site, Julsrud engagea un paysan, Odilon Tinajero, pour fouiller la montagne El Toro. Tinajero recevait un peso mexicain (environ 12 centimes) pour chaque pièce complète. Il rapporta bientôt une brouette pleine de figurines et ce fut le début d’une collaboration qui, en 10 ans, mit au jour plus de 20 000 objets.
Au
total la collection Julsrud a compté jusqu’à 33 500 figurines, toutes
uniques, représentant des masques, des outils, des visages, des idoles,
des animaux, des instruments de musique, etc… Parmi ces pièces, plus de
300 représentent des dinosaures appartenant à des dizaines d’espèces
différentes ; notamment l’iguanodon, le brachiosaure (presque inconnu à
l’époque et jamais représenté), l’ankylosaure, des brontosaures à épines
dorsales (découverts par les paléontologistes en 1992), le trachodon à
pattes palmées, le gorgosaure, le tricératops, le titanosaure, le
stégosaure, le diplodocus, le tyrannosaure, d’autres espèces inconnues
de dinosaures et même le ptéranodon et l’ichtyornis.
Comme
le déclara Lower Harmer, un journaliste américain qui vint inspecter la
collection en 1950 : « Tout un chacun comprend que ces grands sauriens
n’ont pu être créés que par des artistes disparus depuis longtemps et
qui les connaissaient bien » (Los Angeles Times du 25 mars 1951). Harmer
avait photographié Julsrud au milieu de ses excavations, alors que les
figurines de dinosaures étaient ôtées d’un enchevêtrement de racines de
Maguey à 5 ou 6 pieds sous terre.
Une
autre raison prouve l’indiscutable ancienneté de ces pièces : il s’agit
de céramiques cuites à feu ouvert, exigeant donc plusieurs charges de
bois par cuisson. Or la région d’Acambaro est aujourd’hui aride ; les
arbres y sont rares et le bois très coûteux. On peut donc exclure une
fraude par Tinajero, lequel ne recevait qu’un peso par pièce. Et la
qualité artistique des figurines démontre un grand talent chez leurs
auteurs.
Une
controverse était inévitable entre Julsrud et les archéologues mesurant
l’enjeu de cette découverte. Une enquête officielle eut donc lieu en
1954. Eduardo Noquera, directeur à l’Institut National d’Anthropologie
et d’Histoire, dirigea l’enquête. Il sélectionna lui-même des sites à
fouiller et après quelques heures de travail, on dégagea des céramiques
en présence de nombreux témoins. Les archéologues félicitèrent Julsrud
et lui promirent d’informer les revues savantes. De retour à Mexico,
Noquera s’aperçut que les figurines de dinosaures allaient mettre en
péril sa carrière professionnelle ; il remit un rapport dans lequel lui
et ses collaborateurs déclaraient que la collection devait être fausse
en raison des formes de vie représentées : les dinosaures.
Il
fallut qu’un célèbre professeur américain, Charles Hapgood, vienne
durant plusieurs mois à l’été 1955 pour relancer les fouilles et le
débat. Pour écarter l’idée d’une forgerie, ayant découvert une maison
construite en 1930 sur le site et appartenant au chef de la police, il
obtint de creuser sous le plancher de béton du salon et à 6 pieds sous
terre, dégagea une douzaine d’objets semblables aux autres. Il fit aussi
tester des échantillons par le carbone 14, obtenant des dates comprises
entre 1100 et 4500 ans avant Jésus-Christ, et conclut à l’authenticité.
En 1972 un américain, Arthur Young, soumit deux figurines au laboratoire de l’université de Pennsylvanie, pour une datation par thermoluminescence. Le laboratoire affirma que la date extraordinairement ancienne (2700 ans avant Jésus-Christ) était certaine à 10 % près, la mesure ayant été refaite 18 fois… Mais lorsque l’Université sut que la collection comportait des dinosaures, le laboratoire se rétracta et déclara qu’elle ne pouvait dater de plus de 30 ans !..
En 1972 un américain, Arthur Young, soumit deux figurines au laboratoire de l’université de Pennsylvanie, pour une datation par thermoluminescence. Le laboratoire affirma que la date extraordinairement ancienne (2700 ans avant Jésus-Christ) était certaine à 10 % près, la mesure ayant été refaite 18 fois… Mais lorsque l’Université sut que la collection comportait des dinosaures, le laboratoire se rétracta et déclara qu’elle ne pouvait dater de plus de 30 ans !..
Il
faut ajouter que la collection comporte aussi des objets en pierre
taillée, qui manifestent tous les signes habituels d’érosion. Or la
patine due à l’érosion est presque impossible à imiter.
Aujourd’hui
le manoir de Julsrud est devenu un musée fermé au public, et une chape
de silence continue de recouvrir ce qui est peut-être le plus grand site
archéologique antédiluvien. Mais il faudra bien un jour que la science
officielle accepte tous les faits, y compris ceux qui pulvérisent le
mythe évolutionniste.
http://libeco.net
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NDRL: Cette information est due au Centre d’Etudes et de Prospective sur la Science
- Le CEP -
Contacter, le cas échéant Maxime Cenzi
Secrétariat des Colloques du C.E.P.
Mail : cep.colloques@gmail.com Adresse : C.E.P, 33 Rue Lénine, 94 200 Ivry-sur-Seine Téléphone : 01 70 25 14 45 (en cas d’absence, merci de laisser un message sur le répondeur)
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Site Internet : http://le-cep.org/
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