Après dix ans de mensonge sur le Sida, la vérité force les barrages médiatiques, contraignant les spécialistes à renverser les tabous et à reconnaitre ce que, jusqu’ici, ils avaient toujours nié contre les plus aveuglantes évidences.
C’est Laurent de Villepin, rédacteur en chef du Journal du Sida, mensuel de l’association Arcat Sida, qui rompt la loi du silence.
D’abord, ce spécialiste semble reprendre les vieilles rengaines : c’est chez les hétérosexuels, affirme-t-il, que la progression a été la plus forte en 94 (plus 18 % contre 11 % chez les homos). Mais les chiffres qu’il donne remettent les choses en place : en 1994, on a dénombré 2 600 nouveaux cas de sida chez les invertis, contre moins de la moitié chez les gens normaux (1 200). Ce qui, au regard de l’importance relative des deux groupes sociaux, revient à confirmer que les homosexuels sont beaucoup plus gravement touchés.
Villepin va plus loin encore. Il souligne les effets de la campagne médiatique visant à “découpler” homosexualité et Sida : « Les mentalités ont évolué “grâce” au Sida, explique-t-il. Les homosexuels bénéficient d’une meilleure reconnaissance de la société » mais, du même coup, « la “déshomosexualisation” de la maladie a fait plus de mal que de bien puisque l’épidémie progresse chez ce groupe de façon inquiétante alors qu’on la croyait stabilisée ».
Les motifs de cette situation sont ahurissants. Selon Villepin, « il semble qu’il existe dans cette communauté (homo) une aspiration plus ou moins inconsciente vers la séropositivité … (qui) représente désormais une identité forte, par certains côtés valorisante … Certains souhaiteraient faire partie de cette culture, faire leurs ses priorités, son rythme échevelé, sa vision perçante du monde ».
En clair, le Sida s’étend parce qu’il est “chébran”. C’est le syndrome de Cyrille Collard.
Autre tabou, celui de la race : « On explique rarement, assène le rédacteur en chef du Journal du Sida, que près des deux tiers des nouvelles contaminations hétérosexuelles concernent les personnes d’Afrique australe ou des Caraïbes ». Et de convenir que, si l’on cache cette réalité raciale, c’est « pour ne pas stigmatiser ces groupes ».
Enfin, Villepin signale que, « grâce à la vente libre des seringues », le taux de contamination a baissé chez les toxicomanes mais, avoue-t-il par ailleurs, « cela ne sert à rien d’exiger le préservatif en toutes circonstances ».
C’est reconnaître, par défaut, l’imposture criminelle du vaccin-latex dont les effets sur la pandémie sont au mieux nuls, au pire négatifs.
En somme, ce spécialiste incontestable vient confirmer ce que nous répétons depuis dix ans sous les lazzi et les injures : c’est pour ne pas déplaire aux lobbies homosexuels et immigrationnistes et pour ne pas sembler adhérer à l’”ordre moral” que l’on censure la vérité sur le Sida.
Des milliers d’ignorants sont morts de ce mensonge.
Serge de Beketch Le Libre Journal de la France Courtoise n° 65 du 14 avril 1995
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire