L'immonde petit Staline espagnol, Santiago Carrillo, qui pontifie à la télévision gouvernementale, sur les ondes de la SER et dans les colonnes de El Pais (le quotidien préféré de Diane Cambon selon Carlos Semprún Maura) en donnant des leçons d'éthique politique, vient de révéler un autre de ses visages : celui de tueur de ses propres camarades.
Selon Periodista Digital, le journaliste Antonio Rubio a mis la main sur le rapport de cent pages écrit en 1955 par le dirigeant communiste espagnol Francisco Abad dans lequel les crimes de Carrillo sont dénoncés aux autorités soviétiques. Il lui a été remis par la fille de l'auteur, une militante communiste de longue date.
Le sanguinaire Carrillo, déjà connu pour avoir fait assassiner des civils (dont des femmes et des enfants) à Paracuellos del Jarama, a non seulement dénoncé à la police franquiste les camarades qui franchissaient la frontière pour rejoindre les fronts de la résistance intérieure, mais il a envoyé des équipes de tueurs (Antonio [José Gros], Sebastián [Félix Pérez] et Partebocas [Ricardo Navacerrada]), pour faire disparaître les chefs locaux que la Guardia civil n'arrivait pas à capturer, comme Pepito (aussi connu comme El Gafas).
Interrogé par téléphone sur ce rapport, dont l'original est dans les archives du PCUS à Moscou, Santiago Carrillo a affirmé qu'il s'agissait d'un montage destiné à le détruire et a refusé de l'examiner.
http://aventuresdelhistoire.blogspot.com
Selon Periodista Digital, le journaliste Antonio Rubio a mis la main sur le rapport de cent pages écrit en 1955 par le dirigeant communiste espagnol Francisco Abad dans lequel les crimes de Carrillo sont dénoncés aux autorités soviétiques. Il lui a été remis par la fille de l'auteur, une militante communiste de longue date.
Le sanguinaire Carrillo, déjà connu pour avoir fait assassiner des civils (dont des femmes et des enfants) à Paracuellos del Jarama, a non seulement dénoncé à la police franquiste les camarades qui franchissaient la frontière pour rejoindre les fronts de la résistance intérieure, mais il a envoyé des équipes de tueurs (Antonio [José Gros], Sebastián [Félix Pérez] et Partebocas [Ricardo Navacerrada]), pour faire disparaître les chefs locaux que la Guardia civil n'arrivait pas à capturer, comme Pepito (aussi connu comme El Gafas).
Interrogé par téléphone sur ce rapport, dont l'original est dans les archives du PCUS à Moscou, Santiago Carrillo a affirmé qu'il s'agissait d'un montage destiné à le détruire et a refusé de l'examiner.
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