(...) Hô Chi Minh, lui n'est venu en France que pour aboutir à l'indépendance : depuis dix ans, se communiste joue habilement la carte du nationalisme anamite et tonkinois.
Le 19 décembre 1946, le Viet-Minh déclenche l'offensive contre les troupes françaises.
À Paris, il faut voter des crédits militaires pour l'Indochine : les communistes ne s'y opposent pas.
L'Humanité écrit en 1945 : "Les colonies sont absolument incapables d'exister économiquement, et par conséquent politiquement, comme nations indépendantes."
L'attitude du Parti vire à 180 degrés, en mai 1947, lorsque ses ministres sont expulsés du gouvernement.
Les opérations françaises au Viêtnam deviennent du jour au lendemain, une "guerre de reconquête coloniale au profit de l'impérialisme américain."
Jean Sévilla : Le terrorisme intellectuel de 1945 à nos jours.
Le 19 décembre 1946, le Viet-Minh déclenche l'offensive contre les troupes françaises.
À Paris, il faut voter des crédits militaires pour l'Indochine : les communistes ne s'y opposent pas.
L'Humanité écrit en 1945 : "Les colonies sont absolument incapables d'exister économiquement, et par conséquent politiquement, comme nations indépendantes."
L'attitude du Parti vire à 180 degrés, en mai 1947, lorsque ses ministres sont expulsés du gouvernement.
Les opérations françaises au Viêtnam deviennent du jour au lendemain, une "guerre de reconquête coloniale au profit de l'impérialisme américain."
Jean Sévilla : Le terrorisme intellectuel de 1945 à nos jours.
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