On doit à ce militant nationaliste et catholique notamment un Manifeste politique et social et une Doctrine d’action contrerévolutionnaire que nous recommandons chaudement.
Surnommé « Conan » dans la Résistance, il a, jusqu’à la trahison gaulliste en Algérie, poursuivi une brillante carrière dans l’armée.
Créateur du Centre école de parachutiste militaire de Lannion en Bretagne (lui-même était né à Morlaix), il a combattu en Indochine puis en Algérie, affecté au 2e RCP, bientôt transformé en 2e RPIMa.
Il était au Niger quand se déclencha le putsch des généraux, desquels il se solidarisa. Après plusieurs mois de prison, il parvint à rejoindre l’Algérie et prit le commandement de l’OAS pour le Constantinois. Il quitta l’Algérie en juin 1962 et restera plusieurs années dans la clandestinité, qu’il mit à profit pour étudier.
Créateur du Centre école de parachutiste militaire de Lannion en Bretagne (lui-même était né à Morlaix), il a combattu en Indochine puis en Algérie, affecté au 2e RCP, bientôt transformé en 2e RPIMa.
Il était au Niger quand se déclencha le putsch des généraux, desquels il se solidarisa. Après plusieurs mois de prison, il parvint à rejoindre l’Algérie et prit le commandement de l’OAS pour le Constantinois. Il quitta l’Algérie en juin 1962 et restera plusieurs années dans la clandestinité, qu’il mit à profit pour étudier.
Condamné à mort par contumace, il avait échappé à la peine capitale.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire