Martin Peltier – écrivain et chroniqueur à Rivarol – signe un nouvel ouvrage qui ne manquera pas de faire parler de lui !
Écrit pour remettre les pendules à l’heure et sous-titré « l’enseignement de la haine », il rappelle qu’il existe un « antichristianisme juif » et ce en quoi il consiste.
350 pages. 26 €. Editions DIE. On peut l’acheter sur internet pour l’instant exclusivement ici.
4e de couverture :
« On parle fréquemment d’antisémitisme chrétien. Un historien juif français, Jules Isaac (celui de Mallet et Isaac), a répandu la thèse que l’Eglise aurait dispensé un « enseignement du mépris » du peuple juif. Un évêque frança is, Mgr de Berranger, a déclaré que ce serait « le terreau » sur lequel aurait poussé la Shoah.
Aucune source sérieuse n’étaie ces allégations fantaisistes.
On constate à l’inverse que la tradition rabbinique du Talmud a distillé un enseignement de la haine du Christ et des chrétiens : depuis deux mille ans, l’antichristianisme juif a pris les formes les plus diverses, du blasphème à la lapidation, du bûcher à la révolution.
330 pages bourrées de faits ét ablis, de références solides, pour recomposer une perspective historique raisonnable. Et en finir avec les fantasmes.
Historien, essayiste, romancier, journaliste, Martin Peltier n’a plus l’âge de prendre les censeurs au sérieux. Les sujets qui fâchent l’amusent, à condition de les examiner sérieusement. Il est attaché à la vieille maxime : « Si j’ai tort, qu’on me le prouve, si j’ai raison, qu’on me l’accorde ». »
Aucune source sérieuse n’étaie ces allégations fantaisistes.
On constate à l’inverse que la tradition rabbinique du Talmud a distillé un enseignement de la haine du Christ et des chrétiens : depuis deux mille ans, l’antichristianisme juif a pris les formes les plus diverses, du blasphème à la lapidation, du bûcher à la révolution.
330 pages bourrées de faits ét ablis, de références solides, pour recomposer une perspective historique raisonnable. Et en finir avec les fantasmes.
Historien, essayiste, romancier, journaliste, Martin Peltier n’a plus l’âge de prendre les censeurs au sérieux. Les sujets qui fâchent l’amusent, à condition de les examiner sérieusement. Il est attaché à la vieille maxime : « Si j’ai tort, qu’on me le prouve, si j’ai raison, qu’on me l’accorde ». »
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